Zanzibar Cafe, New York: home of Cab Calloway

  Cab Calloway spent some quality time at Zanzibar... entire months! Café Zanzibar, "Home of the Stars", was a Broadway theater that opened in 1943 with the aim of succeeding the prestigious Cotton Club which had recently closed.  But Zanzibar brought one notable difference: the black audience was accepted there. This policy greatly contributed to its success both with orchestras and the public. The Hi De Ho Blog tells you everything he knows about the Café Zanzibar. Read the full story →

A 1932 poem to Cab Calloway!

Il y en a eu des choses écrites sur Cab : des critiques (pas toujours bonnes), des articles, des essais... eh bien il y a même eu des poèmes (l'un des plus fameux est celui d'Ishmael Reed, Cab Calloway Stands In For The Moon qui donna d'ailleurs lieu à un recueil et un album - et qui donnera lieu également à une note dans ces colonnes !). The Hi de Ho Blog est heureux de vous montrer l'un des tout premiers parus en l'honneur de Cab et ce, dès 1932 ! Read the full story →

Bill Bojangles ROBINSON: Cab Calloway’s less friendly partner

  Loin de moi l'idée de faire une énième biographie de Bill Bojangles ROBINSON (1878-1949), danseur de claquettes hors pair : d'autres l'ont fait avant moi ou le feraient mieux que moi. The Hi de Ho Blog va se contenter de retracer les différents moments où lui et Cab se sont croisés entre 1931 et 1949. Même s'ils ont été très souvent ensemble sur la scène du Cotton Club ou s'ils ont partagé l'affiche de Stormy Weather, ces deux compères-là avaient une relation étonnante : Cab était le jeune chef aux dents longues, et Bill le vieux briscard impitoyable. Read the full story →

“Stoppin’ The Traffic” by The Missourians: a new CD by Frog Records

  On ne louera jamais assez le formidable travail d'édition de la maison de disques indépendante et britannique Frog Records. C'est à elle que l'on doit des rééditions quasi exclusives de galettes qui, sans eux, auraient été plongées dans l'oubli à jamais. A l'heure où le CD va progressivement disparaître, saluons la sortie dans ce format bientôt obsolète d'un disque consacré aux musiciens des Missourians. Read the full story →

April 21, 2009: release of Big Bad Voodoo Daddy's tribute album to Cab

  Cela fait un bon moment qu'il est en préparation, que le groupe le tourne sur les scènes des USA (et bientôt de l'Australie) : "How Big Can You Get?" de Big Bad Voodoo Daddy sort le 21 avril. Vétéran et exemplaire représentant du mouvement néo-swing, BBVD a depuis toujours été influencé par Cab Calloway. Sa silhouette était sur la pochette de leur premier album (1994), comme une très bonne reprise de Minnie The Moocher. Read the full story →

Il y a 78 ans, Minnie The Moocher entrait en studio...

Le 3 mars 1931, en tout début d'après-midi, Cab Calloway pénétrait dans le studio 2 Brunswick à New York sur la 36e rue. Il savait qu'il allait enregistrer un morceau important puisque depuis quelque temps déjà au Cotton Club, chaque fois qu'il chantait cette chanson, le public la reprenait en coeur. Pour célébrer ensemble cet anniversaire, The Hi de Ho Blog vous raconte les circonstances de l'enregistrement et vous propose de (re)trouver quelques-unes des versions de ce titre tellement associé à Cab Calloway qu'il a été repris par des dizaines d'artistes, dans le monde entier et à toutes les époques. Faites-votre choix et préparez-vous à hurler quelques Hi de ho à votre tour !
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Duke Ellington on a quarter!

  Incroyable ! Depuis le 26 janvier 2009 (24 février plus généralement) circule aux USA une pièce de 25 cents à l'effigie de Duke ELLINGTON. Cette pièce fait partie d'une série consacrée aux 50 états d'Amérique. Elle est la première à représenter un Noir américain.   Read the full story →

Jitterbug: from the bar to the screen!

