“The Love Boat” (1982)

  Following the success of The Blues Brothers, Cab Calloway is growing interest on the part of producers. Television in particular is interested. Cab has made ​​a few appearances in the series (Madigan, and other particular which we'll write a future series of notes) but it is in LOVE BOAT that Cab will have a major musical role. He's surrounded by Ann Miller, Carol Channing, Ethel Merman and many old fashioned stars. Kind of tacky. Yet, it allow us to watch Cab play comedy and contributes to musical numbers with the one and only crew from The Love Boat! Read the full story →

Cab Calloway elected “Best dressed bandleader” of 1941

En juillet 1941, Cab Calloway reçut les honneurs de la Guilde Custor des Tailleurs en étant désigné comme le plus élégant chef d'orchestre des Etats-Unis (il faut dire qu'à cette époque, les autres pays avaient un peu autre chose à faire qu'à parler chiffon, les treillis étant plus d'actualité !). Cette récompense était logique pour Cab qui, depuis ses tout débuts, avait toujours su conjuguer sens de la scène, entertainment et élégance. Read the full story →

Henri SALVADOR : “Armstrong, Duke Ellington, Cab Calloway” (1947)

  Ce n'est pas à proprement parler une chanson de Cab. Pour autant, elle lui a permis d'être relancé en France lors de sa sortie en 1947 dans le film de Jean Boyer, "Mademoiselle s'amuse". "Armstrong, Duke Ellington, Cab Calloway", interprétée par Henri Salvador et les Collégiens menés par Ray Ventura a en effet contribué à remettre dans les bacs des disquaires les galettes de Calloway. Read the full story →

Walter Foots THOMAS: the tenor sax in the shadow (2/2)

  Deuxième partie du portrait de l’un des plus fidèles compagnons de route de Cab Calloway mais sur lequel on ne sait que trop peu. Après une enfance heureuse dans l'Oklahoma, Thomas est vite parti sur les bateaux du Missouri et joué en compagnie d'Ed Allen, Fate Marable, Ferdinand Jelly Roll Morton. C'est à New York qu'il veut réussir et l'orchestre du Cotton Club d'Andy Preer lui ouvre les bras. Vient ensuite un engagement avec les Missourians rapidement dominés par le petit nouveau : Cab Calloway. Avec lui, Walter Thomas va rester au même pupitre durant 13 ans, accumulant les fonctions de chef de la section des saxophones, arrangeur, directeur musical et chef d'orchestre par intérim lorsque le Cab en chef n'est pas sur scène. Tout cela sans jamais passer de l'ombre à la lumière. A partir de 1943, il voudra voler de ses propres ailes, mais sera lui aussi confronté à la dureté de l'époque. N'empêche, les quelques pistes gravées en 1944-45 comme les moments qu'il passera encore avec quelques-uns des plus grands donnent à la deuxième partie de son existence un goût fantastique. The Hi de Ho Blog vous la raconte... Read the full story →

Count BASIE in Cab Calloway’s orchestra?

  That's right! For an announcement effect, admit that it is powerful.  The Count at the Cab.  That was almost done. And from 1929!  Count Basie and Cab met at the time when young Calloway was the leader of the Alabamians. A great friendship was born between the two men...  The Hi de Ho Blog reveals a little more...   Read the full story →

"Playing the Changes", the book by Milt HINTON

Après Bass Line (1988) et Over Time, voici un nouvel ouvrage présentant les clichés effectués par Milt HINTON (1910-2000), le contrebassiste de Cab Calloway de 1936 à 1951. Déjà acclamées pour leurs qualités esthétiques, les photos de Milt Hinton permettent d'avoir un portrait au plus près de la vie des musiciens de jazz. Read the full story →

Walter Foots THOMAS: the tenor sax in the shadow (1/2)

  Voici le portrait de l’un des plus fidèles compagnons de route de Cab Calloway mais sur lequel on ne sait que trop peu. Et pourtant, Walter Thomas resta avec Cab depuis les Missourians jusqu’après le tournage de Stormy Weather. Géant aux pieds démesurés (d’où son surnom), Walter Thomas avait notamment enregistré avec Fate Marable, Jelly Roll Morton, avant de rencontrer Cab. Durant toute sa période chez Calloway, il fut l’arrangeur attitré de l’orchestre et son conseiller musical mais resta toujours dans l’ombre des grands ténors qui y passèrent comme Ben WEBSTER et Chu BERRY. Et la seconde partie de sa vie après est loin d’être sans intérêt. The Hi de Ho Blog vous en dit plus sur cet inconnu célèbre auquel il n’a jamais été consacré plus de 10 lignes d’affilée… Read the full story →

