Troisième et dernière partie de notre lecture des mémoires de Doc Cheatham, cette note nous permet de voir la tournée européenne du Cotton Club en 1934 avec un regard bien différent de celui de Cab (et sans doute plus juste). nous verrons le départ de Doc en 1939 de l'orchestre et son escapade en France au début de la guerre. La fin de sa carrière mérite tout autant que l'on s'y intéresse tant Doc n'a cessé de jouer jusqu'à la fin de sa vie, lui qui était d'une santé si fragile et qui s'éteignit à 91 ans ! Read the full story →
Cab a écrit et co-écrit une petite centaine de chansons au cours de sa carrière. Une de ses premières créations fut « Lady With The Fan ». Dans son autobiographie, Cab nous raconte qu'il avait en tête une des chorus girls du Cotton Club : Amy Spencer. Elle dansait en cachant ses formes derrière un large éventail à vous d"imaginer pourquoi Cab écrivit cette chanson (surtout de là où il était placé pour l’écrire…). Read the full story →
Voici un des grands standards du jazz co-écrit en 1933 par Ted Koehler (paroles) et Harold Arlen (musique) et qui donna 10 ans plus tard son titre au film éponyme d’Andrew L. Stone. La petite histoire veut qu'Arlen et Joehler pensaient destiner cette chanson à Cab, comptant sur ses ressorts dramatiques pour faire résonner les fameuses premières paroles : "Don’t know why…" Le sort - plus exactement le management du Cotton Club - en décida autrement. Read the full story →
Après une première note consacrée aux premiers pas de Doc Cheatham dans le monde du jazz, voici la partie dédiée à son parcours avec l’orchestre de Cab Calloway entre 1931 et 1939 et à la suite de sa carrière, des orchestres de Perez Prado à ceux de Vic Dickenson et Wilbur De Paris. Le frêle petit Doc a beau être fragile, son existence a connu bien des rebondissements… Read the full story →
Sacrée Minnie : elle n’a pas fini de faire parler d’elle. Notamment au cours de l’émission American Idol diffusée aux USA sur la FOX et qui n’est autre que la version américaine de notre incontournable (!) Nouvelle Star de M6. En effet, lors de la saison 1 (2003), la candidate Tamyra GRAY en a fait une interprétation éblouissante (complètement calquée sur celle de Cab dans les Blues Brothers), accompagnée d’un brillant big band. Le public – comme le jury – furent enthousiasmés. Pour autant, la belle Tamyra finit 4e d’American Idol. Je vous laisse juge… Read the full story →
Voici un livre touchant et sincère, à l’image de son auteur, Doc Cheatham (1906-1997), lead trompette dans l’orchestre de Cab de 1931 à 1939. Une fois encore, nous devons à Alyn SHIPTON d’avoir aidé Doc à mettre en ordre ses souvenirs. D’ailleurs, l’un des plaisirs de Doc Cheatham est d’avoir vu ses mémoires éditées de son vivant. Remarquable par bien des détails et le regard humble et honnête qu’il pose sur son existence, I Guess I’ll Get The Papers And Go Home possède un long chapitre passionnant entièrement dévolu à la période avec Cab CALLOWAY que nous aborderons dans la deuxième note consacrée à ce livre. En attendant, voici comment Doc Cheatham fit ses premières armes… Read the full story →
Il faut s'y résoudre : les derniers acteurs et témoins du jazz des années 30 et 40 commencent à être de plus en plus rares... Et depuis dimancher 21 mai 2006, le monde du jazz et de la danse compte une grande vedette de moins en la personne de Katherine DUNHAM. Son talent et son tempérament l'avait fait remarquer par Hollywood qui la fit travailler à de nombreuses reprise, comme Cabin In The Sky et... Stormy Weather. Read the full story →
Les producteurs de disques manquent cruellement d’imagination et le cas de Cab en est la preuve flagrante. Alors que des dizaines d’heures de concerts dorment dans les maisons de disques ou chez certains collectionneurs, on nous refait une fois encore le coup de la compilation. Saluons toutefois les efforts de Rev-Ola, petite maison de production britannique, qui sort ces jours-ci un album intitulé « The Hi de Ho Man » (le titre lui-même ne brillant pas par son originalité). Read the full story →
