“From Cab Calloway to Duke Ellington” (5/6): the EXCEPTIONS

Les orchestres de Cab Calloway et de Duke Ellington étaient parmi les plus populaires dans les années 1930/40. Ils étaient également ceux qui distribuaient les plus belles fiches de paie ! Naturellement, celui du Duke avait un prestige et une excellence incomparables. Beaucoup des musiciens qui sont passés par les pupitres de Cab ont eu envie à un moment ou un autre de rejoindre ceux d'Ellington. Seule une poignée d'entre eux est parvenue à ses fins... et encore moins d'autres ont fait le chemin inverse ! C'est aujourd'hui aux exceptions que nous nous intéressons. En effet, seuls quelques rares musiciens ont fait le chemin inverse, jouant d'abord chez Duke avant de rejoindre l'orchestre de Cab. Tout le détail, en respectant l'ordre chronologique, et il y a quelques surprises... Read the full story →

“From Cab Calloway to Duke Ellington” (4/6): the RHYTHM SECTION

Les orchestres de Cab Calloway et de Duke Ellington étaient parmi les plus populaires dans les années 1930/40. Ils étaient également ceux qui distribuaient les plus belles fiches de paie ! Naturellement, celui du Duke avait un prestige et une excellence incomparables. Beaucoup des musiciens qui sont passés par les pupitres de Cab ont eu envie à un moment ou un autre de rejoindre ceux d'Ellington. Seule une poignée d'entre eux est parvenue à ses fins... et encore moins d'autres ont fait le chemin inverse ! The Hi de Ho Blog les passe tous en revue pour vous. Et il y a dans la liste quelques noms inattendus ! Aujourd'hui, c'est la section rythmique qui passe le grand jury avec une grande absente : la batterie puisqu'en effet, aucun batteur ne passa d'un orchestre à un autre. Aucun, enfin presque... Read the full story →

“From Cab Calloway to Duke Ellington” (3/6): the TROMBONES

The Cab Calloway and Duke Ellington orchestras were among the most popular of the 1930’s and 1940’s. They were also responsible for disbursing the highest payroll! Of course, the Duke had the prestige and incomparable excellence. Many of the musicians who passed through Cab’s bandstand were eager at one time or another to join Ellington. Only a handful of them succeeded in that objective ... and fewer still traveled the other direction. The Hi De Ho Blog reviews them all for you. And there are a few unexpected names on the list! We continue the series with the trombones and: Tyree GLENN, Claude JONES et Quentin JACKSON. Read the full story →

Dave RIVERA: the delicate Portorican touch in Cab’s ork

Heureusement que Down Beat existait en 1944 ! Sans cette revue américaine consacrée au jazz (et qui n'était pas toujours très tendre avec Cab Calloway !), nous ne saurions rien ou presque sur Dave Rivera. Et pourtant, ce pianiste ne manque pas d'intérêt. The Hi de Ho Blog va tenter d'en retracer l'histoire, comme nous l'avons fait précédemment avec les deux précédents pianistes de Cab, Earres Prince et Benny Payne. Read the full story →

“From Cab Calloway to Duke Ellington” (2/6): the TRUMPETS

The Cab Calloway and Duke Ellington orchestras were among the most popular of the 1930’s and 1940’s. They were also responsible for disbursing the highest payroll! Of course, the Duke had the prestige and incomparable excellence. Many of the musicians who passed through Cab’s bandstand were eager at one time or another to join Ellington. Only a handful of them succeeded in that objective ... and fewer still traveled the other direction. The Hi De Ho Blog reviews them all for you. Here are trumpets with: Dizzy GILLESPIE, Eddie MULLENS and Cootie WILLIAMS. Read the full story →

“From Cab Calloway to Duke Ellington” (1/6): the SAXOPHONES

The Cab Calloway and Duke Ellington orchestras were among the most popular of the 1930’s and 1940’s. They were also responsible for disbursing the highest payroll! Of course, the Duke had the prestige and incomparable excellence. Many of the musicians who passed through Cab’s bandstand were eager at one time or another to join Ellington. Only a handful of them succeeded in that objective ... and fewer still traveled the other direction. The Hi De Ho Blog reviews them all for you. And there are a few unexpected names on the list!  Let's begin de series with the saxophones: Hilton JEFFERSON, Chauncey HAUGHTON and Rudy POWELL. Read the full story →

“From Cab Calloway to Duke Ellington” series: the perfect career

The Cab Calloway and Duke Ellington orchestras were among the most popular of the 1930’s and 1940’s. They were also responsible for disbursing the highest payroll! Of course, the Duke had the prestige and incomparable excellence. Many of the musicians who passed through Cab’s bandstand were eager at one time or another to join Ellington. Only a handful of them succeeded in that objective ... and fewer still traveled the other direction. The Hi De Ho Blog reviews them all for you. And there are a few unexpected names on the list!  Read the full story →

No banjo in my orchestra, please!

