Elle en aura entendu des vertes et des pas mûres la petite Minnie ! Parmi toutes les adaptations (auxquelles nous consacrerons régulièrement des notes !), il y a celle faite par le Reggae Philarmonic Orchestra en 1988. Parue en album, elle a même eu droit à un maxi-single avec 2 versions. Extrait exclusif ! Read the full story →
Voici le film qui a fait découvrir Cab Calloway à toute une génération de spectateurs (moi en l’occurrence) et qui a largement contribué à relancer sa carrière à l’approche de ses 80 ans ! On ne reviendra pas ou prou sur ce film épique tourné par John LANDIS et basé sur les personnages développés par John BELUSHI et Dan AYKROYD pour l’émission TV « Saturday Night Live ». Le rôle de Cab Calloway n’a que quelques répliques mais connaît son apogée au moment du concert final lorsqu’il chante sa chanson-signature « Minnie The Moocher ». Il apparaît alors comme par magie dans sa tenue de scène blanche des années du Cotton Club. Read the full story →
Tout le monde - en tout cas, ceux qui ont vu le film - se souvient de la très jolie scène où Cab Calloway passe en revue le Hepsters' Dictionary dans "Sensations of 1945" d'Andrew Stone. Un gamin en queue de pie blanche accompagne Cab et lui donne la réplique tandis qu'un chat en dessin animé reproduit les mouvements zazous du maestro. Ce petit gamin a toujours beaucoup plu aux amateurs de jazz sans qu'il soit pour autant cité au générique du film. Du coup, on a perdu son identité. Du coup, The Hi de Ho Blog a mené l'enquête et a trouvé la réponse "tant" attendue par les connaisseurs. Read the full story →
Il y a 10 ans mourait Charles Trénet. Celui que la France appelait "le fou chantant" a eu une carrière formidable, entamée dans les années 1930. Mais tout le monde ne sait pas forcément que Cab Calloway a sans doute influencé notre grande Charles (Trénet, pas de Gaulle !). Read the full story →
Le chanteur, pianiste et chef d’orchestre George E. LEE (1896-1958) est surtout connu… à cause de sa petite sœur, Julia. Durant quelques années, l’orchestre de George E. Lee écume les salles du Kansas. Il calque peu à peu son chant sur celui de Cab Calloway, au point que les publicités l’appellent le « Cab Calloway du Middle West ». Et pourtant, il avait tout pour en vouloir à Cab, après le mauvais coup de Brunswick sur le lancement de "Saint James Infirmary"... Read the full story →
Homme de scène par excellence, Sammy Davis Jr. a été largement influencé par Cab Calloway dans sa jeunesse. Il racontait même qu’il regardait Cab chanter et danser en secouant sa tête avec beaucoup d’admiration. Il passait alors des heures à reproduire le mouvement. Ses prestations ultérieures montrèrent qu’il avait tout de même son jeu de scène. La route de Sammy Davis Jr. croisa celle de Cab Calloway plus tard en 1958 lorsque la MGM entreprît de tourner Porgy & Bess. Read the full story →
Vous n'avez pas encore lu la première biographie de Cab CALLOWAY ? C’est normal : elle ne paraîtra que fin 2007 pour le centenaire du roi du Hi-de-Ho ! En ce moment, Alyn SHIPTON est justement en train d’en terminer la rédaction (fin des travaux prévue en août 2006 !) et nous a accordé une interview exclusive pour The Hi de Ho Blog. Rencontre avec un historien du jazz, anglais et francophile, doublé d’un contrebassiste distingué. Read the full story →
Sacrée Minnie ! Elle en a fait tourner des têtes... Jusqu'à celles d'aviateurs britanniques pendant la seconde guerre mondiale. Vous avez en effet sous les yeux la photo d'un bombardier B17 baptisé en l'honneur de l'égérie de Cab. Read the full story →
Au début, ils étaient 2 : les fabuleux Nicholas Brothers, Harold (mort en 2000) et Fayard (91 ans). Depuis le 24 janvier dernier, il n'y a plus que les images pour se souvenir de ce duo de danseurs étonnants que Cab croisa plusieurs fois dans sa carrière : au Cotton Club et surtout avec le film « Stormy Weather ». Read the full story →