Si je vous dis qu’en France il existe une personne encore plus fan de Cab que moi, vous répondrez sans doute : « Bien sûr, c’est Cabu ! » Et vous aurez raison ! Je n’ai jamais entendu quelqu’un capable d’en parler si longtemps, avec autant de connaissance et d’intérêt. Au cours d’une rencontre qui devait durer deux heures et qui dura presque 4 fois plus longtemps, nous avons échangé nos points de vue et notre admiration pour Cab et ses musiciens et le jazz en général. Read the full story →
Quand la télévision américaine célèbre une des plus prestigieuses salles de spectacle de New York, elle n’y va pas de mainmorte ! Pendant 2 heures, cette émission datant de 1980 et écrite par Harry Crane (qui écrivit quelques années plus tôt le film Ziegfeld Follies et quelques shows de Dean Martin) et Marty Farrell (spécialiste des émissions « Tribute ») va faire revivre l’Apollo Theatre. Le show TV de 1980 est mené tambour battant et Cab swinguant puisque le roi du Hi de Ho est le maître de cérémonie. Voici d’ailleurs la séquence générique (seul extrait que je connaisse d’ailleurs de cette émission) qui permet de voir un bon vieux Cab de 73 ans en pleine forme, dansant et chantant comme quarante ans plus tôt ! Read the full story →
Chevelle "Shelli" Calloway, a été assassinée à l’âge de 41 ans par son mari Jon Dilley qui a également tué sa propre mère au même moment, le tout à la suite d’une dispute. Ce sordide fait-divers eut lieu le 21 août 2004 à Boothbay Harbor dans l’état du Maine, et le jugement vient d’être rendu il y a quelques jours. Read the full story →
S’il est un nom que les amateurs de Cab Calloway ont souvent croisé durant leurs lectures, c’est bien celui de Philippe BAUDOIN. Pianiste, compositeur, arrangeur, professeur, auteur de nombreux ouvrages, producteur de disques et d'émissions radiophoniques et fantastique collectionneur, Philippe BAUDOIN n’en est pas moins un homme discret, passionné et érudit. Read the full story →
Le premier single du groupe de rap OUTKAST de la bande originale du film Idlewild vient de sortir aux USA. La structure du morceau s’organise autour des fameux « Hi-de-Hi-de-i-de-Ho » de Cab, réécrit « Mighty-I-de-I-de-I/ O-de-o-de-o-de-o ». Read the full story →
Voici l'un des cartoons de la Warner Bros banni dans les années 1960 par la censure pour ses stéréotypes racistes. Et pourtant, quel témoignage exceptionnel sur la vision du jazz noir des années trente : Bill Robinson, Stepin Fetchit, Fats Waller, les Mills Brothers et, naturellement, Cab Calloway. Tous y apparaissent caricaturés de la plus belle manière : le swing est respecté ! Read the full story →
D’ordinaire, ces colonnes n’abordent pas des sujets trop personnels. Pourtant, aujourd’hui je voudrais partager avec vous ce « miracle » dont je suis le bénéficiaire : mon premier 78 Tours français de Cab Calloway ! Read the full story →
A 89 ans, vient de s'éteindre William Gottlieb, photographe fantastique du jazz. Si ses clichés sont célèbres dans le monde entier, il a pourtant arrêté de photographier en 1948 (alors qu'il n'avait commencé qu'en 1939 !). Le site de la Librairie du Congrès possède d'ailleurs 13 superbes clichés de Cab Calloway par Gottlieb, pris en mars 1947 dans les studios d'enregistrement de la Columbia. Read the full story →
Revue du Cotton Club de Harlem. * Paroles de Ted Koehler * Musiques d’Harold Arlen * Mise en scène de Dan Healy * Vedette : Cab Calloway Chansons publiées : * In The Silence of the Night * Minnie The Moocher’s Wedding Day* * You Gave Me Everything But Love Read the full story →
