Les Fantomes de Harlem (1997) - Part 1

  Un livre unique basé sur les interviews des derniers survivants du Harlem de la grande époque. Hank O’Neal accompagne toutes ses interviews de photos qu’il a prises lui-même de ces vieux roublards du jazz dans leur intérieur. C’est un livre intimiste et généreux à l’image de Milton Hinton, fidèle contrebassiste de Cab notamment, qui donne une longue interview. Voici la première d'une large série de notes consacrées aux « Fantômes de Harlem », tant l’ouvrage est riche en informations exclusives sur Cab, ses musiciens et le jazz de cette époque. Sujet d'aujourd'hui : les raison du déclin de Harlem. Read the full story →

"Les Zazous" (1/2)

« Les zazous », paru il y a 30 ans, dresse un portrait de la France entre 1940 et 1942. Période trouble où, tout logiquement, la jeunesse réagit à la restriction et l’humiliation par une forme de révolte. Résistance à la connerie, véritable lutte contre l’indifférence et la passivité de la majorité, le mouvement Zazou s'est inspiré de Cab Calloway et de son fameux Zah Zuh Zah !   Read the full story →

"Les Zazous" (2/2)

Reprenons le cours du livre et de l’histoire des zazous. Après avoir vu comment ils avaient grandit et prospéré, voici aujourd'hui comment s'est déroulée la chute des zazous. Dès juin 1941, les zazous sont la cible de la presse collaborationniste qui les ridiculise. Selon elle, le zazou « représente le repoussoir idéal » et elle a vite fait de le définir comme « prototype du mauvais esprit » !   Read the full story →

Welcome to The ‘new’ Hi de Ho Blog

From the Cotton Club to the “Blues Brothers”, from the roaring 20’s until his death in 1994, Cab CALLOWAY has been a larger than life entertainer, first known for his song created in 1931 that drove him to fame: “Minnie The Moocher”. Read the full story →

CABU votes Calloway for president!

  On savait l'auteur du grand Duduche fan de jazz : mais Cab Calloway tient une place à part dans le coeur de CABU. Alors, lorsqu'on lui a demandé d'illustrer les coffrets de la collection de CD "Masters of Jazz", il a créé pour l'anthologie sur Cab Calloway une couverture unique. C'est avec le même enthousiasme qu'il a croqué Cab sur 6 pages dans ses Carnets de jazz parus en 2004 aux éditions du Layeur. "Il a fait le con toute sa vie en scatant !" proclame Cabu. Pour lui, Calloway était le "chanteur le plus délirant, le chef d'orchestre le plus swing"... et surtout "il sait me persuader que la vie est belle". D'ailleurs, de Cab à Cabu, il ne manque pas grand-chose, non ? Read the full story →

45 RPM Fontana 462.101 (FRANCE, 1958) with liner notes by Boris Vian

  Voilà bien une des petites perles que tout amateur de Cab se doit d'avoir dans sa collection. Ne serait-ce que pour sa pochette exceptionnelle : une caricature d'une grande élégance représente Cab dans sa queue-de-pie blanche typique. Le dos de la pochette est signé George AVAKIAN, célèbre producteur de disques de jazz. Et c'est Boris VIAN qui s'est chargé de la traduction. A sa lecture, on pourra même constater que Vian a nettement réaménagé à sa manière, tant il était fan de Cab Calloway. D'ailleurs, il est même stipulé "d'après George Avakian"... Read the full story →

"Le Noir et le Blanc", book of photos by Eddy WIGGINS

  Les éditions Naïve ont décidément beaucoup de goût. Leur catalogue de disques le prouvaient depuis longtemps. Avec la parution en mars 2008 de "Le Noir et le Blanc" d'Eddy WIGGINS, elles démontrent une volonté d'excellence. Un très beau texte de Gilles Leroy (prix Goncourt 2007 avec Alabama Song) accompagne près de 150 photos des années 1950 à Paris et signées Eddy WIGGINS. Amoureux des fêtes nocturnes parisiennes, Eddy Wiggins se glisse avec son Rolleiflex 6x6 dans les bars et les coulisses des salles de spectacle ou passent alors de nombreuses vedettes américaines et où se croisent les Blancs et les Noirs, amoureux ou simples fans... Devant son objectif passent alors Armstrong, Basie, Ray Charles, Gillespie et... naturellement Cab Calloway. Read the full story →

Cab Calloway’s concerts in France

  Les visites de Cab en France ne sont pas légion ! Mais certaines ont marqué les esprits. Naturellement, on pensera en particulier aux séances d’avril 1934 à Pleyel, pour lesquelles les témoignages divergent. Il faudra attendre près de 20 ans avant que Cab ne remette les pieds dans l’hexagone. C’est ensuite beaucoup plus régulièrement à partir de 1977 que Cab reviendra dans les différents festivals de la Côte d’Azur, sans oublier de passer par Paris. Read the full story →

They are real Fans of Cab Calloway...

