“Eadie Was a Lady” was recorded by Cab Calloway on December 7, 1932. Today, The Hi De Ho Blog is happy to welcome an essay on this song, sharply written by one of the biggest Cab Calloway fan I know: Keller WHALEN. This American guy, friend of mine has digged the roots and the many covers of that song with such strange lyrics... Read the full story →
Andy Brown fut l’un des précurseurs de la clarinette basse dans les orchestres de jazz, il passa l’essentiel de sa carrière sous la baguette de Cab Calloway et pourtant, voilà encore un musicien bien vite oublié. Avec l’aide des quelques maigres sources, The Hi de Ho Blog va tenter de vous parler un peu de ce musicien discret. Read the full story →
Les orchestres de Cab Calloway et de Duke Ellington étaient parmi les plus populaires dans les années 1930/40. Ils étaient également ceux qui distribuaient les plus belles fiches de paie ! Naturellement, celui du Duke avait un prestige et une excellence incomparables. Beaucoup des musiciens qui sont passés par les pupitres de Cab ont eu envie à un moment ou un autre de rejoindre ceux d'Ellington. Seule une poignée d'entre eux est parvenue à ses fins... et encore moins d'autres ont fait le chemin inverse ! The Hi de Ho Blog les passe tous en revue pour vous. Et il y a dans la liste quelques noms inattendus ! Nous terminons aujourd'hui la série par les arrangeurs : Benny Carter, Mary Lou Williams et Gerald Wilson. Read the full story →
On a parfois de belles surprises en lisant la presse de l'époque. En regardant avec attention les archives du quotidien noir The Chicago Defender, je suis tombé sur deux articles de juillet 1939 relatant l'envie de Cab Calloway d'arrêter de chanter du Hi de Ho, la formule qui avait fait son succès. Regardons cela de plus près pour comprendre ses motivations et constater... que ça n'a pas vraiment cessé ! Read the full story →
The Hi De Ho Blog has often favored the oldest career Cab Calloway periods. Considering them, the last decades of the King of Hi De Ho are very misinformed. It is mainly confined to The Blues Brothers movie and European tours, and then that's all. Thanks to Kris DiLorenzo, we can learn more about 1978 and the launch of the Minnie the Moocher Disco version. Since she was the Director of Publicity and was on the A&R Commitee of Hologram Records and therefore was publicizing Cab Calloway's record, her role was to promote his records and concerts, to capture media attention and serve as a link between the musicians and the press. Read the full story →
On peut être le plus grand zazou de tous les temps et se voir réduit à quelques centimètres de hauteur ! La preuve avec l'atelier californien Kings Road miniatures, qui édite une série spéciale avec les "héros" du XXe siècle, en tout cas ceux qui ont inspiré leur époque. On y retrouve Clara Bow, Rudolph Valentino, des pionniers de l'aviation comme Lindbergh et... Cab Calloway ! Read the full story →
Les orchestres de Cab Calloway et de Duke Ellington étaient parmi les plus populaires dans les années 1930/40. Ils étaient également ceux qui distribuaient les plus belles fiches de paie ! Naturellement, celui du Duke avait un prestige et une excellence incomparables. Beaucoup des musiciens qui sont passés par les pupitres de Cab ont eu envie à un moment ou un autre de rejoindre ceux d'Ellington. Seule une poignée d'entre eux est parvenue à ses fins... et encore moins d'autres ont fait le chemin inverse ! C'est aujourd'hui aux exceptions que nous nous intéressons. En effet, seuls quelques rares musiciens ont fait le chemin inverse, jouant d'abord chez Duke avant de rejoindre l'orchestre de Cab. Tout le détail, en respectant l'ordre chronologique, et il y a quelques surprises... Read the full story →
Qu'il est difficile d'adapter en français des textes de standards de jazz. Beaucoup s'y sont frottés et s'y sont piqués ! Mais quand il s'agit d'adapter en français le jive obscur et incohérent de Cab Calloway, cela relève du défi majeur de tout traducteur ! Apparemment, Lucien Lagarde* n'avait pas son Hepsters Dictionary en main lorsqu'il a commis cette adaptation très très libre de "The Jumpin' Jive"... Read the full story →
