On several occasions in the 1970s Cab teamed up with producer Ben Bagley to record musical comedy show tunes for LP salutes to the great popular songwriters. Bagley’s Revisited series of albums pay tribute to the iconic Broadway composers and lyricists with some of their more obscure and forgotten songs. Those exceptional albums are cherished and widely coveted by collectors. Keller Whalen, for The Hi De Ho Blog, tells you the whole story. And it’s history! By Keller WHALEN Read the full story →
“Eadie Was a Lady” was recorded by Cab Calloway on December 7, 1932. Today, The Hi De Ho Blog is happy to welcome an essay on this song, sharply written by one of the biggest Cab Calloway fan I know: Keller WHALEN. This American guy, friend of mine has digged the roots and the many covers of that song with such strange lyrics... Read the full story →
On a parfois de belles surprises en lisant la presse de l'époque. En regardant avec attention les archives du quotidien noir The Chicago Defender, je suis tombé sur deux articles de juillet 1939 relatant l'envie de Cab Calloway d'arrêter de chanter du Hi de Ho, la formule qui avait fait son succès. Regardons cela de plus près pour comprendre ses motivations et constater... que ça n'a pas vraiment cessé ! Read the full story →
Qu'il est difficile d'adapter en français des textes de standards de jazz. Beaucoup s'y sont frottés et s'y sont piqués ! Mais quand il s'agit d'adapter en français le jive obscur et incohérent de Cab Calloway, cela relève du défi majeur de tout traducteur ! Apparemment, Lucien Lagarde* n'avait pas son Hepsters Dictionary en main lorsqu'il a commis cette adaptation très très libre de "The Jumpin' Jive"... Read the full story →
Recorded on March 3, 1937, Peckin' is a novelty song intended to create new fashionable dance. In the lyrics, Cab Calloway refers to other dances launched by him at the Cotton Club, like the Suzy-Q and Truckin'. The Hi de Ho Blog tells you what he knows about this ancestor of the Duck Trot and, most famous in France, La danse des canards... Read the full story →
Les expressions argotiques employées dans les chansons de Cab Calloway sont parfois difficiles voire impossible à décrypter si l'on n'était pas dans l'époque, Noir ou musicien de jazz ! L'histoire raconte qu'Irving Mills insistait même pour ajouter encore plus d'argot dans les chansons de manière à ce que cela soit toujours plus "exotique" pour les bourgeois blancs qui assistaient aux revues du Cotton Club... Ce n'est pas par hasard si dès 1938 Cab Calloway sortit son Hepsters Dictionary qui recense toutes ces expressions (bon, c'était aussi pour faire la nique à Benny Goodman qui distribuait un petit dictionnaire du swing à son public). Read the full story →
Il n'y a pas que le Hi de Ho dans la vie de Cab Calloway ! En tout cas, si en 1940 il disait déjà vouloir arrêter la recette qui avait fait son succès (voir notre article à ce sujet), Cab avait même des velléités du côté d'une oeuvre symphonique. Etonnant, non ? The Hi de Ho Blog va vous en dire (un petit peu) plus. Read the full story →
Enregistré le 22 janvier 1934 à New York, le titre Jitter Bug est une oeuvre commune d'Edwin Swayzee (trompettiste depuis 1932 avec Cab) et de Cab Calloway. Les avis sont multiples sur l'origine du mot Jitter Bug. Il faut dire qu'à l'époque où est sorti le disque de Cab, il connut un tel succès que beaucoup voulurent s'en arroger l'origine, Cab le premier. En fait, le Jitterbug était une danse pratiquée au Savoy Ballroom de New York dès 1926 (au moment de son ouverture). Ses danseurs furent célèbres plus tard sous le nom des Lindy Hoppers (que l'on voit avec bonheur dans A Day At the Races et Hellzapoppin'). Comme on était à l'époque de la Prohibition et que les mouvements hystériques des danseurs faisaient penser à des ivrognes, on appela cette danse jitter-bug en référence à la jitter-sauce (l'alcool frelaté). Read the full story →
Ce n'est pas à proprement parler une chanson de Cab. Pour autant, elle lui a permis d'être relancé en France lors de sa sortie en 1947 dans le film de Jean Boyer, "Mademoiselle s'amuse". "Armstrong, Duke Ellington, Cab Calloway", interprétée par Henri Salvador et les Collégiens menés par Ray Ventura a en effet contribué à remettre dans les bacs des disquaires les galettes de Calloway. Read the full story →
Voilà bien un titre qui a longtemps fait parler de lui. Amateurs de marijuana et autres herbes délirantes, ce morceau est pour vous. Le "Reefer Man" est en effet le type qui vend des joints au coin de la rue, bref, le petit dealer auprès desquels le bourgeois s'encanaillait dans Harlem. C'était aussi celui qu'allaient souvent voir les musiciens de jazz, consommateurs très réguliers. Un morceau de bravoure et de slap pour le contrebassiste Al MORGAN (ce qui lui valu son heureu de gloire) et qui fut repris par Milt HINTON dans des circonstances très particulières... Read the full story →
