Second volet de notre lecture de Jazz From The Beginning, nous allons maintenant voir comment Garvin BUSHELL a quitté l’orchestre de Cab Calloway et comment il a géré la suite de sa carrière. Enfin, il nous livrera son opinion si particulière sur sa production discographique durant sa période avec Cab (entre mai 1936 et septembre 1937). Read the full story →
Voilà bien une des petites perles que tout amateur de Cab se doit d'avoir dans sa collection. Ne serait-ce que pour sa pochette exceptionnelle : une caricature d'une grande élégance représente Cab dans sa queue-de-pie blanche typique. Le dos de la pochette est signé George AVAKIAN, célèbre producteur de disques de jazz. Et c'est Boris VIAN qui s'est chargé de la traduction. A sa lecture, on pourra même constater que Vian a nettement réaménagé à sa manière, tant il était fan de Cab Calloway. D'ailleurs, il est même stipulé "d'après George Avakian"... Read the full story →
La paie était bonne, l'uniforme tout neuf, les collègues renommés et la tournée prometteuse... pourtant, il suffit d'un soir au trompettiste Joe KEYES pour se faire son idée sur l'orchestre de Cab Calloway. Il y a peu de détails, mais The Hi de Ho Blog vous les livre intégralement ! Read the full story →
Il y a parfois des "collisions" étonnantes entre artistes et chansons... Celle de Grace MOORE, chanteuse d'opéra devenue comédienne, interprétant le tube de Cab Calloway, Minnie The Moocher, dans le film "When You're In Love" (Robert RISKIN, 1937) est un exemple frappant. Read the full story →
Souvenez-vous de la mine réjouie de ce batteur lors du fameux morceau d’anthologie Jumpin’ Jive pendant la scène tout aussi anthologique de Stormy Weather (1943) : c’est J.C. Heard ! Formidable batteur, J.C. Heard a apporté un véritable élan au niveau de la section rythmique de Cab Calloway. Et pourtant, il ne subsiste que très peu d’enregistrements de l’orchestre à cette époque : la grève du « record ban » débuta au moment où J.C. Heard remplaçait Cozy Cole aux baguettes. Et pour le coup, le siège était plus qu’éjectable… Read the full story →
Après sa rupture avec Zelma, Cab retourna terminer sa dernière année de lycée, mais échoua finalement. Il maintint son rythme hallucinant entre les clubs de jazz, l’école, le basket et les petits boulots. Mais tout va commencer grâce à Blanche, sa soeur, qui va l'aider à intégrer la revue Plantation Days. Ensuite, tout s'enchaîne relativement rapidement. Read the full story →
La personnalité et les chansons de Cab Calloway en ont fait un icone publicitaire depuis longtemps. Avec le revival suite à la sortie des films "The Blues Brothers" (John LANDIS, 1980) et "The Cotton Club" (Francis F. COPPOLA, 1984) , Cab est revenu sous le feu des projecteurs. Read the full story →
Mais que diable vient faire Odette LAURE dans The Hi de Ho Blog ? Eh bien la réponse est toute simple : sur cette pochade de 1955 dont les paroles ont été écrites par Roger Pierre et Jean-Marc Thibaut (musique de J. Prévost), la comédienne française entonne à la fin de chaque couplet la phrase inoubliable suivante : "Un excellent disque de Cab Calloway..." Read the full story →
Parmi les musiciens qui ont été aux pupitres des anches de l'orchestre de Cab Calloway, il y a beaucoup de vedettes telles que Chu Berry, Ben Webster, Ike Quebec ou encore Illinois Jacquet. Et puis, il y a également les obscures, les nettement moins connus qui ont pourtant contribué aux qualités artistiques du big band. L’un d’entre eux est Chauncey HAUGHTON ; et pourtant, il est un des rares (peut-être le seul - je dois vérifier) à avoir joué de l’alto avec 3 Calloway différents ! Read the full story →