  Enregistré le 22 janvier 1934 à New York, le titre Jitter Bug est une oeuvre commune d'Edwin Swayzee (trompettiste depuis 1932 avec Cab) et de Cab Calloway. Les avis sont multiples sur l'origine du mot Jitter Bug. Il faut dire qu'à l'époque où est sorti le disque de Cab, il connut un tel succès que beaucoup voulurent s'en arroger l'origine, Cab le premier. En fait, le Jitterbug était une danse pratiquée au Savoy Ballroom de New York dès 1926 (au moment de son ouverture). Ses danseurs furent célèbres plus tard sous le nom des Lindy Hoppers (que l'on voit avec bonheur dans A Day At the Races et Hellzapoppin'). Comme on était à l'époque de la Prohibition et que les mouvements hystériques des danseurs faisaient penser à des ivrognes, on appela cette danse jitter-bug en référence à la jitter-sauce (l'alcool frelaté). Read the full story →

“Minnie the Moocher” by Carlos

  Bon. Pour tout vous avouer, il y a parfois des moments délicats lorsque l'on fait un peu de recherche autour de Cab Calloway. L'une de mes dernières épreuves a été de découvrir que le chanteur français Carlos (1943-2008) avait adapté à sa manière la chanson Minnie The Moocher sous le titre "Idého", paru dans l'album Yvan-Chrisostome (1991). Read the full story →

They are real Fans of Cab Calloway...

  Quel rapport entre le Duc de Windsor, Grace Jones et Jacques Chirac ? Eh bien, tous les trois sont des fans de Cab Calloway ! Voici donc une liste non exhaustive des personnalités qui ont vu et apprécié Cab CALLOWAY. Dans la mesure du possible, The Hi de Ho Blog a essayé d'indiquer les circonstances et de trouver un témoignage concordant... Read the full story →

Another release of Porgy & Bess by AUDITE

    Nous vous avons récemment parlé du Porgy and Bess avec Cab Calloway dans le rôle de Sportin' Life enfin disponible en CD. Après avoir traîné de longues années dans les archives de la radio allemande, fait quelques apparitions chez les collectionneurs ou sur Internet, il y a désormais une deuxième édition du même enregistrement que je vous ai présenté en juillet dernier. Read the full story →

Cab Calloway: the freemason and his brothers musicians

  This is a topic that can not be found at the front of French magazines like L'Express and Le Point even if they too oftenly deal with Freemasons! And because there is little study on jazz and Freemasonry. More reason to welcome the research Raphaël IMBERT who, more than being an accomplished saxophonist, has undertaken to initiate the uninitiated that we are the relationships between jazz and Masonic lodges. By empowering African Americans, Freemasonry also allowed jazzmen to create a new corporatism close to a fraternity. The Hi De Ho Blog is particularly focused on Brother Cab Calloway, introduced to the masonry by his musicians. The recent parution of "Jazz Supreme: initiés, mystiques et prophètes" (2014, L'éclat) is the reason for us to update this 2008 article.   Read the full story →

“The Big Rhythm Show”, London, 1952-53

  Fin 1952, l'ami Cab séjourne à Londres depuis l'arrivée de la troupe de Porgy & Bess en octobre. L'opéra fonctionne à merveille et Henry Dawson, producteur vorace, veut profiter du succès de Cab Calloway pour monter une série de galas en Grande-Bretagne, s'appuyant sur le roi du Hi de Ho et sur d'autres vedettes du jazz américain. Parmi elles, Mary Lou Williams dont les souvenirs permettent de raconter plus en détail cette épisode vite oublié par Cab... Read the full story →

(New) CD of Cab Calloway broadcasts at Storyville

  Il faut toujours se féliciter de la parution de CD de Cab Calloway, même lorsqu'il s'agit de simples rééditions cachées sous de nouvelles pochettes. C'est le cas de ce double album de Storyville présentant Fats Waller et Cab Calloway dans de rares enregistrements radio pour le premier de 1936 et 1943 (l'un des ultimes concerts de Fats) et de 1940 et 1945 pour le second. Read the full story →