En 1934, lors d'une tournée du côté de Pittsburgh, Cab Calloway dut faire face au départ impromptu des Nicholas Brothers, bien décidés à tourner leur premier film à Hollywood. Pour les remplacer, son agent lui envoya sans les avoir vus les jeunes (et blancs !) Fred et Gene KELLY. Voici le récit de cette anecdote peu connue qui permet à des danseurs de claquettes blancs de danser en compagnie d'un orchestre noir, chose plus qu'improbable à cette époque... Read the full story →
Il faut chercher un peu, voire beaucoup, pour trouver des anecdotes sur ce film pourtant adulé. Glanées deci-delà voici les quelques informations qui éclaireront votre vision de Stormy Weather sous un nouveau jour... Read the full story →
Cet étonnant ensemble d'automates mécaniques date de 1931 "Marx Merry Makers Mouse Band". Même si de prime abord la ressemblance n'est pas frappante, on se réjouira de constater à quel point la boîte d'origine met le personnage du chef d'orchestre dans une position très similaire à Cab Calloway dans ces années-là. Read the full story →
Des anecdotes sur la violence durant les tournées dans le Sud des Etats-Unis sont légion. En voici quelques-unes qui illustrent à quel point les orchesstres noirs de jazz ont souffert de la ségrégation partout où ils passaient. Read the full story →
Voici un extrait de petit film dans lequel Cab interprète avec son orchestre du Cotton Club une des ces chansons interlopes qui faisaient frémir le spectateur aventuré à Harlem. On y parle de la drogue et de ses méfaits et naturellement, la petite Minnie the Moocher est dans le coup... Read the full story →
Deuxième contribution d’Harold Arlen et Ted Koelhler aux revues du Cotton Club, Rhythm-Mania contient quelques succès parmi lesquels Between The Devil and The Deep Blue Sea, la marche I Love a Parade et naturellement Kickin’ The Gong Around. Devant le succès de la chanson I Love a Parade, les revues suivantes furent toutes appelées «Cotton Club Parade». Read the full story →
C’est en 1930 que sa carrière a débuté. A 16 ans, encore au collège à Washington DC, Billy ECKSTINE participe à un concours amateur et remporte le premier prix en imitant… Cab Calloway, of course ! Eckstine se souvient encore qu’à l’époque, « tout le monde imitait Calloway. Alors, moi aussi, je l’ai fait. » Read the full story →
Vous n'avez pas encore lu la première biographie de Cab CALLOWAY ? C’est normal : elle ne paraîtra que fin 2007 pour le centenaire du roi du Hi-de-Ho ! En ce moment, Alyn SHIPTON est justement en train d’en terminer la rédaction (fin des travaux prévue en août 2006 !) et nous a accordé une interview exclusive pour The Hi de Ho Blog. Rencontre avec un historien du jazz, anglais et francophile, doublé d’un contrebassiste distingué. Read the full story →
Un livre unique basé sur les interviews des derniers survivants du Harlem de la grande époque. Hank O’Neal accompagne toutes ses interviews de photos qu’il a prises lui-même de ces vieux roublards du jazz dans leur intérieur. C’est un livre intimiste et généreux à l’image de Milton Hinton, fidèle contrebassiste de Cab notamment, qui donne une longue interview. Voici la première d'une large série de notes consacrées aux « Fantômes de Harlem », tant l’ouvrage est riche en informations exclusives sur Cab, ses musiciens et le jazz de cette époque. Sujet d'aujourd'hui : les raison du déclin de Harlem. Read the full story →
Celui qui fut l’alter ego du grand Duke (co-composant et co-arrangeant de nombreux standards de l’orchestre et du jazz en général tels que Take The ‘A’ Train) doit (un peu) de sa carrière au morceau de Cab, The Jumpin’Jive. Read the full story →
Elle en aura entendu des vertes et des pas mûres la petite Minnie ! Parmi toutes les adaptations (auxquelles nous consacrerons régulièrement des notes !), il y a celle faite par le Reggae Philarmonic Orchestra en 1988. Parue en album, elle a même eu droit à un maxi-single avec 2 versions. Extrait exclusif ! Read the full story →