“Stormy Weather”: Thanks, pal! and other anecdotes

  "Thanks, Pal!" était le titre de travail de Stormy Weather. Il faisait référence à tous les mots de remerciements émanant d'autres vedettes et que lit Bill Robinson durant tout le film. Arthur Knight estime dans son passionnant (mais complexe) ouvrage que dire ainsi merci à un Noir américain, à travers Bill Robinson, était une gageure eut égard à l'opinion générale de l'époque. Mais nous aborderons les aspects raciaux du film une prochaine fois. Pour le moment, nous avons encore quelques croustillantes anecdotes à nous mettre sous la dent... Read the full story →

“Stormy Weather” and the french critics

  A cause de la guerre, Stormy Weather n'est sorti en France qu'en juillet 1946, soit 3 ans après les Etats-Unis. Entre les deux, le jazz avait déjà bien changé : Fats était mort et Cab commençait déjà largement à peiner pour faire vivre son big band. Pourtant, une fois n'est pas coutume, la critique française fut élogieuse.Alors, découvrez tout de suite l'intégralité de cette critique parue dans Jazz Hot en spetembre-octobre 1946 ainsi qu'une rarissime photo d'époque présentant l'affiche sur les Champs-Elysées. Read the full story →

“Stormy Weather”: from an arranger to another

Lorsque l’on se penche sur la musique du film Stormy Weather, on est frappé par sa proportion dans le film : près de 90 % ! C’est dire la minceur du scénario et, en contrepartie, l’attention que nous devons porter à la richesse de sa musique. Au-delà des grandes stars du jazz qui sont présentes dans le film, la question des arrangements musicaux a soulevé suffisamment de problèmes pour que The Hi de Ho Blog vous en parle un peu. Il faut dire que l’on est passé d’un compositeur classique à un jazzman, tous deux Afro-Américains, sous la houlette du directeur musical (et blanc) de la 20th-Century-Fox, Alfred Newman. Read the full story →

Reefer Man (1932): from W.C. Fields to Taj Mahal

  Voilà bien un titre qui a longtemps fait parler de lui. Amateurs de marijuana et autres herbes délirantes, ce morceau est pour vous. Le "Reefer Man" est en effet le type qui vend des joints au coin de la rue, bref, le petit dealer auprès desquels le bourgeois s'encanaillait dans Harlem. C'était aussi celui qu'allaient souvent voir les musiciens de jazz, consommateurs très réguliers. Un morceau de bravoure et de slap pour le contrebassiste Al MORGAN (ce qui lui valu son heureu de gloire) et qui fut repris par Milt HINTON dans des circonstances très particulières... Read the full story →

Closeout of VILLAGE MUSIC, Cab

  Si l'on vous dit (enfin, si Elvis Costello himself) que c'est le meilleur disquaire de collection au monde, croyez-nous : le VILLAGE MUSIC situé à Mill Valley, Californie, vient de fermer ses portes. Et c'est tout un monde qui se referme, plein de pochettes et de photos rarissimes, de vieux LP improbables. Pourquoi vous parlé-je de ce magasin où je n'ai jamais mis les pieds (heureusement pour ma carte bleue !) ? Read the full story →

When genealogy helps to understand Cab Calloway’ family history

Les généalogistes sont des personnes formidables, quoique tatillonnes à outrance. Néanmoins, grâce à elles, nous avons la chance de connaître en détail les dates de décès du père et du grand-père paternel de Cab Calloway ! Très utile me direz-vous. Eh bien, si quand même un peu, lorsque l'on considère l'importance de la relation entre Cab et son père puis son beau-père.   Read the full story →

Minnie The Moocher: what the Doctor said...

  Depuis quelque temps, les personnages des séries TV sont désignés par le public comme les héros des temps modernes. Soit. Tant qu'on en profite pour écouter un peu de jazz. Remercions donc Hugh Laurie, le fameux Docteur House de la série (piano), James Denton (Desperate Housewives - guitare), Greg Grunberg (Heroes - batterie) d'avoir créé un groupe de rock jouant uniquement dans des bals de charité (toujours la bonne conscience hollywoodienne) : BAND FROM TV qui a enregistré le tube de Cab Calloway, Minnie The Moocher ! Read the full story →

Chretien LAEMMEL: photofan of Cab

  Chrétien LAEMMEL est un homme d'une discrétion rare et c'est peut-être pour cela qu'il a pu capter les expressions et les sourires des plus grandes stars du jazz depuis toujours. Chrétien est avant tout un jazzophile effréné. Depuis les années 50, il va de salle en festival pour écouter et photographier les jazzmen sur scène. Et il en a vus partout en France et dans le monde : Mingus, Ellington, Basie, Goodman, Fitzgerald, Getz... et naturellement parmi ses chouchous, Cab Calloway est en très bonne place ! Read the full story →

