Ok, Ok, c’est la « signature » de Cab Calloway depuis toujours. En fait depuis 3 mars 1931, date à laquelle il enregistra la chanson en studio suite au succès rencontré sur la scène du Cotton Club alors qu’il interprétait le thème et que, pris d’un trou de mémoire, il improvisa le refrain « hi-de-hi-de-hi-de-ho » repris en chœur par les musiciens et le public. Ça, c’est l’histoire « officielle » qu’on a tous entendue, lue et relue. Pourtant, il est intéressant d’aller y voir de plus près… Read the full story →
Au début, ils étaient 2 : les fabuleux Nicholas Brothers, Harold (mort en 2000) et Fayard (91 ans). Depuis le 24 janvier dernier, il n'y a plus que les images pour se souvenir de ce duo de danseurs étonnants que Cab croisa plusieurs fois dans sa carrière : au Cotton Club et surtout avec le film « Stormy Weather ». Read the full story →
Voici le film qui a fait découvrir Cab Calloway à toute une génération de spectateurs (moi en l’occurrence) et qui a largement contribué à relancer sa carrière à l’approche de ses 80 ans ! On ne reviendra pas ou prou sur ce film épique tourné par John LANDIS et basé sur les personnages développés par John BELUSHI et Dan AYKROYD pour l’émission TV « Saturday Night Live ». Le rôle de Cab Calloway n’a que quelques répliques mais connaît son apogée au moment du concert final lorsqu’il chante sa chanson-signature « Minnie The Moocher ». Il apparaît alors comme par magie dans sa tenue de scène blanche des années du Cotton Club. Read the full story →
Les journalistes, on le sait, utilisent des raccourcis pour parler des personnalités qui font l'actualité. Cab étant sur le devant de la scène pendant de nombreuses années, il n'a pas échappé à des surnoms donnés par la presse, par ses admirateurs, par des publicitaires ou directement par son agent, Irving MILLS, qui avait un redoutable sens des affaires. Voici ceux que nous avons relevés... Read the full story →
Here's a movie of minor interest, except the stage is shared by two stars of the time, Al Jolson and - of course - Cab Calloway. In The Singing Kid, Jolson plays the role of a star of radio and stage who lives alone in a penthouse in New York. Unable to succeed in love, he is abandoned by his fiancée who leaves with his manager, the latter leaving him owing half a million dollars in taxes. Al drowns in alcohol and can no longer sing. Deciding to leave show business, he goes to rest in the countryside where he falls in love with a young girl. Forgive me if I didn’t inform you of the complexity of the plot... Read the full story →
A la fin des années 30, les lois ségrégationnistes de Jim Crow étaient loin d’être abolies ! Et pourtant, malgré cela, les orchestres de jazz noirs partaient faire des tournées dans le Sud des Etats-Unis. Les trains étaient compartimentés pour les Blancs et les Noirs, les orchestres ne pouvaient être accueillis dans les mêmes hôtels que les Blancs, etc. Lors d’un passage à Memphis, Tennessee, l’orchestre devait jouer à l’occasion d’une foire : pour les Noirs sur le champ puis pour les Blancs dans le pavillon. Mais apparemment, les Blancs n’apprécièrent pas que l’orchestre joue d’abord pour les Noirs. Read the full story →
En 1954, Cab Calloway rendit visite à Louis PRIMA au casino Sahara de Las Vegas. Les deux jazzmen avaient fait connaissance quelques années plus tôt à New York. Après le spectacle, Louis retrouva Cab dans le lobby de l’hôtel et l’invita à prendre un verre dans le bar. Mauvaise idée, apparemment... Read the full story →
Leroy MAXEY, batteur qui accompagnait Cab Calloway depuis l'époque des Missourians, fut congédié du jour au lendemain en 1939, après 10 ans de fidélité rythmique. Et c'est bien ça le problème avec Cab: quand tout allait bien, les musiciens menaient la belle vie mais attention aux écarts car la sanction devenait immédiate. Un tentative malheureuse de solo par Leroy Maxey s'acheva par l'embauche quasi-immédiate de Cozy COLE... Read the full story →
C’est effectivement ce qui aurait pu se produire si T-Bone n’avait pas préféré rester auprès de sa maman. Read the full story →
Ce n'est pas si souvent que Cab calloway fait la couverture d'un livre sur le jazz ! Qui plus est au piano, en compagnie de Duke Ellington himself à la guitare ! Il faut dire que Charles Peterson est l'un des photographes qui a le mieux capté l'essence du jazz. C'est son fils, Don Peterson, qui a entrepris la restauration de plus de 5000 clichés exceptionnels. Read the full story →
L’album de Joe JACKSON fit l’effet d’une véritable bourrasque sur les platines lorsqu’il sortit en juin 1981. Alors qu’il venait de sortir d’albums très rock (Look Sharp!, 1979 et Beat Crazy, 1980), Joe Jackson surprend tout le monde avec un album de reprises des années 30 et 40. Joe Jackson y joue du vibraphone et chante avec sa gouaille idéale pour entonner ces « chansons plutôt chantées dans des tripots qu’à Carnegie Hall ! » Les chansons de/ou chantées par Cab Calloway reprises dans cet album* : * We, The Cats (Shall Help Ya) * San Francisco Fan * Jumpin’ Jive En fait, le punk-rocker Jackson mettait à jour les racines du Rock ! Read the full story →
"Les chroniques de jazz" de Boris Vian furent longtemps le livre de chevet des amateurs français lorsqu'il n'y avait pas grand' chose à se mettre sous les yeux. L'arrivée d'Internet et la multiplication des supports nous les a fait un peu trop oubliées. Et pourtant, quelle verve ! Quelle assurance dans le goût ! Quelle finesse de jugement ! Bon, je m'emporte, mais il faut dire que depuis toujours Boris Vian adorait Cab Calloway. Peut-être l'a-t-il vu en concert Salle Pleyel en 1932, lors de sa première tournée européenne. Toujours est-il que Vian admire Cab au point de prendre sa défense de temps à autre; On regrettera simplement qu'il n'ait pas écrit un article complet sur celui qu'il appelait "Monsieur le Chat". Read the full story →
On savait l'auteur du grand Duduche fan de jazz : mais Cab Calloway tient une place à part dans le coeur de CABU. Alors, lorsqu'on lui a demandé d'illustrer les coffrets de la collection de CD "Masters of Jazz", il a créé pour l'anthologie sur Cab Calloway une couverture unique. C'est avec le même enthousiasme qu'il a croqué Cab sur 6 pages dans ses Carnets de jazz parus en 2004 aux éditions du Layeur. "Il a fait le con toute sa vie en scatant !" proclame Cabu. Pour lui, Calloway était le "chanteur le plus délirant, le chef d'orchestre le plus swing"... et surtout "il sait me persuader que la vie est belle". D'ailleurs, de Cab à Cabu, il ne manque pas grand-chose, non ? Read the full story →