Apparemment, au début 1942, tandis que les USA venaient d'entrer en guerre, le banjoiste Eddie Peabody mena une campagne de lobbying pour la défense du banjo et sa réinsertion au sein des orchestres. Le "roi du banjo" estimait que les chefs méprisaient cet instrument populaire. The Hi de Ho Blog vous dévoile l'opinion de Cab Calloway. Read the full story →

Harry ‘Father’ WHITE: the trombone expert in jitterbug

  Zah Zuh Zah, Harlem Camp Meeting, The Scat Song… Tous ces titres portent la marque de celui que les membres de l’orchestre appelaient entre eux "Father" parce qu’il était l’un des plus âgés : Harry WHITE (Bethlehem, Pennsylvanie, 1er juin 1898 – New York, 14 août 1962). Et pourtant, quand Harry mettait ses lunettes et se mettait à écrire les partitions des arrangements, c’est avec grand respect que les autres musiciens le laissaient faire. Cela donna d’ailleurs le titre Father’s Got His Glasses On. Ce trombone qui avait joué avec Ellington au début des années 20 a connu de grandes heures. Mais malgré son immense talent polyvalent, il est retombé dans l’ombre. The Hi de Ho Blog place à nouveau les projecteurs sur ce father qui ne manquait pas de brothers dans le jazz. Read the full story →

Claude JONES: the trombone with glory on the slide (2/2)

  Voici la seconde partie de la biographie consacrée à ce fabuleux instrumentiste oublié par beaucoup aujourd'hui mais admiré par tous à son époque. Claude Jones était un musicien efficace et délicat, dont nous avons abordé l'enfance et la carrières jusqu'à son arrivée chez Cab Calloway, fin 1934. Cette seconde partie va nous permettre de retrouver cet amateur de bonnes choses et de musique pour évoquer ses années passées chez Cab, mais aussi avec Ellington, Roll Morton et d'autres mais aussi la fin de sa vie sur un navire américain en route vers l'Europe. Le génial tromboniste était alors devenu un steward très british... Read the full story →

Claude JONES: the trombone with glory on the slide (1/2)

  Un tromboniste fin, un sideman fiable, un soliste novateur, un musicien qui a toujours su être au bon endroit… mais qui n'a jamais connu la célébrité. Voici comment l'on pourrait définir en quelques mots Claude JONES qui fut trombone dans l'orchestre de Cab de 1934 à 1940 et en 1943. Le musicologue Gunther Schuller le juge très moderne dans son approche rythmique ; d'autres le considèrent comme l'un des pionniers du trombone, qui l'a libéré de son jeu primaire. Et pourtant, voici encore un de ces inconnus célèbres dont l'orchestre de Cab Calloway a le secret ! Preuve s'il en est que Cab a toujours su bien s'entourer. Claude Jones avait déjà connu une certaine gloire de l'époque des McKinney's Cotton Pickers dont il était l'un des piliers ou encore dans l'orchestre de Fletcher Henderson. Il ne la retrouvera jamais vraiment, que ce soit en compagnie de Cab ou de Duke Ellington par la suite. The Hi de Ho Blog va tout de même vous en dire un peu plus sur Claude Jones. Read the full story →

Earres PRINCE, the pianist Cab never appreciated

  Earres Prince? With few fans (maybe 2 or 3 maximum in the world), who the hell knows anything about this inconspicuous man missing from all the jazz dictionaries? All the more reason for The Hi De Ho Blog to tell you a bit about the man who was the first pianist for – and apparently never appreciated by – Cab Calloway.  He had the difficult task of preceding – not succeeding – Benny PAYNE, the pianist Cab had met before leading the Missourians.   Read the full story →

Walter Foots THOMAS: the tenor sax in the shadow (2/2)