Cab Calloway’s concerts in France

  Les visites de Cab en France ne sont pas légion ! Mais certaines ont marqué les esprits. Naturellement, on pensera en particulier aux séances d’avril 1934 à Pleyel, pour lesquelles les témoignages divergent. Il faudra attendre près de 20 ans avant que Cab ne remette les pieds dans l’hexagone. C’est ensuite beaucoup plus régulièrement à partir de 1977 que Cab reviendra dans les différents festivals de la Côte d’Azur, sans oublier de passer par Paris. Read the full story →

Claude JONES: the trombone with glory on the slide (2/2)

  Voici la seconde partie de la biographie consacrée à ce fabuleux instrumentiste oublié par beaucoup aujourd'hui mais admiré par tous à son époque. Claude Jones était un musicien efficace et délicat, dont nous avons abordé l'enfance et la carrières jusqu'à son arrivée chez Cab Calloway, fin 1934. Cette seconde partie va nous permettre de retrouver cet amateur de bonnes choses et de musique pour évoquer ses années passées chez Cab, mais aussi avec Ellington, Roll Morton et d'autres mais aussi la fin de sa vie sur un navire américain en route vers l'Europe. Le génial tromboniste était alors devenu un steward très british... Read the full story →

Cab Calloway’s house in danger!

  Cab Calloway vécut les dernières années de sa vie dans une grande maison de la banlieue chic de New York, à White Plains. C'est là que, depuis 1955, se donnaient rendez-vous Nat King Cole, Lionel Hampton, Duke Ellington, Lena Horne (et même Michael Jackson !) et de nombreuses personnalités ou anonymes pour se remémorer le bon vieux temps, faire une jam, ou tout simplement déguster les barbecues dont Cab avait le secret. Là sont rassemblés de nombreux souvenirs et objets personnels du roi du Hi-de-Ho. Read the full story →

Death of Chris Calloway (1945-2008)

Nous avons la grande tristesse de vous informer de la mort de Chris Calloway, fille de Cab, des suite d'un cancer. Elle se battait depuis 1987 contre la maladie, l'avait vaincue une première fois puis a succombé le jeudi 7 août 2008. Elle est décédée à Santa Fe au Nouveau-Mexique, là où elle résidait depuis 1991. Trop fatiguée, elle n'avait pu donner son dernier concert prévu le 20 juillet dernier. Read the full story →

Claude JONES: the trombone with glory on the slide (1/2)

  Un tromboniste fin, un sideman fiable, un soliste novateur, un musicien qui a toujours su être au bon endroit… mais qui n'a jamais connu la célébrité. Voici comment l'on pourrait définir en quelques mots Claude JONES qui fut trombone dans l'orchestre de Cab de 1934 à 1940 et en 1943. Le musicologue Gunther Schuller le juge très moderne dans son approche rythmique ; d'autres le considèrent comme l'un des pionniers du trombone, qui l'a libéré de son jeu primaire. Et pourtant, voici encore un de ces inconnus célèbres dont l'orchestre de Cab Calloway a le secret ! Preuve s'il en est que Cab a toujours su bien s'entourer. Claude Jones avait déjà connu une certaine gloire de l'époque des McKinney's Cotton Pickers dont il était l'un des piliers ou encore dans l'orchestre de Fletcher Henderson. Il ne la retrouvera jamais vraiment, que ce soit en compagnie de Cab ou de Duke Ellington par la suite. The Hi de Ho Blog va tout de même vous en dire un peu plus sur Claude Jones. Read the full story →

Death of Mona HINTON, Milt’s widow

  La veuve de Milt HINTON (1910-2000) est décédée le 3 mai dernier des suites d'un cancer à l'âge de 89 ans, dans la demeure familiale du Queens. Mona avait rencontré Milt en 1939 lors de l'enterrement de sa grand-mère. Tous les deux ne se quittèrent pas pendant 61 ans. Ils formaient un couple réputé pour sa gentillesse et sa générosité. Read the full story →

Reviews of The 1934 European tour (part 1: France)