“CLOUDS” the new Chris Calloway's show

  A l'heure du centenaire de la naissance de Cab Calloway, une de ses filles, Chris Calloway a créé un nouveau spectacle autour de la femme qui a le plus influencé le roi du hi-de-ho dans sa carrière : Blanche Calloway. Son spectacle sera à l'affiche dès janvier 2008 au Bristol Riverside Theater à Bristol, PA. Read the full story →

Old Mill Pond (1936)

  Sorti sur les écrans de cinéma le 7 mars 1937, "The Old Mill Pond" est un dessin animé réalisé par Hugh HARMAN (1903-1982) pour la MGM qui a été nominé aux Oscars de 1937. La trame du film tient en trois mots : grenouilles, swing, romance. Seuls les numéros de jazz valent vraiment le détour, surtout lorsqu'ils sont interpêtés par des grenouilles caricaturant les visages de Fats Waller, Louis Armstrong, Bill Robinson, les Mills Brothers,... Vous l'aurez compris : les stéréotypes raciaux sont de mise et ne choquaient personne à l'époque ! Naturellement, notre ami Cab Calloway est de la partie et nous entraîne avec un swing particulièrement efficace. Quel charmeur ! Même auprès des grenouilles ! Vérifiez par vous-même en regardant ce dessin animé de 8 minutes... Read the full story →

Chap. 5: “New York and the Cotton Club”

    Plus long chapitre de son autobiographie, « New York and The Cotton Club » présente les débuts de Cab et sa réussite fulgurante qui fit de lui un des jazzmen les plus écoutés du moment. En toute modestie – une fois de plus – Cab explique que les Alabamians avaient la chance avec eux, tout d’abord parce qu’ils étaient un bon orchestre, mais surtout parce que lui était à sa tête, lui donnant une présence particulière grâce à la manière dont il le conduisait sur scène. Rien que ça ! Pour autant, les Alabamians ressemblaient peu ou prou aux orchestres blancs de Chicago, ceux de Benny Meroff ou de Paul Ash... Read the full story →

BEN WEBSTER: when the Frog worked for Cab (2/2)

  Dans cette seconde note consacrée à la carrière de Ben Webster au sein de l’orchestre de Cab, nous allons examiner comment le train-train du Cotton Club et le manque d’opportunités de solos dans l’orchestre de Cab Calloway poussèrent Ben Webster à quitter un train de vie inespéré (et qu’il ne retrouvera jamais !). Read the full story →

“Jazz From The Beginning” by Garvin BUSHELL (1988) 2/2

  Second volet de notre lecture de Jazz From The Beginning, nous allons maintenant voir comment Garvin BUSHELL a quitté l’orchestre de Cab Calloway et comment il a géré la suite de sa carrière. Enfin, il nous livrera son opinion si particulière sur sa production discographique durant sa période avec Cab (entre mai 1936 et septembre 1937).   Read the full story →

45 RPM Fontana 462.101 (FRANCE, 1958) with liner notes by Boris Vian

  Voilà bien une des petites perles que tout amateur de Cab se doit d'avoir dans sa collection. Ne serait-ce que pour sa pochette exceptionnelle : une caricature d'une grande élégance représente Cab dans sa queue-de-pie blanche typique. Le dos de la pochette est signé George AVAKIAN, célèbre producteur de disques de jazz. Et c'est Boris VIAN qui s'est chargé de la traduction. A sa lecture, on pourra même constater que Vian a nettement réaménagé à sa manière, tant il était fan de Cab Calloway. D'ailleurs, il est même stipulé "d'après George Avakian"... Read the full story →

J.C. HEARD: Cozy Cole's brilliant successor

  Souvenez-vous de la mine réjouie de ce batteur lors du fameux morceau d’anthologie Jumpin’ Jive pendant la scène tout aussi anthologique de Stormy Weather (1943) : c’est J.C. Heard ! Formidable batteur, J.C. Heard a apporté un véritable élan au niveau de la section rythmique de Cab Calloway. Et pourtant, il ne subsiste que très peu d’enregistrements de l’orchestre à cette époque : la grève du « record ban » débuta au moment où J.C. Heard remplaçait Cozy Cole aux baguettes. Et pour le coup, le siège était plus qu’éjectable…   Read the full story →

Chap. 4: “From Baltimore to Jazz city: Chicago”

