Encore un long chapitre dans l'autobiographie de Cab. Et le sujet est beau : le Cotton Club, les tournées, la vie sentimentale tourmentée du jeune couple... Mais aussi l'histoire de Minnie The Moocher, celle de l'escroquerie de Moe gale et la montée en puissance d'Irving Mills, des anecdotes terribles sur le racisme durant les tournées dans le sud des Etats-Unis. Attention à quelques approximations chronologiques dans le récit de Cab, mais il est tellement captivant qu'on l'excuse facilement. Bonne lecture ! Read the full story →
Plus long chapitre de son autobiographie, « New York and The Cotton Club » présente les débuts de Cab et sa réussite fulgurante qui fit de lui un des jazzmen les plus écoutés du moment. En toute modestie – une fois de plus – Cab explique que les Alabamians avaient la chance avec eux, tout d’abord parce qu’ils étaient un bon orchestre, mais surtout parce que lui était à sa tête, lui donnant une présence particulière grâce à la manière dont il le conduisait sur scène. Rien que ça ! Pour autant, les Alabamians ressemblaient peu ou prou aux orchestres blancs de Chicago, ceux de Benny Meroff ou de Paul Ash... Read the full story →
Après sa rupture avec Zelma, Cab retourna terminer sa dernière année de lycée, mais échoua finalement. Il maintint son rythme hallucinant entre les clubs de jazz, l’école, le basket et les petits boulots. Mais tout va commencer grâce à Blanche, sa soeur, qui va l'aider à intégrer la revue Plantation Days. Ensuite, tout s'enchaîne relativement rapidement. Read the full story →
C’est dans ce chapitre que tout commence à se mettre vraiment en place dans la tête de Cab : musique + entertainment = succès + argent ! La formule sera celle qui l’animera toute son existence désormais. Read the full story →
Deuxième chapitre sur son enfance, "Mama, and Papa Jack", est une description intime et touchante de l’enfance de Cab à Baltimore. Read the full story →
« Bon sang, si tu as réussi comme ça, c’est bien parce que tu es et as toujours été un acharné et un entêté de foutu nègre. » Je vous l’avais dit : le ton est donné ! Dans ce premier chapitre se dévoile le caractère de Cab, déjà très marqué et inexorablement attiré par la rue et ses jeux plutôt que par l’école. Read the full story →
En préambule au récit de sa vie, Cab se devait de saluer au passage Minnie The Moocher. Dans une courte introduction, il raconte les circonstances désormais très connues (et somme toute douteuses, tellement elle font « trop » vrai) et explique les raisons qui l’ont poussé à écrire ses mémoires. Read the full story →
Off Minnie The Moocher and Me est l’autobiographie de Cab Calloway, coécrite avec Bryant ROLLINS et publiée en 1976 par Thomas Y. Crowell Company. Plus de 250 pages pleines de vie, de jazz, de souvenirs plus ou moins « arrangés » pour l’occasion… et surtout une mine d’informations capitales pour bien connaître la vie de Cab Calloway mais aussi son époque et ses musiciens. Durant un an (soit jusqu’à la publication de The Hi-de-Ho Man d’Alyn SHIPTON, la première biographie importante sur Cab), The Hi de Ho Blog va vous « lire » ces mémoires exceptionnelles. Vous n’allez pas être déçus ! Read the full story →