Les orchestres de Cab Calloway et de Duke Ellington étaient parmi les plus populaires dans les années 1930/40. Ils étaient également ceux qui distribuaient les plus belles fiches de paie ! Naturellement, celui du Duke avait un prestige et une excellence incomparables. Beaucoup des musiciens qui sont passés par les pupitres de Cab ont eu envie à un moment ou un autre de rejoindre ceux d'Ellington. Seule une poignée d'entre eux est parvenue à ses fins... et encore moins d'autres ont fait le chemin inverse ! The Hi de Ho Blog les passe tous en revue pour vous. Et il y a dans la liste quelques noms inattendus ! Aujourd'hui, c'est la section rythmique qui passe le grand jury avec une grande absente : la batterie puisqu'en effet, aucun batteur ne passa d'un orchestre à un autre. Aucun, enfin presque... Read the full story →
Recorded on March 3, 1937, Peckin' is a novelty song intended to create new fashionable dance. In the lyrics, Cab Calloway refers to other dances launched by him at the Cotton Club, like the Suzy-Q and Truckin'. The Hi de Ho Blog tells you what he knows about this ancestor of the Duck Trot and, most famous in France, La danse des canards... Read the full story →
Tout le monde - en tout cas, ceux qui ont vu le film - se souvient de la très jolie scène où Cab Calloway passe en revue le Hepsters' Dictionary dans "Sensations of 1945" d'Andrew Stone. Un gamin en queue de pie blanche accompagne Cab et lui donne la réplique tandis qu'un chat en dessin animé reproduit les mouvements zazous du maestro. Ce petit gamin a toujours beaucoup plu aux amateurs de jazz sans qu'il soit pour autant cité au générique du film. Du coup, on a perdu son identité. Du coup, The Hi de Ho Blog a mené l'enquête et a trouvé la réponse "tant" attendue par les connaisseurs. Read the full story →
Tout le monde sait que l'orchestre de Cab Calloway était parmi les mieux traités du business : la paie était la meilleure, 4 semaines de congés payés par an et 1 semaine à Noël avec une prime, au moins 3 costumes de scène inclus, etc. Dans le "package" Calloway, il y avait également le transport. Quand ce n'était pas dans un bus spécial, l'orchestre avait pour habitude de voyager dans un wagon Pullman bénéficiant d'un grand confort. Les nombreuses photos de Milt Hinton vous ont déjà montré tout ça. Ce que l'on sait moins, c'est que tout l'orchestre profita pendant quelques mois d'un nouveau type de transport, unique dans tout le monde du jazz à l'époque : un avion ! Il n'y a guère que The Hi de Ho Blog pour vous raconter pareille anecdote ! Read the full story →
Caricaturé, animé, imité, parodié... Cab Calloway a connu toutes les métamorphoses ! Il a également été transformé en pantin par Griff Williams, marionnettiste et chef d'orchestre. The Hi de Ho Blog va vous raconter ce qu'il en sait... Read the full story →
Les expressions argotiques employées dans les chansons de Cab Calloway sont parfois difficiles voire impossible à décrypter si l'on n'était pas dans l'époque, Noir ou musicien de jazz ! L'histoire raconte qu'Irving Mills insistait même pour ajouter encore plus d'argot dans les chansons de manière à ce que cela soit toujours plus "exotique" pour les bourgeois blancs qui assistaient aux revues du Cotton Club... Ce n'est pas par hasard si dès 1938 Cab Calloway sortit son Hepsters Dictionary qui recense toutes ces expressions (bon, c'était aussi pour faire la nique à Benny Goodman qui distribuait un petit dictionnaire du swing à son public). Read the full story →
Le talent d'Alyn SHIPTON dans son analyse et sa compréhension des musiciens, de leur vie et de leur rapport au public est incontestable. Les nombreux ouvrages qu'il a consacrés à des biographies de grands jazzmen sont là pour le prouver. Alyn Shipton a publié le premier ouvrage entièrement consacré au roi du Hi de Ho à l'automne 2010, sous le titre "Hi-De-Ho: The Life of Cab Calloway". Il a également été conseiller historique pour le documentaire "Cab Calloway, le dandy de Harlem" (2010). En avril 2011, il a été interviewé par le Jerry Jazz Musician, un des sites Internet les plus passionnants consacrés au Jazz qui vient de mettre en ligne cette longue discussion. Read the full story →
Une des merveilles d'eBay, c'est de permettre de découvrir des choses qu'on n'aurait pas osé imaginer... En voici la preuve avec ce poème extrait d'un ouvrage récemment mis en vente sur le site de vente aux enchères. Il s'agit d'un recueil de poésies de Pierre CUVILLIER, publié en 1948 (éditions Debresse, illustré par Maurice Henry). Read the full story →
Confined to his small workshop in Staten Island, Isaac Cary manufactures batons for conductors since 1929. He's even the only one to do so in the USA (in 1941). His clientele count among the most famous maestros of the time: Arturo Toscanini, Dave Rubinoff, Alfred Wallenstein, Andre Kostelanetz, Mark Warnow... On the jazz and showbusiness side, Cary's clients include Paul Whiteman, Jimmy Lunceford, Hal Kemp, Abe Lyman, Rudy Vallee, Ozzie Nelson, Freddie Rich, Frank Black... and Cab Calloway. Read the full story →
