Many jazz fans will be delighted by this story told by Cab Calloway in his autobiography, Of Minnie the Moocher and Me: at an evening reception in honor of Duke Ellington, Richard Nixon approach Cab Calloway and told him "My wife and I really like what you're doing, Mr. Ellington" True or not, it indicates the presence of Cab at the White House and his relationship with the U.S. leader. The Hi de Ho Blog will tell you a little more... Read the full story →
Tout le monde sait que l'orchestre de Cab Calloway était parmi les mieux traités du business : la paie était la meilleure, 4 semaines de congés payés par an et 1 semaine à Noël avec une prime, au moins 3 costumes de scène inclus, etc. Dans le "package" Calloway, il y avait également le transport. Quand ce n'était pas dans un bus spécial, l'orchestre avait pour habitude de voyager dans un wagon Pullman bénéficiant d'un grand confort. Les nombreuses photos de Milt Hinton vous ont déjà montré tout ça. Ce que l'on sait moins, c'est que tout l'orchestre profita pendant quelques mois d'un nouveau type de transport, unique dans tout le monde du jazz à l'époque : un avion ! Il n'y a guère que The Hi de Ho Blog pour vous raconter pareille anecdote ! Read the full story →
Une des merveilles d'eBay, c'est de permettre de découvrir des choses qu'on n'aurait pas osé imaginer... En voici la preuve avec ce poème extrait d'un ouvrage récemment mis en vente sur le site de vente aux enchères. Il s'agit d'un recueil de poésies de Pierre CUVILLIER, publié en 1948 (éditions Debresse, illustré par Maurice Henry). Read the full story →
Confined to his small workshop in Staten Island, Isaac Cary manufactures batons for conductors since 1929. He's even the only one to do so in the USA (in 1941). His clientele count among the most famous maestros of the time: Arturo Toscanini, Dave Rubinoff, Alfred Wallenstein, Andre Kostelanetz, Mark Warnow... On the jazz and showbusiness side, Cary's clients include Paul Whiteman, Jimmy Lunceford, Hal Kemp, Abe Lyman, Rudy Vallee, Ozzie Nelson, Freddie Rich, Frank Black... and Cab Calloway. Read the full story →
En 1932 était paru dans New York Mirror un poème à propos de Cab Calloway que nous avons déjà retranscrit. En avril 1934, tandis que Cab est en tournée en Europe, un nouveau poème fait surface. Cette fois, on parle de la protagoniste d'une chanson interprétée par Cab à cette époque : Sylvia. Autant vous le dire tout de suite, j'ai l'impression que son auteur s'est un peu emporté. Read the full story →
En ce week-end de passage à l'heure d'hiver, voici une anecdote de 1935 sur Cab Calloway pour qui le changement d'horaire eut des conséquences fâcheuses... La pauvreté de l'intérêt de l'anecdote et sa parution en tête de la section "Théâtres" du grand journal New York Age du 4 mai 1935 démontrent à quel point Cab Calloway était une star dont la presse guettait le moindre geste... Read the full story →
"Quel marbre à la postérité fera paraître votre gloire ?" s'interrogeait Malherbe (qui s'y connaissait plus en poésie qu'en jazz). Il était donc logique qu'en plein gloire, soutenu par son agent actif Irving Mills, Cab passât à la postérité, sculpté dans le marbre ou modelé dans l'argile. Au cours de mes diverses recherches, j'ai pu recenser différentes œuvres représentant le roi du Hi de Ho et j'en ai dénombré 5. Pour le moment. Les voici dans leur ordre chronologique d'apparition. Read the full story →
Eh oui, ça existe ! Dans les Yvelines, entre l'autoroute de Normandie et le golf de Noisy-le-Roi, au milieu d'un lotissement de banlieue comme on les affectionne, se situe l'allée Cab Calloway... Read the full story →
Voici un objet publicitaire inattendu, en tout cas, que je n'imaginais pas exister à cette époque. Il s'agit d'un passe pour une semaine de trajets valables sur les bus de la ville de Saint Louis (MO). Il fut édité à l'occasion du passage de Cab Calloway entre le lundi 17 et le jeudi 20 avril 1944 à l'ancienne Opera House, appelée depuis 1943, "Kiel Auditorium". Read the full story →
Voici une anecdote joyeuse connue dans le show-business et relevée dans la presse plus de 10 ans après qu'elle se soit déroulée, un soir au Cotton Club de Harlem. Elle met en scène Cab Calloway, Irving Berlin et sa femme. Euh, non pas sa femme. Read the full story →
Il y en a eu des choses écrites sur Cab : des critiques (pas toujours bonnes), des articles, des essais... eh bien il y a même eu des poèmes (l'un des plus fameux est celui d'Ishmael Reed, Cab Calloway Stands In For The Moon qui donna d'ailleurs lieu à un recueil et un album - et qui donnera lieu également à une note dans ces colonnes !). The Hi de Ho Blog est heureux de vous montrer l'un des tout premiers parus en l'honneur de Cab et ce, dès 1932 ! Read the full story →