Off Minnie The Moocher and Me est l’autobiographie de Cab Calloway, coécrite avec Bryant ROLLINS et publiée en 1976 par Thomas Y. Crowell Company. Plus de 250 pages pleines de vie, de jazz, de souvenirs plus ou moins « arrangés » pour l’occasion… et surtout une mine d’informations capitales pour bien connaître la vie de Cab Calloway mais aussi son époque et ses musiciens. Durant un an (soit jusqu’à la publication de The Hi-de-Ho Man d’Alyn SHIPTON, la première biographie importante sur Cab), The Hi de Ho Blog va vous « lire » ces mémoires exceptionnelles. Vous n’allez pas être déçus ! Read the full story →
From the Cotton Club to the “Blues Brothers”, from the roaring 20’s until his death in 1994, Cab CALLOWAY has been a larger than life entertainer, first known for his song created in 1931 that drove him to fame: “Minnie The Moocher”. Read the full story →
L’album de Joe JACKSON fit l’effet d’une véritable bourrasque sur les platines lorsqu’il sortit en juin 1981. Alors qu’il venait de sortir d’albums très rock (Look Sharp!, 1979 et Beat Crazy, 1980), Joe Jackson surprend tout le monde avec un album de reprises des années 30 et 40. Joe Jackson y joue du vibraphone et chante avec sa gouaille idéale pour entonner ces « chansons plutôt chantées dans des tripots qu’à Carnegie Hall ! » Les chansons de/ou chantées par Cab Calloway reprises dans cet album* : * We, The Cats (Shall Help Ya) * San Francisco Fan * Jumpin’ Jive En fait, le punk-rocker Jackson mettait à jour les racines du Rock ! Read the full story →
On savait l'auteur du grand Duduche fan de jazz : mais Cab Calloway tient une place à part dans le coeur de CABU. Alors, lorsqu'on lui a demandé d'illustrer les coffrets de la collection de CD "Masters of Jazz", il a créé pour l'anthologie sur Cab Calloway une couverture unique. C'est avec le même enthousiasme qu'il a croqué Cab sur 6 pages dans ses Carnets de jazz parus en 2004 aux éditions du Layeur. "Il a fait le con toute sa vie en scatant !" proclame Cabu. Pour lui, Calloway était le "chanteur le plus délirant, le chef d'orchestre le plus swing"... et surtout "il sait me persuader que la vie est belle". D'ailleurs, de Cab à Cabu, il ne manque pas grand-chose, non ? Read the full story →
Cet étonnant ensemble d'automates mécaniques date de 1931 "Marx Merry Makers Mouse Band". Même si de prime abord la ressemblance n'est pas frappante, on se réjouira de constater à quel point la boîte d'origine met le personnage du chef d'orchestre dans une position très similaire à Cab Calloway dans ces années-là. Read the full story →
Le premier single du groupe de rap OUTKAST de la bande originale du film Idlewild vient de sortir aux USA. La structure du morceau s’organise autour des fameux « Hi-de-Hi-de-i-de-Ho » de Cab, réécrit « Mighty-I-de-I-de-I/ O-de-o-de-o-de-o ». Read the full story →
A 89 ans, vient de s'éteindre William Gottlieb, photographe fantastique du jazz. Si ses clichés sont célèbres dans le monde entier, il a pourtant arrêté de photographier en 1948 (alors qu'il n'avait commencé qu'en 1939 !). Le site de la Librairie du Congrès possède d'ailleurs 13 superbes clichés de Cab Calloway par Gottlieb, pris en mars 1947 dans les studios d'enregistrement de la Columbia. Read the full story →
In 1948, while his popularity was rather low and his concerts became downright rare, Cab Calloway enjoyed the limelights of the release of a short comic about him published by Famous Funnies editions. Entitled "Cab Calloway, dean of American jive", the 3 pages are part of the Juke Box series published from March 1948 to January 1949. The whole series was about music. Many famous artists appear: Spike Jones, Duke Ellington, Count Basie, Peggie Lee, Tommy Dorsey, Mel Tormé, Xavier Cugat, Stan Kenton, Lena Horne, Bettie Hutton, Lionel Hampton, Johnny Mercer, Woody Herman, Al Jolson, Guy Lombardo, Buddy Rich, etc. and Cab Calloway of course! Read the full story →
