Sacrée Minnie ! Elle en a fait tourner des têtes... Jusqu'à celles d'aviateurs britanniques pendant la seconde guerre mondiale. Vous avez en effet sous les yeux la photo d'un bombardier B17 baptisé en l'honneur de l'égérie de Cab. Read the full story →
One of the greatest experiences Cab Calloway had on the ether waves was certainly the "Quizzicale Show." For more than a year, the show was broadcast across the country and gained a huge success with the black community. The only problem was precisely that it was a show with black musicians. After nearly a year, the show was dropped for lack of a sponsor. And yet, it really had it all together for success! Read the full story →
Homme de scène par excellence, Sammy Davis Jr. a été largement influencé par Cab Calloway dans sa jeunesse. Il racontait même qu’il regardait Cab chanter et danser en secouant sa tête avec beaucoup d’admiration. Il passait alors des heures à reproduire le mouvement. Ses prestations ultérieures montrèrent qu’il avait tout de même son jeu de scène. La route de Sammy Davis Jr. croisa celle de Cab Calloway plus tard en 1958 lorsque la MGM entreprît de tourner Porgy & Bess. Read the full story →
Autant vous le dire tout de suite : ce n'est pas l'album incontournable de Cab Calloway ! Pourtant, tout amateur de Cab aura intérêt à découvrir et écouter attentivement ce CD paru en 1989. Et à plus d’un titre. Read the full story →
Reprenons le cours du livre et de l’histoire des zazous. Après avoir vu comment ils avaient grandit et prospéré, voici aujourd'hui comment s'est déroulée la chute des zazous. Dès juin 1941, les zazous sont la cible de la presse collaborationniste qui les ridiculise. Selon elle, le zazou « représente le repoussoir idéal » et elle a vite fait de le définir comme « prototype du mauvais esprit » ! Read the full story →
Septembre 1929 : Cab Calloway a son premier engagement au Savoy de New York, avec les Alabamians (son premier orchestre au sujet duquel nous ferons prochainement une note). Arrivant de Chicago après une tournée d'échauffement (Kansas City, Toledo, Pittsburgh), c'est dans la maison de Fletcher Henderson que Cab et sa première femme Betty trouvèrent refuge. Et refuge est le mot juste étant donne le flop magistral que subirent Cab Calloway et son orchestre dès leur premier concert newyorkais... Read the full story →
Il n'y a pas que Betty Boop dans la carrière animée de Cab Calloway ! Il apparaît en effet dans de nombreux cartoons de la Warner Brothers et de Disney. Le problème, c'est que - du fait des stéréotypes racistes qu'ils véhiculent - ces dessins-animés ont depuis longtemps été amputés des scènes représentant Cab Calloway. The Hi de ho Blog vous présente pourtant quelques images quasi "inédites" de ce film de 1938, nominé aux Oscars... Read the full story →
« Les zazous », paru il y a 30 ans, dresse un portrait de la France entre 1940 et 1942. Période trouble où, tout logiquement, la jeunesse réagit à la restriction et l’humiliation par une forme de révolte. Résistance à la connerie, véritable lutte contre l’indifférence et la passivité de la majorité, le mouvement Zazou s'est inspiré de Cab Calloway et de son fameux Zah Zuh Zah ! Read the full story →
Souvenez-vous de Carol DOUGLAS, diva du disco... Eh bien sa mère Minnie Newsome, qui fut notamment chanteuse dans l'orchestre de Cootie Williams, aurait servi de modèle à Cab Calloway pour Minnie The Moocher ! Read the full story →
Ok, Ok, c’est la « signature » de Cab Calloway depuis toujours. En fait depuis 3 mars 1931, date à laquelle il enregistra la chanson en studio suite au succès rencontré sur la scène du Cotton Club alors qu’il interprétait le thème et que, pris d’un trou de mémoire, il improvisa le refrain « hi-de-hi-de-hi-de-ho » repris en chœur par les musiciens et le public. Ça, c’est l’histoire « officielle » qu’on a tous entendue, lue et relue. Pourtant, il est intéressant d’aller y voir de plus près… Read the full story →
Au début, ils étaient 2 : les fabuleux Nicholas Brothers, Harold (mort en 2000) et Fayard (91 ans). Depuis le 24 janvier dernier, il n'y a plus que les images pour se souvenir de ce duo de danseurs étonnants que Cab croisa plusieurs fois dans sa carrière : au Cotton Club et surtout avec le film « Stormy Weather ». Read the full story →
Voici le film qui a fait découvrir Cab Calloway à toute une génération de spectateurs (moi en l’occurrence) et qui a largement contribué à relancer sa carrière à l’approche de ses 80 ans ! On ne reviendra pas ou prou sur ce film épique tourné par John LANDIS et basé sur les personnages développés par John BELUSHI et Dan AYKROYD pour l’émission TV « Saturday Night Live ». Le rôle de Cab Calloway n’a que quelques répliques mais connaît son apogée au moment du concert final lorsqu’il chante sa chanson-signature « Minnie The Moocher ». Il apparaît alors comme par magie dans sa tenue de scène blanche des années du Cotton Club. Read the full story →