  Après sa rupture avec Zelma, Cab retourna terminer sa dernière année de lycée, mais échoua finalement. Il maintint son rythme hallucinant entre les clubs de jazz, l’école, le basket et les petits boulots. Mais tout va commencer grâce à Blanche, sa soeur, qui va l'aider à intégrer la revue Plantation Days. Ensuite, tout s'enchaîne relativement rapidement.   Read the full story →

McDonald and “Minnie the Moocher” (1985)

La personnalité et les chansons de Cab Calloway en ont fait un icone publicitaire depuis longtemps. Avec le revival suite à la sortie des films "The Blues Brothers" (John LANDIS, 1980) et "The Cotton Club" (Francis F. COPPOLA, 1984) , Cab est revenu sous le feu des projecteurs. Read the full story →

“Surprise-partie chez Lily” by Odette LAURE

  Mais que diable vient faire Odette LAURE dans The Hi de Ho Blog ? Eh bien la réponse est toute simple : sur cette pochade de 1955 dont les paroles ont été écrites par Roger Pierre et Jean-Marc Thibaut (musique de J. Prévost), la comédienne française entonne à la fin de chaque couplet la phrase inoubliable suivante : "Un excellent disque de Cab Calloway..."   Read the full story →

Chauncey HAUGHTON: the unknown alto sax (1937-1939)

  Parmi les musiciens qui ont été aux pupitres des anches de l'orchestre de Cab Calloway, il y a beaucoup de vedettes telles que Chu Berry, Ben Webster, Ike Quebec ou encore Illinois Jacquet. Et puis, il y a également les obscures, les nettement moins connus qui ont pourtant contribué aux qualités artistiques du big band. L’un d’entre eux est Chauncey HAUGHTON ; et pourtant, il est un des rares (peut-être le seul - je dois vérifier) à avoir joué de l’alto avec 3 Calloway différents ! Read the full story →

BEN WEBSTER: when the Frog worked for Cab (1/2)

  Ben Webster est l’un des plus grands saxophonistes ténors de l’époque swing. A l’époque, seul Coleman Hawkins était considéré comme son égal… et petit à petit, Leon Chu BERRY entra dans la cour des grands. Ben Webster joua dans l’orchestre de Cab Calloway de septembre 1935 à juillet 1937. Comment ce grand soliste put s’accommoder du répertoire de Cab, comment les autres musiciens s’accommodèrent de son sacré caractère… Dans quelques instants, vous allez tout savoir.   Read the full story →

The nicknames of the guys in Cab Calloway's band

  Donner un surnom ("nickname") à un musicien était chose courante dans le milieu de jazz. Peu y ont échappé. Certains restaient connus uniquement du cercle intime des musiciens, d'autres devinrent des moyens de reconnaissance aisés. Thomas 'Fats' Waller parmi eux était donc surnommé 'Fats' par le public, mais dans l'intimité continuait de se faire appeler Tom ou Thomas. Les surnnoms venaient parfois de l'enfance, souvent d'une particularité physique ou psychologique. Bref, le "blase" comme dirait Simonin, vous suivait partout où vous alliez. Voici les surnoms (et leur explication quand je l'ai trouvée) de quelques-uns des membres de l'orchestre de Cab. Read the full story →

Porky at the Crocadero (1938)

  Voici une petite merveille pleine d'humour et de jazz comme en produisaient régulièrement les studios de dessins animés dans les années 1930... Signé Frank TASHLIN, Porky at the Crocadero est sorti sur les écrans le 5 février 1938.   Read the full story →

L'équipe de base-ball de Cab Calloway

  Pour profiter des quelques instants de répit que leur réservaient les tournées, et pour aller à la rencontre de leur public, les big bands organisèrent progressivement des équipes de base-ball. Dans son autobiographie, Cab se vante d'avoir été l’un des tout premiers - voire le premier - à en avoir créé une. Harry James, Benny Goodman et Tommy Dorsey avaient eux aussi leur équipe tandis que Louis Armstrong soutenait une équipe semi-pro de New-Orleans. Ce dont Cab ne se vante pas en revanche, c’est de la façon dont il l’a dissoute… Read the full story →

“Shell Chateau”, the radio show with Al JOLSON (1936, Jan 25)

  Alors que Cab Calloway et son orchestre sont à Hollywood pour tourner dans le film "The Singing Kid" avec Al JOLSON, ce dernier profite de leur présence pour les inviter dans son émission radio du moment : "The Shell Chateau". Grâce à The Hi de Ho Blog, vous allez pouvoir écouter l'intégralité de cette émission qui comporte quatre numéros avec Cab Calloway et son orchestre !   Read the full story →