Depuis quelque temps, les personnages des séries TV sont désignés par le public comme les héros des temps modernes. Soit. Tant qu'on en profite pour écouter un peu de jazz. Remercions donc Hugh Laurie, le fameux Docteur House de la série (piano), James Denton (Desperate Housewives - guitare), Greg Grunberg (Heroes - batterie) d'avoir créé un groupe de rock jouant uniquement dans des bals de charité (toujours la bonne conscience hollywoodienne) : BAND FROM TV qui a enregistré le tube de Cab Calloway, Minnie The Moocher ! Read the full story →
Il y a parfois des "collisions" étonnantes entre artistes et chansons... Celle de Grace MOORE, chanteuse d'opéra devenue comédienne, interprétant le tube de Cab Calloway, Minnie The Moocher, dans le film "When You're In Love" (Robert RISKIN, 1937) est un exemple frappant. Read the full story →
Tout le monde a déjà entendu quelques milliers de fois la chanson Minnie The Moocher, qui fut le thème de Cab de 1931 à 1994. Tout le monde sait que son succès vint d'une improvisation de Cab à cause d'un oubli des paroles de la chanson. Et c'est bien normal puisqu'elle compte pas moins de 7 couplets. Habituellement, seuls les 4 premiers sont chantés. Possesseur d'une partition d'époque, je suis heureux de vous proposer de découvrir l'intégralité des lyrics de cette chanson maintes fois reprise. Read the full story →
Qu'est-ce qui leur a pris ? Voilà la première question que l"on est en droit de se poser en regardant ce clip de 1967 du groupe australien The Cherokees, interprétant Minnie The Moocher dans une version on ne peut plus sixties… Minnie The Moocher chanté de cette manière, même Cab dans le pire de ses cauchemars (ou de ses délires d’adaptation… voir pour cela sa pitoyable version disco de 1978) n’y aurait même pas songé ! Read the full story →
Cab a écrit et co-écrit une petite centaine de chansons au cours de sa carrière. Une de ses premières créations fut « Lady With The Fan ». Dans son autobiographie, Cab nous raconte qu'il avait en tête une des chorus girls du Cotton Club : Amy Spencer. Elle dansait en cachant ses formes derrière un large éventail à vous d"imaginer pourquoi Cab écrivit cette chanson (surtout de là où il était placé pour l’écrire…). Read the full story →
Voici un des grands standards du jazz co-écrit en 1933 par Ted Koehler (paroles) et Harold Arlen (musique) et qui donna 10 ans plus tard son titre au film éponyme d’Andrew L. Stone. La petite histoire veut qu'Arlen et Joehler pensaient destiner cette chanson à Cab, comptant sur ses ressorts dramatiques pour faire résonner les fameuses premières paroles : "Don’t know why…" Le sort - plus exactement le management du Cotton Club - en décida autrement. Read the full story →
Sacrée Minnie : elle n’a pas fini de faire parler d’elle. Notamment au cours de l’émission American Idol diffusée aux USA sur la FOX et qui n’est autre que la version américaine de notre incontournable (!) Nouvelle Star de M6. En effet, lors de la saison 1 (2003), la candidate Tamyra GRAY en a fait une interprétation éblouissante (complètement calquée sur celle de Cab dans les Blues Brothers), accompagnée d’un brillant big band. Le public – comme le jury – furent enthousiasmés. Pour autant, la belle Tamyra finit 4e d’American Idol. Je vous laisse juge… Read the full story →
Voici un extrait de petit film dans lequel Cab interprète avec son orchestre du Cotton Club une des ces chansons interlopes qui faisaient frémir le spectateur aventuré à Harlem. On y parle de la drogue et de ses méfaits et naturellement, la petite Minnie the Moocher est dans le coup... Read the full story →
Elle en aura entendu des vertes et des pas mûres la petite Minnie ! Parmi toutes les adaptations (auxquelles nous consacrerons régulièrement des notes !), il y a celle faite par le Reggae Philarmonic Orchestra en 1988. Parue en album, elle a même eu droit à un maxi-single avec 2 versions. Extrait exclusif ! Read the full story →
Souvenez-vous de Carol DOUGLAS, diva du disco... Eh bien sa mère Minnie Newsome, qui fut notamment chanteuse dans l'orchestre de Cootie Williams, aurait servi de modèle à Cab Calloway pour Minnie The Moocher ! Read the full story →
Ok, Ok, c’est la « signature » de Cab Calloway depuis toujours. En fait depuis 3 mars 1931, date à laquelle il enregistra la chanson en studio suite au succès rencontré sur la scène du Cotton Club alors qu’il interprétait le thème et que, pris d’un trou de mémoire, il improvisa le refrain « hi-de-hi-de-hi-de-ho » repris en chœur par les musiciens et le public. Ça, c’est l’histoire « officielle » qu’on a tous entendue, lue et relue. Pourtant, il est intéressant d’aller y voir de plus près… Read the full story →