This is a topic that can not be found at the front of French magazines like L'Express and Le Point even if they too oftenly deal with Freemasons! And because there is little study on jazz and Freemasonry. More reason to welcome the research Raphaël IMBERT who, more than being an accomplished saxophonist, has undertaken to initiate the uninitiated that we are the relationships between jazz and Masonic lodges. By empowering African Americans, Freemasonry also allowed jazzmen to create a new corporatism close to a fraternity. The Hi De Ho Blog is particularly focused on Brother Cab Calloway, introduced to the masonry by his musicians. The recent parution of "Jazz Supreme: initiés, mystiques et prophètes" (2014, L'éclat) is the reason for us to update this 2008 article. Read the full story →
En juillet 1941, Cab Calloway reçut les honneurs de la Guilde Custor des Tailleurs en étant désigné comme le plus élégant chef d'orchestre des Etats-Unis (il faut dire qu'à cette époque, les autres pays avaient un peu autre chose à faire qu'à parler chiffon, les treillis étant plus d'actualité !). Cette récompense était logique pour Cab qui, depuis ses tout débuts, avait toujours su conjuguer sens de la scène, entertainment et élégance. Read the full story →
Les généalogistes sont des personnes formidables, quoique tatillonnes à outrance. Néanmoins, grâce à elles, nous avons la chance de connaître en détail les dates de décès du père et du grand-père paternel de Cab Calloway ! Très utile me direz-vous. Eh bien, si quand même un peu, lorsque l'on considère l'importance de la relation entre Cab et son père puis son beau-père. Read the full story →
C'est grâce aux archives dans les journaux américains que j'ai pu trouver cette anecdote étonnante qui voit Cab frapper Claude HOPKINS alors qu'il était sur la scène du Café Zanzibar, un soir d'août 1945... Mais ça n'était pas n'importe quel jour : c'était le 14 août 1945, et quelques minutes avant ou après, la reddition japonaise avait été annoncée à la radio, interrompant le broadcast en cours. Read the full story →
Cette anecdote, racontée dans son autobiographie, Cab la place en tête des exemples terribles de la ségrégation aux Etats-Unis. En décembre 1945, alors que Cab et son orchestre sont en tournée au Kansas, ils croisent Lionel Hampton en concert dans le coin. Read the full story →
Moe GALE (né Moses Galewski, 1899-1964) fut le premier agent qu'eut Cab Calloway. Il signa avec lui un contrat qui faisait de lui un artiste pieds et poings liés pour 10 ans, avec un salaire fixe de 100 $ par semaine. Si cela semblait une fortune pour Cab au moment d'arriver à New York, cela relevait de l'escroquerie pure et simple : en quelques semaines, Cab allait « valoir » plus de 500 $ par semaine. Mais ça n'est pas tout… Read the full story →
Des anecdotes sur la violence durant les tournées dans le Sud des Etats-Unis sont légion. En voici quelques-unes qui illustrent à quel point les orchesstres noirs de jazz ont souffert de la ségrégation partout où ils passaient. Read the full story →
Sacrée Minnie ! Elle en a fait tourner des têtes... Jusqu'à celles d'aviateurs britanniques pendant la seconde guerre mondiale. Vous avez en effet sous les yeux la photo d'un bombardier B17 baptisé en l'honneur de l'égérie de Cab. Read the full story →
A la fin des années 30, les lois ségrégationnistes de Jim Crow étaient loin d’être abolies ! Et pourtant, malgré cela, les orchestres de jazz noirs partaient faire des tournées dans le Sud des Etats-Unis. Les trains étaient compartimentés pour les Blancs et les Noirs, les orchestres ne pouvaient être accueillis dans les mêmes hôtels que les Blancs, etc. Lors d’un passage à Memphis, Tennessee, l’orchestre devait jouer à l’occasion d’une foire : pour les Noirs sur le champ puis pour les Blancs dans le pavillon. Mais apparemment, les Blancs n’apprécièrent pas que l’orchestre joue d’abord pour les Noirs. Read the full story →
En 1954, Cab Calloway rendit visite à Louis PRIMA au casino Sahara de Las Vegas. Les deux jazzmen avaient fait connaissance quelques années plus tôt à New York. Après le spectacle, Louis retrouva Cab dans le lobby de l’hôtel et l’invita à prendre un verre dans le bar. Mauvaise idée, apparemment... Read the full story →
C’est effectivement ce qui aurait pu se produire si T-Bone n’avait pas préféré rester auprès de sa maman. Read the full story →