Ben Webster est l’un des plus grands saxophonistes ténors de l’époque swing. A l’époque, seul Coleman Hawkins était considéré comme son égal… et petit à petit, Leon Chu BERRY entra dans la cour des grands. Ben Webster joua dans l’orchestre de Cab Calloway de septembre 1935 à juillet 1937. Comment ce grand soliste put s’accommoder du répertoire de Cab, comment les autres musiciens s’accommodèrent de son sacré caractère… Dans quelques instants, vous allez tout savoir. Read the full story →
Donner un surnom ("nickname") à un musicien était chose courante dans le milieu de jazz. Peu y ont échappé. Certains restaient connus uniquement du cercle intime des musiciens, d'autres devinrent des moyens de reconnaissance aisés. Thomas 'Fats' Waller parmi eux était donc surnommé 'Fats' par le public, mais dans l'intimité continuait de se faire appeler Tom ou Thomas. Les surnnoms venaient parfois de l'enfance, souvent d'une particularité physique ou psychologique. Bref, le "blase" comme dirait Simonin, vous suivait partout où vous alliez. Voici les surnoms (et leur explication quand je l'ai trouvée) de quelques-uns des membres de l'orchestre de Cab. Read the full story →
C’est dans ce chapitre que tout commence à se mettre vraiment en place dans la tête de Cab : musique + entertainment = succès + argent ! La formule sera celle qui l’animera toute son existence désormais. Read the full story →
Cette petite monographie est en réalité un tiré à part d’un plus gros ouvrage de référence, An Autobiography of Black Jazz (1983) de Dempsey J. TRAVIS (né en 1920). Ses 16 pages sont un long monologue de Cab, interrogé par Travis, quelques années plus tôt, en 1983. Read the full story →
Voici une petite merveille pleine d'humour et de jazz comme en produisaient régulièrement les studios de dessins animés dans les années 1930... Signé Frank TASHLIN, Porky at the Crocadero est sorti sur les écrans le 5 février 1938. Read the full story →
Pour profiter des quelques instants de répit que leur réservaient les tournées, et pour aller à la rencontre de leur public, les big bands organisèrent progressivement des équipes de base-ball. Dans son autobiographie, Cab se vante d'avoir été l’un des tout premiers - voire le premier - à en avoir créé une. Harry James, Benny Goodman et Tommy Dorsey avaient eux aussi leur équipe tandis que Louis Armstrong soutenait une équipe semi-pro de New-Orleans. Ce dont Cab ne se vante pas en revanche, c’est de la façon dont il l’a dissoute… Read the full story →
Alors que Cab Calloway et son orchestre sont à Hollywood pour tourner dans le film "The Singing Kid" avec Al JOLSON, ce dernier profite de leur présence pour les inviter dans son émission radio du moment : "The Shell Chateau". Grâce à The Hi de Ho Blog, vous allez pouvoir écouter l'intégralité de cette émission qui comporte quatre numéros avec Cab Calloway et son orchestre ! Read the full story →
Vous avez une question à poser sur le jazz et ses interprètes ? Vous cherchez une anecdote savoureuse sur les studios d’enregistrement français dans les années 50 ou 60 ? N’allez pas plus loin : Jean Queinnec – ancien directeur commercial de Bel Air (seconde chaîne de distribution chez Barclay) et Vice-Président opérations de CBS France – est un passionné par la musique depuis toujours, et du jazz depuis au moins aussi longtemps ! C’est également un fan de Cab qu’il a vu pour la première fois en 1953 lors de la tournée Porgy & Bess en France. Read the full story →
Certains ouvrages méritent d’être classés parmi les références indispensables pour bien comprendre l’évolution du jazz. Jazz From The Beginning appartient à ceux-là car tout y est : les petites histoires, les grands personnages, la réalité du quotidien, les courants musicaux… Et pourtant, son auteur, Garvin BUSHELL (1902-1991) est un musicien connu surtout par les spécialistes. Dans son autobiographie, il raconte en détail son parcours qui a notamment croisé celui de Cab Calloway de mai 1936 à août 1937. Quinze mois qui nous en disent long sur la vie de l’orchestre et sur ses rapports avec Cab qu’il n’aimait pas vraiment… Read the full story →