Plus long chapitre de son autobiographie, « New York and The Cotton Club » présente les débuts de Cab et sa réussite fulgurante qui fit de lui un des jazzmen les plus écoutés du moment. En toute modestie – une fois de plus – Cab explique que les Alabamians avaient la chance avec eux, tout d’abord parce qu’ils étaient un bon orchestre, mais surtout parce que lui était à sa tête, lui donnant une présence particulière grâce à la manière dont il le conduisait sur scène. Rien que ça ! Pour autant, les Alabamians ressemblaient peu ou prou aux orchestres blancs de Chicago, ceux de Benny Meroff ou de Paul Ash... Read the full story →
Sacrée Minnie : elle n’a pas fini de faire parler d’elle. Notamment au cours de l’émission American Idol diffusée aux USA sur la FOX et qui n’est autre que la version américaine de notre incontournable (!) Nouvelle Star de M6. En effet, lors de la saison 1 (2003), la candidate Tamyra GRAY en a fait une interprétation éblouissante (complètement calquée sur celle de Cab dans les Blues Brothers), accompagnée d’un brillant big band. Le public – comme le jury – furent enthousiasmés. Pour autant, la belle Tamyra finit 4e d’American Idol. Je vous laisse juge… Read the full story →
Si Cab est resté longtemps connu des enfants et des trentenaires d'aujourd'hui aux USA, c'est grâce à ses apparitions télévisées (et maintes fois répétées) dans l'émission pour enfants Sesame Street. Enregistrées pendant la saison 12 (1980), trois saynètes chantées permirent de faire découvrir le roi du Hi de Ho aux plus petits, dans un décor inspiré du Cotton Club. Read the full story →
Caricaturé, animé, imité, parodié... Cab Calloway a connu toutes les métamorphoses ! Il a également été transformé en pantin par Griff Williams, marionnettiste et chef d'orchestre. The Hi de Ho Blog va vous raconter ce qu'il en sait... Read the full story →
Plus connu pour sa période R&B, Myron 'Tiny' BRADSHAW a connu première carrière dans les années 1930. Jeune étudiant en psychologie, il était devenu le chanteur des Horace Henderson’s Collegians. Installé à New York en 1932, il y joua de la batterie pour plusieurs orchestres dont le Mills Blue Rhythm Band (l’orchestre créé par l’agent de Cab, Irving Mills, et qui servait de remplaçant au Cotton Club lorsque Cab et Duke étaient tous les deux absents). Read the full story →
George MAYER (1912?-1974) était un showman assez populaire dans les années trente. Sa particularité, en dehors d’être la ‘beatbox’ du moment (il faisait littéralement du tapdancing avec sa bouche), était d’imiter Cab Calloway, tant dans son jeu de scène que dans ses Hi de Ho. Read the full story →
Il faut s'y résoudre : les derniers acteurs et témoins du jazz des années 30 et 40 commencent à être de plus en plus rares... Et depuis dimancher 21 mai 2006, le monde du jazz et de la danse compte une grande vedette de moins en la personne de Katherine DUNHAM. Son talent et son tempérament l'avait fait remarquer par Hollywood qui la fit travailler à de nombreuses reprise, comme Cabin In The Sky et... Stormy Weather. Read the full story →
Les producteurs de disques manquent cruellement d’imagination et le cas de Cab en est la preuve flagrante. Alors que des dizaines d’heures de concerts dorment dans les maisons de disques ou chez certains collectionneurs, on nous refait une fois encore le coup de la compilation. Saluons toutefois les efforts de Rev-Ola, petite maison de production britannique, qui sort ces jours-ci un album intitulé « The Hi de Ho Man » (le titre lui-même ne brillant pas par son originalité). Read the full story →
Deuxième chapitre sur son enfance, "Mama, and Papa Jack", est une description intime et touchante de l’enfance de Cab à Baltimore. Read the full story →
C’est dans ce chapitre que tout commence à se mettre vraiment en place dans la tête de Cab : musique + entertainment = succès + argent ! La formule sera celle qui l’animera toute son existence désormais. Read the full story →