  1re partie : Avant l’arrivée de Cab en France, par les journalistes francophones… Premier passage de Cab Calloway en Europe, la tournée du Cotton Club du printemps 1934 a été vécue comme un événement sur le vieux continent. Il faut dire que les amateurs de jazz n’avaient pas grand-chose « d’exotique » à se mettre entre les oreilles et sous les yeux à cette époque. Et c’est toujours fascinant de constater que les journalistes encensent ou descendent en flèche certains artistes pour des raisons très souvent peu objectives : « C’est du vrai jazz ! » « Ce n’est pas du vrai jazz ! » Autant de querelles de chapelles inutiles et bien éloignées de la réalité des sensations procurées sur scène (car finalement, il n’y a que cela qui compte). The Hi de Ho Blog a réuni plusieurs articles autour de la venue de Cab Calloway en Europe et va vous livrer quelques-uns des points de vue très constatés sur le bonhomme. Qu’il s’agisse de la Belgique, de la France ou encore de l’Angleterre, Cab Calloway a fait couler beaucoup d’encre (et de fiel aussi). Read the full story →

Earres PRINCE, the pianist Cab never appreciated

  Earres Prince? With few fans (maybe 2 or 3 maximum in the world), who the hell knows anything about this inconspicuous man missing from all the jazz dictionaries? All the more reason for The Hi De Ho Blog to tell you a bit about the man who was the first pianist for – and apparently never appreciated by – Cab Calloway.  He had the difficult task of preceding – not succeeding – Benny PAYNE, the pianist Cab had met before leading the Missourians.   Read the full story →

4CD-Boxset at Proper: “This is Hep!”

La maison de disques britannique PROPER a sorti le 14 avril 2008 une anthologie Cab Calloway dans un coffret de 4 CD et 104 titres. Rien de très nouveau dans la compilation, avec les mêmes enregistrements que ceux que l'on connaît habituellement. De "Gotta Darn Good Reason Now" (1930) à "I Beeped When I Shoulda Bopped" (1949), vous (re)trouverez de nombreuses facettes du roi du Hi de Ho, marketé cette fois-ci plus sous l'égide des branchés ("hep"). Read the full story →

Cab’s outrageous zoot suit in “Stormy Weather”

    Vous le savez, le tournages aux USA durant la Seconde Guerre Mondiale subissaient les restrictions comme tous les autres domaines de l'économie. Par exemple, les décors n'avaient qu'un budget de 5000 $, tout comme les éclairages (ce qui vaudra d'ailleurs au chef-opérateur Leon SHAMROY de modifier sensiblement sa méthode de travail sur le plateau de Stormy Weather). Tandis qu'en France, les Zazous résistaient à leur manière en écoutant du jazz et en portant des costumes à larges pans (un véritable gâchis alors que la France entière se privait), la production du film ne trouva rien de mieux que de dessiner une tenue de scène hors du commun pour Cab Calloway. Read the full story →

"Le Noir et le Blanc", book of photos by Eddy WIGGINS

  Les éditions Naïve ont décidément beaucoup de goût. Leur catalogue de disques le prouvaient depuis longtemps. Avec la parution en mars 2008 de "Le Noir et le Blanc" d'Eddy WIGGINS, elles démontrent une volonté d'excellence. Un très beau texte de Gilles Leroy (prix Goncourt 2007 avec Alabama Song) accompagne près de 150 photos des années 1950 à Paris et signées Eddy WIGGINS. Amoureux des fêtes nocturnes parisiennes, Eddy Wiggins se glisse avec son Rolleiflex 6x6 dans les bars et les coulisses des salles de spectacle ou passent alors de nombreuses vedettes américaines et où se croisent les Blancs et les Noirs, amoureux ou simples fans... Devant son objectif passent alors Armstrong, Basie, Ray Charles, Gillespie et... naturellement Cab Calloway. Read the full story →

Chap. 6: The Cotton Club and the World

    Encore un long chapitre dans l'autobiographie de Cab. Et le sujet est beau : le Cotton Club, les tournées, la vie sentimentale tourmentée du jeune couple... Mais aussi l'histoire de Minnie The Moocher, celle de l'escroquerie de Moe gale et la montée en puissance d'Irving Mills, des anecdotes terribles sur le racisme durant les tournées dans le sud des Etats-Unis. Attention à quelques approximations chronologiques dans le récit de Cab, mais il est tellement captivant qu'on l'excuse facilement. Bonne lecture ! Read the full story →