Plus connu pour sa période R&B, Myron 'Tiny' BRADSHAW a connu première carrière dans les années 1930. Jeune étudiant en psychologie, il était devenu le chanteur des Horace Henderson’s Collegians. Installé à New York en 1932, il y joua de la batterie pour plusieurs orchestres dont le Mills Blue Rhythm Band (l’orchestre créé par l’agent de Cab, Irving Mills, et qui servait de remplaçant au Cotton Club lorsque Cab et Duke étaient tous les deux absents). Read the full story →
Tous les amateurs de Cab Calloway connaissent bien Chu BERRY (1908-1941), saxophoniste ténor au talent prometteur, interrompu par un accident de voiture mortel en octobre 1941. Celui qui a inspiré Parker, Coltrane, celui que Ben Webster ou Coleman Hawkins redoutaient et admiraient à la fois, va avoir les honneurs d'un coffret intégrale chez MOSAIC Records. Read the full story →
Quand on passe près de 70 ans sur scène, que l'on parcourt le monde entier, que l'on cotoie des musiciens et des artistes en tous genres, on accumule naturellement quelques "papiers". C'est effectivement ce qui est arrivé à Cab Calloway qui décida, en 1976, de faire don de ses archives personnelles à la librairie Mugar de Boston, MA. Aujourd'hui placée dans les Archives Howard Gotlieb, la "Cab Calloway Collection" recèle de nombreux trésors. The Hi de Ho Blog vous en dresse la liste... Read the full story →
Voici un des aspects peu connus de Cab Calloway. En effet, s’il est un chanteur reconnu, peu d’entre vous savent qu’il débuta sa carrière en étant un batteur-chanteur. Mais il jouait également du saxophone, en tout cas, jusqu’à ce que Chu Berry le lui interdise… Read the full story →
Deuxième chapitre sur son enfance, "Mama, and Papa Jack", est une description intime et touchante de l’enfance de Cab à Baltimore. Read the full story →
Eugénie BAIRD et une des chanteuses de jazz qui ont chanté en duo avec Cab Calloway. Parmi elles, on peut compter également June Richmond, Dotty Salters, Aida Ward, Josephine Baker, Ethel Waters et, naturellement ses filles, Lael, Chris et Cabella. Read the full story →
Steve VOCE est un journaliste britannique au service du jazz depuis près de 60 ans. Ses articles essaiment les journaux anglais depuis longtemps (Jazz Journal, The Independent où il tient la chronique funéraire des grands jazzmen…). C’est également un homme d’une grande générosité puisqu’il m’a spontanément envoyé une interview de Cab Calloway qu’il avait réalisée en 1957 alors qu’il était en tournée en Grande-Bretagne. En voici quelques extraits que je me suis permis de traduire rapidement (et avec son autorisation), afin de les partager avec vous. Read the full story →
Grâce à la gentillesse et à la générosité d’Arnold Dean et Bob Sherago, vous allez pouvoir écouter une interview intimiste et touchante de Cab Calloway, réalisée en février 1973 pour l’émission One Night Stand with the Big Bands. Cette émission mensuelle était diffusée sur la radio WTIC d’Hartford, dans le Connecticut. Vous allez y découvrir un Cab relatant ses débuts, ses relations avec les musiciens, notamment Chu Berry auquel il était particulièrement attaché. Un Cab intime et discret, à l’inverse de sa personnalité scénique. Read the full story →
Avec une bouche dessinée comme s’il avait mangé sa bouillie au sabre, avec son extravagance et sa personnalité scénique, Cab était naturellement un sujet idéal pour la caricature. Mais c’est du côté des dessins animés que l’on doit regarder. Cab Calloway apparaît en effet en tête devant des personnalités noires au moins tout aussi influentes que lui à l’époque. On n’est jamais très loin des stéréotypes racistes. Read the full story →
Dans cette seconde note consacrée à Benny Payne, le pianiste de Cab Calloway de 1931 à 1943, nous allons découvrir comment il a réagi à son retour de l'armée et comment il a poursuivi sa carrière de pianiste. Nous parlerons également de sa femme, Ethel MOSES, qui a connu une splendide carrière de chorus girl au Cotton Club... Read the full story →