The name “Calloway” was a huge path to success. Before Cab, of course, there was Blanche, the elder sister (born in 1903) who started out with Louis Armstrong before having her own orchestra in 1931. But what few of us know is that Cab had a younger brother who also happened to lead his own orchestra. But to find out more about Elmer Calloway, you have to search and search and search. But don’t try searching at Cab’s house. Read the full story →
La personnalité et les chansons de Cab Calloway en ont fait un icone publicitaire depuis longtemps. Avec le revival suite à la sortie des films "The Blues Brothers" (John LANDIS, 1980) et "The Cotton Club" (Francis F. COPPOLA, 1984) , Cab est revenu sous le feu des projecteurs. Read the full story →
On peut être le plus grand zazou de tous les temps et se voir réduit à quelques centimètres de hauteur ! La preuve avec l'atelier californien Kings Road miniatures, qui édite une série spéciale avec les "héros" du XXe siècle, en tout cas ceux qui ont inspiré leur époque. On y retrouve Clara Bow, Rudolph Valentino, des pionniers de l'aviation comme Lindbergh et... Cab Calloway ! Read the full story →
Le talent d'Alyn SHIPTON dans son analyse et sa compréhension des musiciens, de leur vie et de leur rapport au public est incontestable. Les nombreux ouvrages qu'il a consacrés à des biographies de grands jazzmen sont là pour le prouver. Alyn Shipton a publié le premier ouvrage entièrement consacré au roi du Hi de Ho à l'automne 2010, sous le titre "Hi-De-Ho: The Life of Cab Calloway". Il a également été conseiller historique pour le documentaire "Cab Calloway, le dandy de Harlem" (2010). En avril 2011, il a été interviewé par le Jerry Jazz Musician, un des sites Internet les plus passionnants consacrés au Jazz qui vient de mettre en ligne cette longue discussion. Read the full story →
Si l'on vous dit (enfin, si Elvis Costello himself) que c'est le meilleur disquaire de collection au monde, croyez-nous : le VILLAGE MUSIC situé à Mill Valley, Californie, vient de fermer ses portes. Et c'est tout un monde qui se referme, plein de pochettes et de photos rarissimes, de vieux LP improbables. Pourquoi vous parlé-je de ce magasin où je n'ai jamais mis les pieds (heureusement pour ma carte bleue !) ? Read the full story →
En préambule au récit de sa vie, Cab se devait de saluer au passage Minnie The Moocher. Dans une courte introduction, il raconte les circonstances désormais très connues (et somme toute douteuses, tellement elle font « trop » vrai) et explique les raisons qui l’ont poussé à écrire ses mémoires. Read the full story →
« Bon sang, si tu as réussi comme ça, c’est bien parce que tu es et as toujours été un acharné et un entêté de foutu nègre. » Je vous l’avais dit : le ton est donné ! Dans ce premier chapitre se dévoile le caractère de Cab, déjà très marqué et inexorablement attiré par la rue et ses jeux plutôt que par l’école. Read the full story →
Après sa rupture avec Zelma, Cab retourna terminer sa dernière année de lycée, mais échoua finalement. Il maintint son rythme hallucinant entre les clubs de jazz, l’école, le basket et les petits boulots. Mais tout va commencer grâce à Blanche, sa soeur, qui va l'aider à intégrer la revue Plantation Days. Ensuite, tout s'enchaîne relativement rapidement. Read the full story →
Alors que ce fameux groupe de rock a récemment annoncé sa séparation (février 2011), voici la version très callowayenne d'un des tubes de Cab, St James Infirmary Blues de Joe Primrose. Elle fut enregistrée pour l'album éponyme du groupe en 2002. A rapprocher, naturellemment, de la version de 1933 enregistrée pour le dessin animé de Betty Boop... Read the full story →
Le 23 février dernier s'est tenue la vente aux enchères des biens de Lena HORNE, décédée en mai 2010. Plus de 200 pièces, bijoux, livres, meubles, tableaux, photos, robes, etc. ont été mis en vente. Naturellement, sur quelques photos vendues figurait également Cab Calloway (des photos publicitaires pour le film Stormy Weather). Read the full story →