Sacrée Minnie ! Elle en a fait tourner des têtes... Jusqu'à celles d'aviateurs britanniques pendant la seconde guerre mondiale. Vous avez en effet sous les yeux la photo d'un bombardier B17 baptisé en l'honneur de l'égérie de Cab. Read the full story →
One of the greatest experiences Cab Calloway had on the ether waves was certainly the "Quizzicale Show." For more than a year, the show was broadcast across the country and gained a huge success with the black community. The only problem was precisely that it was a show with black musicians. After nearly a year, the show was dropped for lack of a sponsor. And yet, it really had it all together for success! Read the full story →
Homme de scène par excellence, Sammy Davis Jr. a été largement influencé par Cab Calloway dans sa jeunesse. Il racontait même qu’il regardait Cab chanter et danser en secouant sa tête avec beaucoup d’admiration. Il passait alors des heures à reproduire le mouvement. Ses prestations ultérieures montrèrent qu’il avait tout de même son jeu de scène. La route de Sammy Davis Jr. croisa celle de Cab Calloway plus tard en 1958 lorsque la MGM entreprît de tourner Porgy & Bess. Read the full story →
Autant vous le dire tout de suite : ce n'est pas l'album incontournable de Cab Calloway ! Pourtant, tout amateur de Cab aura intérêt à découvrir et écouter attentivement ce CD paru en 1989. Et à plus d’un titre. Read the full story →
Reprenons le cours du livre et de l’histoire des zazous. Après avoir vu comment ils avaient grandit et prospéré, voici aujourd'hui comment s'est déroulée la chute des zazous. Dès juin 1941, les zazous sont la cible de la presse collaborationniste qui les ridiculise. Selon elle, le zazou « représente le repoussoir idéal » et elle a vite fait de le définir comme « prototype du mauvais esprit » ! Read the full story →
Septembre 1929 : Cab Calloway a son premier engagement au Savoy de New York, avec les Alabamians (son premier orchestre au sujet duquel nous ferons prochainement une note). Arrivant de Chicago après une tournée d'échauffement (Kansas City, Toledo, Pittsburgh), c'est dans la maison de Fletcher Henderson que Cab et sa première femme Betty trouvèrent refuge. Et refuge est le mot juste étant donne le flop magistral que subirent Cab Calloway et son orchestre dès leur premier concert newyorkais... Read the full story →
Il n'y a pas que Betty Boop dans la carrière animée de Cab Calloway ! Il apparaît en effet dans de nombreux cartoons de la Warner Brothers et de Disney. Le problème, c'est que - du fait des stéréotypes racistes qu'ils véhiculent - ces dessins-animés ont depuis longtemps été amputés des scènes représentant Cab Calloway. The Hi de ho Blog vous présente pourtant quelques images quasi "inédites" de ce film de 1938, nominé aux Oscars... Read the full story →
« Les zazous », paru il y a 30 ans, dresse un portrait de la France entre 1940 et 1942. Période trouble où, tout logiquement, la jeunesse réagit à la restriction et l’humiliation par une forme de révolte. Résistance à la connerie, véritable lutte contre l’indifférence et la passivité de la majorité, le mouvement Zazou s'est inspiré de Cab Calloway et de son fameux Zah Zuh Zah ! Read the full story →
Souvenez-vous de Carol DOUGLAS, diva du disco... Eh bien sa mère Minnie Newsome, qui fut notamment chanteuse dans l'orchestre de Cootie Williams, aurait servi de modèle à Cab Calloway pour Minnie The Moocher ! Read the full story →