Tout le monde a déjà entendu quelques milliers de fois la chanson Minnie The Moocher, qui fut le thème de Cab de 1931 à 1994. Tout le monde sait que son succès vint d'une improvisation de Cab à cause d'un oubli des paroles de la chanson. Et c'est bien normal puisqu'elle compte pas moins de 7 couplets. Habituellement, seuls les 4 premiers sont chantés. Possesseur d'une partition d'époque, je suis heureux de vous proposer de découvrir l'intégralité des lyrics de cette chanson maintes fois reprise. Read the full story →
Le chanteur, pianiste et chef d’orchestre George E. LEE (1896-1958) est surtout connu… à cause de sa petite sœur, Julia. Durant quelques années, l’orchestre de George E. Lee écume les salles du Kansas. Il calque peu à peu son chant sur celui de Cab Calloway, au point que les publicités l’appellent le « Cab Calloway du Middle West ». Et pourtant, il avait tout pour en vouloir à Cab, après le mauvais coup de Brunswick sur le lancement de "Saint James Infirmary"... Read the full story →
Pannonica de KOENIGSWARTER (1913-1988) fut pendant quelques décennies l’égérie des musiciens de jazz new-yorkais. Ex-épouse d’un millionnaire, elle s’était prise de passion pour la musique noire-américaine. Toujours présente dans les clubs, elle devint vite la confidente de quelques-uns des grands noms du jazz, à commencer par Thelonious MONK. Sa maison (Cathouse, pour les « cats », joueurs de jazz, mais aussi les quelque 120 chats qui arpentaient la propriété) devint le refuge de tous ceux qui vivaient plus ou moins bien de leur instrument. Durant de nombreuses années, elle recueillit les réponses à une seule et unique question posée à des centaines de musiciens : « Si on t’accordait trois vœux qui devaient se réaliser sur-le-champ, que souhaiterais-tu ? » Read the full story →
Imaginez Cab Calloway en coq en train de passer une audition pour Porky Pig pour contrer le jeune poulet Frank Sinatra qui empêche tout un poulailler d’être productif… Il faut s’appeler Frank TASHLIN pour avoir l’esprit aussi déjanté ! Sorti en mai 1944, Swooner Crooner est une petite merveille que j’ai le plaisir de vous inviter à (re)découvrir, avec un superbe passage dans lequel Cab apparaît en grande forme… Read the full story →
C'est grâce aux archives dans les journaux américains que j'ai pu trouver cette anecdote étonnante qui voit Cab frapper Claude HOPKINS alors qu'il était sur la scène du Café Zanzibar, un soir d'août 1945... Mais ça n'était pas n'importe quel jour : c'était le 14 août 1945, et quelques minutes avant ou après, la reddition japonaise avait été annoncée à la radio, interrompant le broadcast en cours. Read the full story →
La revue Plantation Days est la toute première revue à laquelle Cab ait participé. On est en 1927 (ou 1925 selon les sources), et grâce à l’aide de sa sœur aînée Blanche, Cab va pouvoir participer à une partie de la tournée lors de son passage à Chicago. Un moment décisif qui mit le pied de Cab à l’étrier du show-business. Read the full story →
Cette anecdote, racontée dans son autobiographie, Cab la place en tête des exemples terribles de la ségrégation aux Etats-Unis. En décembre 1945, alors que Cab et son orchestre sont en tournée au Kansas, ils croisent Lionel Hampton en concert dans le coin. Read the full story →
Sur FRANCE INTER, vendredi 17 novembre 2006, dans l'émission de François JOSSE, "Esprit Critique", nous avons pu entendre CABU décrire son amour de la musique, de Trénet et de Cab Calloway en particulier. Read the full story →
Même si beaucoup de musiciens ont glosé sur la routine de jouer avec Cab et son incapacité à laisser ses solistes suffisamment s’exprimer, on doit tout de même reconnaître que de nombreux pupitres sont restés occupés par les mêmes personnes de nombreuses années. Et en tout premier lieu par Benny PAYNE, le pianiste de Cab de juillet 1931 (première date d’enregistrement) à fin 1943 (son départ à l’armée). Dans cette première partie, nous allons voir la carrière de Benny Payne avant et pendant Cab. Read the full story →