  Quel rapport entre le Duc de Windsor, Grace Jones et Jacques Chirac ? Eh bien, tous les trois sont des fans de Cab Calloway ! Voici donc une liste non exhaustive des personnalités qui ont vu et apprécié Cab CALLOWAY. Dans la mesure du possible, The Hi de Ho Blog a essayé d'indiquer les circonstances et de trouver un témoignage concordant... Read the full story →

William Thornton BLUE: the creative but forgotten clarinettist

Listen to Cab Calloway’s recordings from the early 1930s ... If your ear is dominated by a hopping, acrobatic and remarkably creative clarinet sound, you are enjoying one of the great forgotten musicians in the History of Jazz who spent more than 30 years in an asylum: William Thornton BLUE. It is my good friend the late Christian Bonnet (1945-2017) — whose ear was particularly demanding - that made me discover the talent of this clarinetist and alto saxophonist whose solos give a unique sound to the first Calloway shellacs... The Hi De Ho Blog will tell you the almost unknown story of the man who nicknamed himself “The reputed Blue”. Read the full story →

Henri SALVADOR : “Armstrong, Duke Ellington, Cab Calloway” (1947)

  Ce n'est pas à proprement parler une chanson de Cab. Pour autant, elle lui a permis d'être relancé en France lors de sa sortie en 1947 dans le film de Jean Boyer, "Mademoiselle s'amuse". "Armstrong, Duke Ellington, Cab Calloway", interprétée par Henri Salvador et les Collégiens menés par Ray Ventura a en effet contribué à remettre dans les bacs des disquaires les galettes de Calloway. Read the full story →

Reviews of The 1934 European tour (part 1: France)

  1re partie : Avant l’arrivée de Cab en France, par les journalistes francophones… Premier passage de Cab Calloway en Europe, la tournée du Cotton Club du printemps 1934 a été vécue comme un événement sur le vieux continent. Il faut dire que les amateurs de jazz n’avaient pas grand-chose « d’exotique » à se mettre entre les oreilles et sous les yeux à cette époque. Et c’est toujours fascinant de constater que les journalistes encensent ou descendent en flèche certains artistes pour des raisons très souvent peu objectives : « C’est du vrai jazz ! » « Ce n’est pas du vrai jazz ! » Autant de querelles de chapelles inutiles et bien éloignées de la réalité des sensations procurées sur scène (car finalement, il n’y a que cela qui compte). The Hi de Ho Blog a réuni plusieurs articles autour de la venue de Cab Calloway en Europe et va vous livrer quelques-uns des points de vue très constatés sur le bonhomme. Qu’il s’agisse de la Belgique, de la France ou encore de l’Angleterre, Cab Calloway a fait couler beaucoup d’encre (et de fiel aussi). Read the full story →

“Stormy Weather” and the french critics

  A cause de la guerre, Stormy Weather n'est sorti en France qu'en juillet 1946, soit 3 ans après les Etats-Unis. Entre les deux, le jazz avait déjà bien changé : Fats était mort et Cab commençait déjà largement à peiner pour faire vivre son big band. Pourtant, une fois n'est pas coutume, la critique française fut élogieuse.Alors, découvrez tout de suite l'intégralité de cette critique parue dans Jazz Hot en spetembre-octobre 1946 ainsi qu'une rarissime photo d'époque présentant l'affiche sur les Champs-Elysées. Read the full story →

French adaptation of “The Jumpin' Jive”: Hep! Hep!... Help!

Qu'il est difficile d'adapter en français des textes de standards de jazz. Beaucoup s'y sont frottés et s'y sont piqués ! Mais quand il s'agit d'adapter en français le jive obscur et incohérent de Cab Calloway, cela relève du défi majeur de tout traducteur ! Apparemment, Lucien Lagarde* n'avait pas son Hepsters Dictionary en main lorsqu'il a commis cette adaptation très très libre de "The Jumpin' Jive"... Read the full story →

“Minnie the Moocher” by Carlos

  Bon. Pour tout vous avouer, il y a parfois des moments délicats lorsque l'on fait un peu de recherche autour de Cab Calloway. L'une de mes dernières épreuves a été de découvrir que le chanteur français Carlos (1943-2008) avait adapté à sa manière la chanson Minnie The Moocher sous le titre "Idého", paru dans l'album Yvan-Chrisostome (1991). Read the full story →

May 1958: Cab Calloway at the Olympia in Paris

When Cab Calloway began his series of galas May 22, 1958 at the Olympia in Paris, it has been a few years since he had performed in France. The first time was in 1934 during his European tour of the Cotton Club, then a few weeks at the Paris Empire Theatre in Porgy and Bess in 1953. There is some documentation on this series of concerts in Paris during the "events" in Algeria whose repercussions in France caused riots in the capital. This is also an opportunity to see how the audience spent an evening attending a show in the new Olympia reopened in 1954 by Bruno Coquatrix. Read the full story →

“Cabu Swing”: a book about music by the greatest Cab Calloway fan

Amateurs de jazz, de dessins, d'humour, de joie de vivre, vous allez vous régaler ! En 224 pages, vous allez (re)découvrir la vie de Cabu et sa relation avec la musique depuis toujours. Les esquisses comme les dessins finalisés de ce maître de la caricature sont les témoins de plus d'un demi-siècle vécu au rythme de toutes les musiques. Avec naturellement un penchant particulier pour ses idoles comme Charles Trénet et Cab Calloway bien sûr. Read the full story →

Edwin SWAYZE, The muted story of an extraordinary trumpet 2/4

Crowned “The King”, inspired by King Oliver, leader of his own band for a while, famous for composing Jitterbug, noted soloist on muted trumpet and high notes, Edwin Swayze is a musician who deserves to be rediscovered for his intense career that started in Arkansas, made him a bandleader, lead him twice to Europe, and ended abruptly at only 29 during a stay the world-famous Cotton Club in Cab Calloway’s orchestra. Part II: In Paris and Holland with the Blackbirds and the Plantation Orchestra Read the full story →