Les journalistes, on le sait, utilisent des raccourcis pour parler des personnalités qui font l'actualité. Cab étant sur le devant de la scène pendant de nombreuses années, il n'a pas échappé à des surnoms donnés par la presse, par ses admirateurs, par des publicitaires ou directement par son agent, Irving MILLS, qui avait un redoutable sens des affaires. Voici ceux que nous avons relevés... Read the full story →
Here's a movie of minor interest, except the stage is shared by two stars of the time, Al Jolson and - of course - Cab Calloway. In The Singing Kid, Jolson plays the role of a star of radio and stage who lives alone in a penthouse in New York. Unable to succeed in love, he is abandoned by his fiancée who leaves with his manager, the latter leaving him owing half a million dollars in taxes. Al drowns in alcohol and can no longer sing. Deciding to leave show business, he goes to rest in the countryside where he falls in love with a young girl. Forgive me if I didn’t inform you of the complexity of the plot... Read the full story →
A la fin des années 30, les lois ségrégationnistes de Jim Crow étaient loin d’être abolies ! Et pourtant, malgré cela, les orchestres de jazz noirs partaient faire des tournées dans le Sud des Etats-Unis. Les trains étaient compartimentés pour les Blancs et les Noirs, les orchestres ne pouvaient être accueillis dans les mêmes hôtels que les Blancs, etc. Lors d’un passage à Memphis, Tennessee, l’orchestre devait jouer à l’occasion d’une foire : pour les Noirs sur le champ puis pour les Blancs dans le pavillon. Mais apparemment, les Blancs n’apprécièrent pas que l’orchestre joue d’abord pour les Noirs. Read the full story →
En 1954, Cab Calloway rendit visite à Louis PRIMA au casino Sahara de Las Vegas. Les deux jazzmen avaient fait connaissance quelques années plus tôt à New York. Après le spectacle, Louis retrouva Cab dans le lobby de l’hôtel et l’invita à prendre un verre dans le bar. Mauvaise idée, apparemment... Read the full story →
Leroy MAXEY, batteur qui accompagnait Cab Calloway depuis l'époque des Missourians, fut congédié du jour au lendemain en 1939, après 10 ans de fidélité rythmique. Et c'est bien ça le problème avec Cab: quand tout allait bien, les musiciens menaient la belle vie mais attention aux écarts car la sanction devenait immédiate. Un tentative malheureuse de solo par Leroy Maxey s'acheva par l'embauche quasi-immédiate de Cozy COLE... Read the full story →
C’est effectivement ce qui aurait pu se produire si T-Bone n’avait pas préféré rester auprès de sa maman. Read the full story →
Ce n'est pas si souvent que Cab calloway fait la couverture d'un livre sur le jazz ! Qui plus est au piano, en compagnie de Duke Ellington himself à la guitare ! Il faut dire que Charles Peterson est l'un des photographes qui a le mieux capté l'essence du jazz. C'est son fils, Don Peterson, qui a entrepris la restauration de plus de 5000 clichés exceptionnels. Read the full story →
L’album de Joe JACKSON fit l’effet d’une véritable bourrasque sur les platines lorsqu’il sortit en juin 1981. Alors qu’il venait de sortir d’albums très rock (Look Sharp!, 1979 et Beat Crazy, 1980), Joe Jackson surprend tout le monde avec un album de reprises des années 30 et 40. Joe Jackson y joue du vibraphone et chante avec sa gouaille idéale pour entonner ces « chansons plutôt chantées dans des tripots qu’à Carnegie Hall ! » Les chansons de/ou chantées par Cab Calloway reprises dans cet album* : * We, The Cats (Shall Help Ya) * San Francisco Fan * Jumpin’ Jive En fait, le punk-rocker Jackson mettait à jour les racines du Rock ! Read the full story →
"Les chroniques de jazz" de Boris Vian furent longtemps le livre de chevet des amateurs français lorsqu'il n'y avait pas grand' chose à se mettre sous les yeux. L'arrivée d'Internet et la multiplication des supports nous les a fait un peu trop oubliées. Et pourtant, quelle verve ! Quelle assurance dans le goût ! Quelle finesse de jugement ! Bon, je m'emporte, mais il faut dire que depuis toujours Boris Vian adorait Cab Calloway. Peut-être l'a-t-il vu en concert Salle Pleyel en 1932, lors de sa première tournée européenne. Toujours est-il que Vian admire Cab au point de prendre sa défense de temps à autre; On regrettera simplement qu'il n'ait pas écrit un article complet sur celui qu'il appelait "Monsieur le Chat". Read the full story →
On savait l'auteur du grand Duduche fan de jazz : mais Cab Calloway tient une place à part dans le coeur de CABU. Alors, lorsqu'on lui a demandé d'illustrer les coffrets de la collection de CD "Masters of Jazz", il a créé pour l'anthologie sur Cab Calloway une couverture unique. C'est avec le même enthousiasme qu'il a croqué Cab sur 6 pages dans ses Carnets de jazz parus en 2004 aux éditions du Layeur. "Il a fait le con toute sa vie en scatant !" proclame Cabu. Pour lui, Calloway était le "chanteur le plus délirant, le chef d'orchestre le plus swing"... et surtout "il sait me persuader que la vie est belle". D'ailleurs, de Cab à Cabu, il ne manque pas grand-chose, non ? Read the full story →