Ralph BROWN (1914-1990) est l'un de ces nombreux danseurs de claquettes qui faisaient partie du spectacle du Cotton Club lorsque Cab menait la revue. Son nom n’est connu que des amateurs éclairés du tap dance, mais ses performances méritent que l’on s’y penche un peu. Read the full story →
George MAYER (1912?-1974) était un showman assez populaire dans les années trente. Sa particularité, en dehors d’être la ‘beatbox’ du moment (il faisait littéralement du tapdancing avec sa bouche), était d’imiter Cab Calloway, tant dans son jeu de scène que dans ses Hi de Ho. Read the full story →
Moe GALE (né Moses Galewski, 1899-1964) fut le premier agent qu'eut Cab Calloway. Il signa avec lui un contrat qui faisait de lui un artiste pieds et poings liés pour 10 ans, avec un salaire fixe de 100 $ par semaine. Si cela semblait une fortune pour Cab au moment d'arriver à New York, cela relevait de l'escroquerie pure et simple : en quelques semaines, Cab allait « valoir » plus de 500 $ par semaine. Mais ça n'est pas tout… Read the full story →
Qu'est-ce qui leur a pris ? Voilà la première question que l"on est en droit de se poser en regardant ce clip de 1967 du groupe australien The Cherokees, interprétant Minnie The Moocher dans une version on ne peut plus sixties… Minnie The Moocher chanté de cette manière, même Cab dans le pire de ses cauchemars (ou de ses délires d’adaptation… voir pour cela sa pitoyable version disco de 1978) n’y aurait même pas songé ! Read the full story →
« Bon sang, si tu as réussi comme ça, c’est bien parce que tu es et as toujours été un acharné et un entêté de foutu nègre. » Je vous l’avais dit : le ton est donné ! Dans ce premier chapitre se dévoile le caractère de Cab, déjà très marqué et inexorablement attiré par la rue et ses jeux plutôt que par l’école. Read the full story →
Si Cab est resté longtemps connu des enfants et des trentenaires d'aujourd'hui aux USA, c'est grâce à ses apparitions télévisées (et maintes fois répétées) dans l'émission pour enfants Sesame Street. Enregistrées pendant la saison 12 (1980), trois saynètes chantées permirent de faire découvrir le roi du Hi de Ho aux plus petits, dans un décor inspiré du Cotton Club. Read the full story →
En préambule au récit de sa vie, Cab se devait de saluer au passage Minnie The Moocher. Dans une courte introduction, il raconte les circonstances désormais très connues (et somme toute douteuses, tellement elle font « trop » vrai) et explique les raisons qui l’ont poussé à écrire ses mémoires. Read the full story →
Quand on a la chance de rencontrer Gilles Pétard, on se dit que l’on n’est qu’un petit amateur de jazz à côté de lui. Tout petit ! Voilà quelqu’un qui depuis toujours s’est passionné pour la musique noire et qui a accumulé une collection sans commune mesure. Nous concernant, c’est surtout grâce à lui que l’on a la chance de pouvoir écouter l’intégrale de l’œuvre de Cab, en tout cas jusqu’en 1955, dans la fameuse collection Chronogical Classics. Mais Gilles Pétard connaît Cab depuis bien plus longtemps… Read the full story →
Off Minnie The Moocher and Me est l’autobiographie de Cab Calloway, coécrite avec Bryant ROLLINS et publiée en 1976 par Thomas Y. Crowell Company. Plus de 250 pages pleines de vie, de jazz, de souvenirs plus ou moins « arrangés » pour l’occasion… et surtout une mine d’informations capitales pour bien connaître la vie de Cab Calloway mais aussi son époque et ses musiciens. Durant un an (soit jusqu’à la publication de The Hi-de-Ho Man d’Alyn SHIPTON, la première biographie importante sur Cab), The Hi de Ho Blog va vous « lire » ces mémoires exceptionnelles. Vous n’allez pas être déçus ! Read the full story →