In the rich biography "Princess Noire" dedicated to the singer and pianist Nina Simone (1933-2003), the author Nadine Cohodas evokes a story on the often erratic behavior of the "My Baby Just Cares For Me" Diva. This time - for once, Cab Calloway was the victim... Read the full story →
En 1932 était paru dans New York Mirror un poème à propos de Cab Calloway que nous avons déjà retranscrit. En avril 1934, tandis que Cab est en tournée en Europe, un nouveau poème fait surface. Cette fois, on parle de la protagoniste d'une chanson interprétée par Cab à cette époque : Sylvia. Autant vous le dire tout de suite, j'ai l'impression que son auteur s'est un peu emporté. Read the full story →
En ce week-end de passage à l'heure d'hiver, voici une anecdote de 1935 sur Cab Calloway pour qui le changement d'horaire eut des conséquences fâcheuses... La pauvreté de l'intérêt de l'anecdote et sa parution en tête de la section "Théâtres" du grand journal New York Age du 4 mai 1935 démontrent à quel point Cab Calloway était une star dont la presse guettait le moindre geste... Read the full story →
Voilà encore un groupe vocal obscure dont il ne reste presque rien. Six face enregistrées en février 1937 pour Blue Bird. Scateurs invétérés ils étaient aussi d'inépuisables imitateurs (voire plagieurs) des Mills brothers et de Cab Calloway. En témoigne ce titre "Za Zu Swing" dont les paroles ne sont guère éloignées de la version originale enregistrée 4 ans plus tôt par le roi du Hi de Ho. Read the full story →
The Cab Calloway and Duke Ellington orchestras were among the most popular of the 1930’s and 1940’s. They were also responsible for disbursing the highest payroll! Of course, the Duke had the prestige and incomparable excellence. Many of the musicians who passed through Cab’s bandstand were eager at one time or another to join Ellington. Only a handful of them succeeded in that objective ... and fewer still traveled the other direction. The Hi De Ho Blog reviews them all for you. And there are a few unexpected names on the list! We continue the series with the trombones and: Tyree GLENN, Claude JONES et Quentin JACKSON. Read the full story →
Heureusement que Down Beat existait en 1944 ! Sans cette revue américaine consacrée au jazz (et qui n'était pas toujours très tendre avec Cab Calloway !), nous ne saurions rien ou presque sur Dave Rivera. Et pourtant, ce pianiste ne manque pas d'intérêt. The Hi de Ho Blog va tenter d'en retracer l'histoire, comme nous l'avons fait précédemment avec les deux précédents pianistes de Cab, Earres Prince et Benny Payne. Read the full story →
La chaîne CUNY TV a eu l'excellente idée de numériser, restaurer et diffuser gratuitement sur Internet une partie des interviews menées pendant plusieurs années par le journaliste américain James DAY. Parmi les quelque 130 émissions, une en particulier a retenu notre attention et, vous vous en doutez, il s'agit de celle consacrée à Cab Calloway. Read the full story →
The Cab Calloway and Duke Ellington orchestras were among the most popular of the 1930’s and 1940’s. They were also responsible for disbursing the highest payroll! Of course, the Duke had the prestige and incomparable excellence. Many of the musicians who passed through Cab’s bandstand were eager at one time or another to join Ellington. Only a handful of them succeeded in that objective ... and fewer still traveled the other direction. The Hi De Ho Blog reviews them all for you. Here are trumpets with: Dizzy GILLESPIE, Eddie MULLENS and Cootie WILLIAMS. Read the full story →
The Cab Calloway and Duke Ellington orchestras were among the most popular of the 1930’s and 1940’s. They were also responsible for disbursing the highest payroll! Of course, the Duke had the prestige and incomparable excellence. Many of the musicians who passed through Cab’s bandstand were eager at one time or another to join Ellington. Only a handful of them succeeded in that objective ... and fewer still traveled the other direction. The Hi De Ho Blog reviews them all for you. And there are a few unexpected names on the list! Let's begin de series with the saxophones: Hilton JEFFERSON, Chauncey HAUGHTON and Rudy POWELL. Read the full story →