Cab Calloway vécut les dernières années de sa vie dans une grande maison de la banlieue chic de New York, à White Plains. C'est là que, depuis 1955, se donnaient rendez-vous Nat King Cole, Lionel Hampton, Duke Ellington, Lena Horne (et même Michael Jackson !) et de nombreuses personnalités ou anonymes pour se remémorer le bon vieux temps, faire une jam, ou tout simplement déguster les barbecues dont Cab avait le secret. Là sont rassemblés de nombreux souvenirs et objets personnels du roi du Hi-de-Ho. Read the full story →
Nous avons la grande tristesse de vous informer de la mort de Chris Calloway, fille de Cab, des suite d'un cancer. Elle se battait depuis 1987 contre la maladie, l'avait vaincue une première fois puis a succombé le jeudi 7 août 2008. Elle est décédée à Santa Fe au Nouveau-Mexique, là où elle résidait depuis 1991. Trop fatiguée, elle n'avait pu donner son dernier concert prévu le 20 juillet dernier. Read the full story →
La veuve de Milt HINTON (1910-2000) est décédée le 3 mai dernier des suites d'un cancer à l'âge de 89 ans, dans la demeure familiale du Queens. Mona avait rencontré Milt en 1939 lors de l'enterrement de sa grand-mère. Tous les deux ne se quittèrent pas pendant 61 ans. Ils formaient un couple réputé pour sa gentillesse et sa générosité. Read the full story →
Voilà encore un groupe vocal obscure dont il ne reste presque rien. Six face enregistrées en février 1937 pour Blue Bird. Scateurs invétérés ils étaient aussi d'inépuisables imitateurs (voire plagieurs) des Mills brothers et de Cab Calloway. En témoigne ce titre "Za Zu Swing" dont les paroles ne sont guère éloignées de la version originale enregistrée 4 ans plus tôt par le roi du Hi de Ho. Read the full story →
Le Rétro Kid Show est une nouvelle émission pour enfants diffusée uniquement sur Internet et qui va commencer à "émettre" officiellement en mars 2011. En attendant, ils ont eu la bonne idée de mettre en image la chanson de Cab Calloway "Everybody Eats When They Come To My House". Read the full story →
L'influence de Cab Calloway sur ses contemporains est multiple et l'on retrouve sa trace dans différents disques ou films. En voici quelques-uns... Read the full story →
"Every collector's wet dream", c'est ainsi que Loren Schoenberg qualifie ce qui est l'événement de l'année 2010 - peut-être des années à venir - dans le monde du jazz. Au printemps dernier, Loren Schoenberg, directeur du futur Musée du Jazz à Harlem, a fait l'acquisition d'une incroyable collection de disques de transcriptions radiophoniques des années 30. Ces quelque 975 acétates appartenaient à William SAVORY qui avait été ingénieur du son (il était dans l'équipe qui avait mis au point les 33 tours, rien que ça) et dont le métier était d'enregistrer pour de riches clients les concerts de musique classique et d'opéra qui passaient à la radio. Mais lui, ce qui lui plaisait, c'était le jazz... Read the full story →
Cela fait un bon moment qu'il est en préparation, que le groupe le tourne sur les scènes des USA (et bientôt de l'Australie) : "How Big Can You Get?" de Big Bad Voodoo Daddy sort le 21 avril. Vétéran et exemplaire représentant du mouvement néo-swing, BBVD a depuis toujours été influencé par Cab Calloway. Sa silhouette était sur la pochette de leur premier album (1994), comme une très bonne reprise de Minnie The Moocher. Read the full story →
Incroyable ! Depuis le 26 janvier 2009 (24 février plus généralement) circule aux USA une pièce de 25 cents à l'effigie de Duke ELLINGTON. Cette pièce fait partie d'une série consacrée aux 50 états d'Amérique. Elle est la première à représenter un Noir américain. Read the full story →
Many jazz fans will be delighted by this story told by Cab Calloway in his autobiography, Of Minnie the Moocher and Me: at an evening reception in honor of Duke Ellington, Richard Nixon approach Cab Calloway and told him "My wife and I really like what you're doing, Mr. Ellington" True or not, it indicates the presence of Cab at the White House and his relationship with the U.S. leader. The Hi de Ho Blog will tell you a little more... Read the full story →