Jean QUEINNEC: hot fan of Cab

  Vous avez une question à poser sur le jazz et ses interprètes ? Vous cherchez une anecdote savoureuse sur les studios d’enregistrement français dans les années 50 ou 60 ? N’allez pas plus loin : Jean Queinnec – ancien directeur commercial de Bel Air (seconde chaîne de distribution chez Barclay) et Vice-Président opérations de CBS France – est un passionné par la musique depuis toujours, et du jazz depuis au moins aussi longtemps ! C’est également un fan de Cab qu’il a vu pour la première fois en 1953 lors de la tournée Porgy & Bess en France.   Read the full story →

“Jazz From The Beginning” by Garvin BUSHELL (1988) 1/2

  Certains ouvrages méritent d’être classés parmi les références indispensables pour bien comprendre l’évolution du jazz. Jazz From The Beginning appartient à ceux-là car tout y est : les petites histoires, les grands personnages, la réalité du quotidien, les courants musicaux… Et pourtant, son auteur, Garvin BUSHELL (1902-1991) est un musicien connu surtout par les spécialistes. Dans son autobiographie, il raconte en détail son parcours qui a notamment croisé celui de Cab Calloway de mai 1936 à août 1937. Quinze mois qui nous en disent long sur la vie de l’orchestre et sur ses rapports avec Cab qu’il n’aimait pas vraiment… Read the full story →

Tiny BRADSHAW, the Super Cab Calloway

  Plus connu pour sa période R&B, Myron 'Tiny' BRADSHAW a connu première carrière dans les années 1930. Jeune étudiant en psychologie, il était devenu le chanteur des Horace Henderson’s Collegians. Installé à New York en 1932, il y joua de la batterie pour plusieurs orchestres dont le Mills Blue Rhythm Band (l’orchestre créé par l’agent de Cab, Irving Mills, et qui servait de remplaçant au Cotton Club lorsque Cab et Duke étaient tous les deux absents).   Read the full story →

Chu Berry's 7CD Boxset at Mosaic Records

  Tous les amateurs de Cab Calloway connaissent bien Chu BERRY (1908-1941), saxophoniste ténor au talent prometteur, interrompu par un accident de voiture mortel en octobre 1941. Celui qui a inspiré Parker, Coltrane, celui que Ben Webster ou Coleman Hawkins redoutaient et admiraient à la fois, va avoir les honneurs d'un coffret intégrale chez MOSAIC Records.   Read the full story →

Cab Calloway's archives

  Quand on passe près de 70 ans sur scène, que l'on parcourt le monde entier, que l'on cotoie des musiciens et des artistes en tous genres, on accumule naturellement quelques "papiers". C'est effectivement ce qui est arrivé à Cab Calloway qui décida, en 1976, de faire don de ses archives personnelles à la librairie Mugar de Boston, MA. Aujourd'hui placée dans les Archives Howard Gotlieb, la "Cab Calloway Collection" recèle de nombreux trésors. The Hi de Ho Blog vous en dresse la liste... Read the full story →

Eugenie BAIRD: the one-duet singer

Eugénie BAIRD et une des chanteuses de jazz qui ont chanté en duo avec Cab Calloway. Parmi elles, on peut compter également June Richmond, Dotty Salters, Aida Ward, Josephine Baker, Ethel Waters et, naturellement ses filles, Lael, Chris et Cabella.   Read the full story →

”The Marquis Of Harlem” by Steve VOCE (1957)

  Steve VOCE est un journaliste britannique au service du jazz depuis près de 60 ans. Ses articles essaiment les journaux anglais depuis longtemps (Jazz Journal, The Independent où il tient la chronique funéraire des grands jazzmen…). C’est également un homme d’une grande générosité puisqu’il m’a spontanément envoyé une interview de Cab Calloway qu’il avait réalisée en 1957 alors qu’il était en tournée en Grande-Bretagne. En voici quelques extraits que je me suis permis de traduire rapidement (et avec son autorisation), afin de les partager avec vous. Read the full story →

“One Night Stand with the Big Bands”: 1973 radio interview of Cab Calloway

  Grâce à la gentillesse et à la générosité d’Arnold Dean et Bob Sherago, vous allez pouvoir écouter une interview intimiste et touchante de Cab Calloway, réalisée en février 1973 pour l’émission One Night Stand with the Big Bands. Cette émission mensuelle était diffusée sur la radio WTIC d’Hartford, dans le Connecticut. Vous allez y découvrir un Cab relatant ses débuts, ses relations avec les musiciens, notamment Chu Berry auquel il était particulièrement attaché. Un Cab intime et discret, à l’inverse de sa personnalité scénique. Read the full story →