Ok, Ok, c’est la « signature » de Cab Calloway depuis toujours. En fait depuis 3 mars 1931, date à laquelle il enregistra la chanson en studio suite au succès rencontré sur la scène du Cotton Club alors qu’il interprétait le thème et que, pris d’un trou de mémoire, il improvisa le refrain « hi-de-hi-de-hi-de-ho » repris en chœur par les musiciens et le public. Ça, c’est l’histoire « officielle » qu’on a tous entendue, lue et relue. Pourtant, il est intéressant d’aller y voir de plus près… Read the full story →
Au début, ils étaient 2 : les fabuleux Nicholas Brothers, Harold (mort en 2000) et Fayard (91 ans). Depuis le 24 janvier dernier, il n'y a plus que les images pour se souvenir de ce duo de danseurs étonnants que Cab croisa plusieurs fois dans sa carrière : au Cotton Club et surtout avec le film « Stormy Weather ». Read the full story →
Voici le film qui a fait découvrir Cab Calloway à toute une génération de spectateurs (moi en l’occurrence) et qui a largement contribué à relancer sa carrière à l’approche de ses 80 ans ! On ne reviendra pas ou prou sur ce film épique tourné par John LANDIS et basé sur les personnages développés par John BELUSHI et Dan AYKROYD pour l’émission TV « Saturday Night Live ». Le rôle de Cab Calloway n’a que quelques répliques mais connaît son apogée au moment du concert final lorsqu’il chante sa chanson-signature « Minnie The Moocher ». Il apparaît alors comme par magie dans sa tenue de scène blanche des années du Cotton Club. Read the full story →
Les journalistes, on le sait, utilisent des raccourcis pour parler des personnalités qui font l'actualité. Cab étant sur le devant de la scène pendant de nombreuses années, il n'a pas échappé à des surnoms donnés par la presse, par ses admirateurs, par des publicitaires ou directement par son agent, Irving MILLS, qui avait un redoutable sens des affaires. Voici ceux que nous avons relevés... Read the full story →
Here's a movie of minor interest, except the stage is shared by two stars of the time, Al Jolson and - of course - Cab Calloway. In The Singing Kid, Jolson plays the role of a star of radio and stage who lives alone in a penthouse in New York. Unable to succeed in love, he is abandoned by his fiancée who leaves with his manager, the latter leaving him owing half a million dollars in taxes. Al drowns in alcohol and can no longer sing. Deciding to leave show business, he goes to rest in the countryside where he falls in love with a young girl. Forgive me if I didn’t inform you of the complexity of the plot... Read the full story →
A la fin des années 30, les lois ségrégationnistes de Jim Crow étaient loin d’être abolies ! Et pourtant, malgré cela, les orchestres de jazz noirs partaient faire des tournées dans le Sud des Etats-Unis. Les trains étaient compartimentés pour les Blancs et les Noirs, les orchestres ne pouvaient être accueillis dans les mêmes hôtels que les Blancs, etc. Lors d’un passage à Memphis, Tennessee, l’orchestre devait jouer à l’occasion d’une foire : pour les Noirs sur le champ puis pour les Blancs dans le pavillon. Mais apparemment, les Blancs n’apprécièrent pas que l’orchestre joue d’abord pour les Noirs. Read the full story →
En 1954, Cab Calloway rendit visite à Louis PRIMA au casino Sahara de Las Vegas. Les deux jazzmen avaient fait connaissance quelques années plus tôt à New York. Après le spectacle, Louis retrouva Cab dans le lobby de l’hôtel et l’invita à prendre un verre dans le bar. Mauvaise idée, apparemment... Read the full story →
Leroy MAXEY, batteur qui accompagnait Cab Calloway depuis l'époque des Missourians, fut congédié du jour au lendemain en 1939, après 10 ans de fidélité rythmique. Et c'est bien ça le problème avec Cab: quand tout allait bien, les musiciens menaient la belle vie mais attention aux écarts car la sanction devenait immédiate. Un tentative malheureuse de solo par Leroy Maxey s'acheva par l'embauche quasi-immédiate de Cozy COLE... Read the full story →
C’est effectivement ce qui aurait pu se produire si T-Bone n’avait pas préféré rester auprès de sa maman. Read the full story →