Loren Schoenberg est décidément quelqu'un de bien. A son amour et sa connaissance du jazz vient s'ajouter une générosité que bien des collectionneurs et amateurs de jazz feraient d'avoir... Dernière preuve en date, l'émission diffusée le 9 mai 2011 dans l'émission Night Light de David Brent Johnson sur la radio publique de l'Indiana. Durant une heure, Loren Schoenberg diffuse de multiples extraits issus de la collection SAVORY en cours d'exhumation. On ne compte plus les Fats Waller, les Duke Ellington, les Joe Sullivan et les Benny Goodman retrouvés.. Concernant Cab Calloway, l'émission permet d'entendre deux extraits particulièrement intéressants, datés de 1938... Read the full story →
The Cab Calloway and Duke Ellington orchestras were among the most popular of the 1930’s and 1940’s. They were also responsible for disbursing the highest payroll! Of course, the Duke had the prestige and incomparable excellence. Many of the musicians who passed through Cab’s bandstand were eager at one time or another to join Ellington. Only a handful of them succeeded in that objective ... and fewer still traveled the other direction. The Hi De Ho Blog reviews them all for you. And there are a few unexpected names on the list! Read the full story →
Blake PACKARD est un jeune illustrateur américain qui vient de réaliser en mars 2011 cette superbe peinture de Cab Calloway dont il présente les différents stades sur son site personnel. Read the full story →
Alors que ce fameux groupe de rock a récemment annoncé sa séparation (février 2011), voici la version très callowayenne d'un des tubes de Cab, St James Infirmary Blues de Joe Primrose. Elle fut enregistrée pour l'album éponyme du groupe en 2002. A rapprocher, naturellemment, de la version de 1933 enregistrée pour le dessin animé de Betty Boop... Read the full story →
Miguel COVARRUBIAS (1904-1957) est un dessinateur, peintre et caricaturiste mexicain qui a passé plusieurs années à New York, de 1924 à 1930 environ. Autant vous dire que cet amateur d'arts et de plaisirs était particulièrement bien tombé ! Ses caricatures sont régulièrement publiées dans Vanity Fair ou The New Yorker. Suite à son voyage en Asie, il se passionne pour l'ethnologie et l'histoire de l'art. Il fera d'ailleurs beaucoup pour la reconnaissance du patrimoine du Mexique. J'ai découvert Covarrubias lors de l'exposition Le siècle du jazz au musée du Quai Branly. Y était présentée une illustration intitulée "Radio Talents" dans laquelle apparaît - devinez qui ? - Cab Calloway ! Read the full story →
Le Rétro Kid Show est une nouvelle émission pour enfants diffusée uniquement sur Internet et qui va commencer à "émettre" officiellement en mars 2011. En attendant, ils ont eu la bonne idée de mettre en image la chanson de Cab Calloway "Everybody Eats When They Come To My House". Read the full story →
"Quel marbre à la postérité fera paraître votre gloire ?" s'interrogeait Malherbe (qui s'y connaissait plus en poésie qu'en jazz). Il était donc logique qu'en plein gloire, soutenu par son agent actif Irving Mills, Cab passât à la postérité, sculpté dans le marbre ou modelé dans l'argile. Au cours de mes diverses recherches, j'ai pu recenser différentes œuvres représentant le roi du Hi de Ho et j'en ai dénombré 5. Pour le moment. Les voici dans leur ordre chronologique d'apparition. Read the full story →
Après avoir été diffusé en France, en Allemagne, en Hollande puis aux Etats-Unis, "Cab Calloway, le dandy de Harlem" entame la tournée des festivals ! Le voici présenté dans le cadre du Festival International du Film sur l'art (FIFA) de Montréal au Canada. Read the full story →
Eh oui, ça existe ! Dans les Yvelines, entre l'autoroute de Normandie et le golf de Noisy-le-Roi, au milieu d'un lotissement de banlieue comme on les affectionne, se situe l'allée Cab Calloway... Read the full story →
Passionné de musique, et de jazz en particulier, Julien DELLI FIORI (67 ans) dirige aujourd'hui la station FIP, après avoir animé durant des années sur France Inter l'émission dominicale "Ascenseur pour le Jazz". Tout jeune, il fait partie de la première équipe de FIP en 1971 comme programmateur puis animateur. Ses coups de cœur ont autant de force que ses coups de gueule et ont contribué à sa réputation. Et son goût pour Cab Calloway se retrouve notamment dans ses deux derniers ouvrages... Read the full story →
Le 23 février dernier s'est tenue la vente aux enchères des biens de Lena HORNE, décédée en mai 2010. Plus de 200 pièces, bijoux, livres, meubles, tableaux, photos, robes, etc. ont été mis en vente. Naturellement, sur quelques photos vendues figurait également Cab Calloway (des photos publicitaires pour le film Stormy Weather). Read the full story →
