Cab’s outrageous zoot suit in “Stormy Weather”

    Vous le savez, le tournages aux USA durant la Seconde Guerre Mondiale subissaient les restrictions comme tous les autres domaines de l'économie. Par exemple, les décors n'avaient qu'un budget de 5000 $, tout comme les éclairages (ce qui vaudra d'ailleurs au chef-opérateur Leon SHAMROY de modifier sensiblement sa méthode de travail sur le plateau de Stormy Weather). Tandis qu'en France, les Zazous résistaient à leur manière en écoutant du jazz et en portant des costumes à larges pans (un véritable gâchis alors que la France entière se privait), la production du film ne trouva rien de mieux que de dessiner une tenue de scène hors du commun pour Cab Calloway. Read the full story →

“Stormy Weather”: Thanks, pal! and other anecdotes

  "Thanks, Pal!" était le titre de travail de Stormy Weather. Il faisait référence à tous les mots de remerciements émanant d'autres vedettes et que lit Bill Robinson durant tout le film. Arthur Knight estime dans son passionnant (mais complexe) ouvrage que dire ainsi merci à un Noir américain, à travers Bill Robinson, était une gageure eut égard à l'opinion générale de l'époque. Mais nous aborderons les aspects raciaux du film une prochaine fois. Pour le moment, nous avons encore quelques croustillantes anecdotes à nous mettre sous la dent... Read the full story →

“Stormy Weather” and the french critics

  A cause de la guerre, Stormy Weather n'est sorti en France qu'en juillet 1946, soit 3 ans après les Etats-Unis. Entre les deux, le jazz avait déjà bien changé : Fats était mort et Cab commençait déjà largement à peiner pour faire vivre son big band. Pourtant, une fois n'est pas coutume, la critique française fut élogieuse.Alors, découvrez tout de suite l'intégralité de cette critique parue dans Jazz Hot en spetembre-octobre 1946 ainsi qu'une rarissime photo d'époque présentant l'affiche sur les Champs-Elysées. Read the full story →

“Stormy Weather”: from an arranger to another

Lorsque l’on se penche sur la musique du film Stormy Weather, on est frappé par sa proportion dans le film : près de 90 % ! C’est dire la minceur du scénario et, en contrepartie, l’attention que nous devons porter à la richesse de sa musique. Au-delà des grandes stars du jazz qui sont présentes dans le film, la question des arrangements musicaux a soulevé suffisamment de problèmes pour que The Hi de Ho Blog vous en parle un peu. Il faut dire que l’on est passé d’un compositeur classique à un jazzman, tous deux Afro-Américains, sous la houlette du directeur musical (et blanc) de la 20th-Century-Fox, Alfred Newman. Read the full story →