“The Love Boat” (1982)

  Following the success of The Blues Brothers, Cab Calloway is growing interest on the part of producers. Television in particular is interested. Cab has made ​​a few appearances in the series (Madigan, and other particular which we'll write a future series of notes) but it is in LOVE BOAT that Cab will have a major musical role. He's surrounded by Ann Miller, Carol Channing, Ethel Merman and many old fashioned stars. Kind of tacky. Yet, it allow us to watch Cab play comedy and contributes to musical numbers with the one and only crew from The Love Boat! Read the full story →

Cab Calloway elected “Best dressed bandleader” of 1941

En juillet 1941, Cab Calloway reçut les honneurs de la Guilde Custor des Tailleurs en étant désigné comme le plus élégant chef d'orchestre des Etats-Unis (il faut dire qu'à cette époque, les autres pays avaient un peu autre chose à faire qu'à parler chiffon, les treillis étant plus d'actualité !). Cette récompense était logique pour Cab qui, depuis ses tout débuts, avait toujours su conjuguer sens de la scène, entertainment et élégance. Read the full story →

Henri SALVADOR : “Armstrong, Duke Ellington, Cab Calloway” (1947)

  Ce n'est pas à proprement parler une chanson de Cab. Pour autant, elle lui a permis d'être relancé en France lors de sa sortie en 1947 dans le film de Jean Boyer, "Mademoiselle s'amuse". "Armstrong, Duke Ellington, Cab Calloway", interprétée par Henri Salvador et les Collégiens menés par Ray Ventura a en effet contribué à remettre dans les bacs des disquaires les galettes de Calloway. Read the full story →

Walter Foots THOMAS: the tenor sax in the shadow (2/2)

  Deuxième partie du portrait de l’un des plus fidèles compagnons de route de Cab Calloway mais sur lequel on ne sait que trop peu. Après une enfance heureuse dans l'Oklahoma, Thomas est vite parti sur les bateaux du Missouri et joué en compagnie d'Ed Allen, Fate Marable, Ferdinand Jelly Roll Morton. C'est à New York qu'il veut réussir et l'orchestre du Cotton Club d'Andy Preer lui ouvre les bras. Vient ensuite un engagement avec les Missourians rapidement dominés par le petit nouveau : Cab Calloway. Avec lui, Walter Thomas va rester au même pupitre durant 13 ans, accumulant les fonctions de chef de la section des saxophones, arrangeur, directeur musical et chef d'orchestre par intérim lorsque le Cab en chef n'est pas sur scène. Tout cela sans jamais passer de l'ombre à la lumière. A partir de 1943, il voudra voler de ses propres ailes, mais sera lui aussi confronté à la dureté de l'époque. N'empêche, les quelques pistes gravées en 1944-45 comme les moments qu'il passera encore avec quelques-uns des plus grands donnent à la deuxième partie de son existence un goût fantastique. The Hi de Ho Blog vous la raconte... Read the full story →

Count BASIE in Cab Calloway’s orchestra?

  That's right! For an announcement effect, admit that it is powerful.  The Count at the Cab.  That was almost done. And from 1929!  Count Basie and Cab met at the time when young Calloway was the leader of the Alabamians. A great friendship was born between the two men...  The Hi de Ho Blog reveals a little more...   Read the full story →

"Playing the Changes", the book by Milt HINTON

Après Bass Line (1988) et Over Time, voici un nouvel ouvrage présentant les clichés effectués par Milt HINTON (1910-2000), le contrebassiste de Cab Calloway de 1936 à 1951. Déjà acclamées pour leurs qualités esthétiques, les photos de Milt Hinton permettent d'avoir un portrait au plus près de la vie des musiciens de jazz. Read the full story →

Walter Foots THOMAS: the tenor sax in the shadow (1/2)