Voici un objet publicitaire inattendu, en tout cas, que je n'imaginais pas exister à cette époque. Il s'agit d'un passe pour une semaine de trajets valables sur les bus de la ville de Saint Louis (MO). Il fut édité à l'occasion du passage de Cab Calloway entre le lundi 17 et le jeudi 20 avril 1944 à l'ancienne Opera House, appelée depuis 1943, "Kiel Auditorium". Read the full story →
Il y a 10 ans mourait Charles Trénet. Celui que la France appelait "le fou chantant" a eu une carrière formidable, entamée dans les années 1930. Mais tout le monde ne sait pas forcément que Cab Calloway a sans doute influencé notre grande Charles (Trénet, pas de Gaulle !). Read the full story →
Quel dommage que lorsque nous avons monté le documentaire "Cab calloway, le dandy de Harlem", Whoopi Goldberg n'ait pas daigné répondre à nos demandes d'interview... Elle est pourtant particulièrement fan de Cab Calloway comme cette photo et cette vidéo le prouvent avec bonheur et sincérité. Read the full story →
Enregistré le 12 octobre 1931, "You Can't Stop Me From Loving You" permet d'entendre les solistes de succéder pour laisser la place à un Cab Calloway déjà délirant, alors qu'il n'est qu'à l'aube de sa carrière discographique. Read the full story →
L'influence de Cab Calloway sur ses contemporains est multiple et l'on retrouve sa trace dans différents disques ou films. En voici quelques-uns... Read the full story →
Voici une anecdote joyeuse connue dans le show-business et relevée dans la presse plus de 10 ans après qu'elle se soit déroulée, un soir au Cotton Club de Harlem. Elle met en scène Cab Calloway, Irving Berlin et sa femme. Euh, non pas sa femme. Read the full story →
En ce jour de Noël, célébrons les 103 ans qu'aurait eu Cab Calloway s'il n'avait pas eu la mauvaise idée de nous quitter en 1994. Et profitons-en pour remercier LIBERATION d'avoir mis Cab Calloway en couverture de son hors-série "Histoires d'excentriques". Sous le titre "Zoot alors" (paru à l'origine dans l'édition du 14/08/2010), Bernard Icher parle de Cab comme "l'ambassadeur du zoot suit, mouvance protestataire qui scandalisa l'Amérique des années 40." Read the full story →
Si vous lisez ces lignes, si vous suivez ce blog, eh bien sachez qu'il existe A CAUSE de ce livre ! En effet, depuis de nombreuses années, les quelques fans de Cab Calloway attendaient l’arrivée d'une biographie digne de ce nom sur leur idole*. En 2005, Oxford University Press annonce "officiellement" la sortie prochaine d'un livre par Alyn SHIPTON. Puis plus rien. Fin 2005, je prends contact avec l'auteur qui m'explique que rien n'est fait ou presque et qu'il va falloir que je m'arme de patience. C'est alors que j'ai décidé de créer The Hi de Ho Blog : pour patienter jusqu'à la sortie de ce livre en apprenant par moi-même tout ce que j'avais envie de savoir sur Cab (sans oublier de le partager avec vous !). Cela fait bientôt 5 ans que ce site existe et que plus de 300 articles sont en ligne, et pourtant... j'ai éprouvé un réel bonheur à la lecture du livre d'Alyn Shipton. Read the full story →
"Every collector's wet dream", c'est ainsi que Loren Schoenberg qualifie ce qui est l'événement de l'année 2010 - peut-être des années à venir - dans le monde du jazz. Au printemps dernier, Loren Schoenberg, directeur du futur Musée du Jazz à Harlem, a fait l'acquisition d'une incroyable collection de disques de transcriptions radiophoniques des années 30. Ces quelque 975 acétates appartenaient à William SAVORY qui avait été ingénieur du son (il était dans l'équipe qui avait mis au point les 33 tours, rien que ça) et dont le métier était d'enregistrer pour de riches clients les concerts de musique classique et d'opéra qui passaient à la radio. Mais lui, ce qui lui plaisait, c'était le jazz... Read the full story →
Cab Calloway ! Avec un nom pareil qui semble rebondir d'une syllabe à l'autre et une personnalité scénique exubérante aux nombreux succès, on peut être sûr que l'on va attirer les convoitises. Eh bien, cela a commencé très tôt et l'appellation "Cab Calloway" est devenue signe de réussite au point que de nombreux artistes (et surtout producteurs peu scrupuleux) ont tiré la ficelle au maximum pour attirer à eux un public un peu gogo. Alors commençons notre petit jeu "Dans la famille Calloway, je voudrais Blanche, Elmer, Jean, Tiny et les autres"... Read the full story →