  Voici le portrait de l’un des plus fidèles compagnons de route de Cab Calloway mais sur lequel on ne sait que trop peu. Et pourtant, Walter Thomas resta avec Cab depuis les Missourians jusqu’après le tournage de Stormy Weather. Géant aux pieds démesurés (d’où son surnom), Walter Thomas avait notamment enregistré avec Fate Marable, Jelly Roll Morton, avant de rencontrer Cab. Durant toute sa période chez Calloway, il fut l’arrangeur attitré de l’orchestre et son conseiller musical mais resta toujours dans l’ombre des grands ténors qui y passèrent comme Ben WEBSTER et Chu BERRY. Et la seconde partie de sa vie après est loin d’être sans intérêt. The Hi de Ho Blog vous en dit plus sur cet inconnu célèbre auquel il n’a jamais été consacré plus de 10 lignes d’affilée… Read the full story →

“Stormy Weather”: Thanks, pal! and other anecdotes

  "Thanks, Pal!" était le titre de travail de Stormy Weather. Il faisait référence à tous les mots de remerciements émanant d'autres vedettes et que lit Bill Robinson durant tout le film. Arthur Knight estime dans son passionnant (mais complexe) ouvrage que dire ainsi merci à un Noir américain, à travers Bill Robinson, était une gageure eut égard à l'opinion générale de l'époque. Mais nous aborderons les aspects raciaux du film une prochaine fois. Pour le moment, nous avons encore quelques croustillantes anecdotes à nous mettre sous la dent... Read the full story →

“Stormy Weather” and the french critics

  A cause de la guerre, Stormy Weather n'est sorti en France qu'en juillet 1946, soit 3 ans après les Etats-Unis. Entre les deux, le jazz avait déjà bien changé : Fats était mort et Cab commençait déjà largement à peiner pour faire vivre son big band. Pourtant, une fois n'est pas coutume, la critique française fut élogieuse.Alors, découvrez tout de suite l'intégralité de cette critique parue dans Jazz Hot en spetembre-octobre 1946 ainsi qu'une rarissime photo d'époque présentant l'affiche sur les Champs-Elysées. Read the full story →

“Stormy Weather”: from an arranger to another

Lorsque l’on se penche sur la musique du film Stormy Weather, on est frappé par sa proportion dans le film : près de 90 % ! C’est dire la minceur du scénario et, en contrepartie, l’attention que nous devons porter à la richesse de sa musique. Au-delà des grandes stars du jazz qui sont présentes dans le film, la question des arrangements musicaux a soulevé suffisamment de problèmes pour que The Hi de Ho Blog vous en parle un peu. Il faut dire que l’on est passé d’un compositeur classique à un jazzman, tous deux Afro-Américains, sous la houlette du directeur musical (et blanc) de la 20th-Century-Fox, Alfred Newman. Read the full story →

Reefer Man (1932): from W.C. Fields to Taj Mahal

  Voilà bien un titre qui a longtemps fait parler de lui. Amateurs de marijuana et autres herbes délirantes, ce morceau est pour vous. Le "Reefer Man" est en effet le type qui vend des joints au coin de la rue, bref, le petit dealer auprès desquels le bourgeois s'encanaillait dans Harlem. C'était aussi celui qu'allaient souvent voir les musiciens de jazz, consommateurs très réguliers. Un morceau de bravoure et de slap pour le contrebassiste Al MORGAN (ce qui lui valu son heureu de gloire) et qui fut repris par Milt HINTON dans des circonstances très particulières... Read the full story →

Closeout of VILLAGE MUSIC, Cab

  Si l'on vous dit (enfin, si Elvis Costello himself) que c'est le meilleur disquaire de collection au monde, croyez-nous : le VILLAGE MUSIC situé à Mill Valley, Californie, vient de fermer ses portes. Et c'est tout un monde qui se referme, plein de pochettes et de photos rarissimes, de vieux LP improbables. Pourquoi vous parlé-je de ce magasin où je n'ai jamais mis les pieds (heureusement pour ma carte bleue !) ? Read the full story →