  Deuxième partie du portrait de l’un des plus fidèles compagnons de route de Cab Calloway mais sur lequel on ne sait que trop peu. Après une enfance heureuse dans l'Oklahoma, Thomas est vite parti sur les bateaux du Missouri et joué en compagnie d'Ed Allen, Fate Marable, Ferdinand Jelly Roll Morton. C'est à New York qu'il veut réussir et l'orchestre du Cotton Club d'Andy Preer lui ouvre les bras. Vient ensuite un engagement avec les Missourians rapidement dominés par le petit nouveau : Cab Calloway. Avec lui, Walter Thomas va rester au même pupitre durant 13 ans, accumulant les fonctions de chef de la section des saxophones, arrangeur, directeur musical et chef d'orchestre par intérim lorsque le Cab en chef n'est pas sur scène. Tout cela sans jamais passer de l'ombre à la lumière. A partir de 1943, il voudra voler de ses propres ailes, mais sera lui aussi confronté à la dureté de l'époque. N'empêche, les quelques pistes gravées en 1944-45 comme les moments qu'il passera encore avec quelques-uns des plus grands donnent à la deuxième partie de son existence un goût fantastique. The Hi de Ho Blog vous la raconte... Read the full story →

Walter Foots THOMAS: the tenor sax in the shadow (1/2)

  Voici le portrait de l’un des plus fidèles compagnons de route de Cab Calloway mais sur lequel on ne sait que trop peu. Et pourtant, Walter Thomas resta avec Cab depuis les Missourians jusqu’après le tournage de Stormy Weather. Géant aux pieds démesurés (d’où son surnom), Walter Thomas avait notamment enregistré avec Fate Marable, Jelly Roll Morton, avant de rencontrer Cab. Durant toute sa période chez Calloway, il fut l’arrangeur attitré de l’orchestre et son conseiller musical mais resta toujours dans l’ombre des grands ténors qui y passèrent comme Ben WEBSTER et Chu BERRY. Et la seconde partie de sa vie après est loin d’être sans intérêt. The Hi de Ho Blog vous en dit plus sur cet inconnu célèbre auquel il n’a jamais été consacré plus de 10 lignes d’affilée… Read the full story →

Al MORGAN: the seductive bassist

  Aujourd'hui oublié, Al MORGAN bénéficie pourtant de l'image d'un contrebassiste extraordinaire, considéré comme un des pionniers du slapping, au même titre que Wellman Braud et Pops Foster. Eugene Chadbourne écrit dans la biographie d'All Music à son propos que "bien des bassistes récemment décédés doivent rêver de se retrouver au paradis pas trop loin de lui !" Celui qui s'est illustré par son solo sur Reefer Man, celui qui aimait la compagnie des femmes au moins autant que Cab, celui que Cab avait fini par trouver un peu trop photogénique... méritait bien une note biographique dans The Hi de Ho Blog ! Read the full story →

De Priest WHEELER: the faithful trombone

  « Avec la trompette de Reeves et les solos à la manière de Nanton par Wheeler, l’orchestre de Cab avait peu ou prou le son d’Ellington. » C’est en ces termes que Steve Voce, célèbre journaliste britannique, parlait du fidèle tromboniste de Cab Calloway, De Priest WHEELER, dans une interview de 1957. Aujourd’hui complètement oublié, Wheeler a pourtant connu une certaine reconnaissance dans les années 30, en compagnie de Cab avec lequel il fit l’essentiel de sa carrière. Read the full story →

BEN WEBSTER: when the Frog worked for Cab (2/2)

  Dans cette seconde note consacrée à la carrière de Ben Webster au sein de l’orchestre de Cab, nous allons examiner comment le train-train du Cotton Club et le manque d’opportunités de solos dans l’orchestre de Cab Calloway poussèrent Ben Webster à quitter un train de vie inespéré (et qu’il ne retrouvera jamais !). Read the full story →

“Jazz From The Beginning” by Garvin BUSHELL (1988) 2/2

  Second volet de notre lecture de Jazz From The Beginning, nous allons maintenant voir comment Garvin BUSHELL a quitté l’orchestre de Cab Calloway et comment il a géré la suite de sa carrière. Enfin, il nous livrera son opinion si particulière sur sa production discographique durant sa période avec Cab (entre mai 1936 et septembre 1937).   Read the full story →

J.C. HEARD: Cozy Cole's brilliant successor

  Souvenez-vous de la mine réjouie de ce batteur lors du fameux morceau d’anthologie Jumpin’ Jive pendant la scène tout aussi anthologique de Stormy Weather (1943) : c’est J.C. Heard ! Formidable batteur, J.C. Heard a apporté un véritable élan au niveau de la section rythmique de Cab Calloway. Et pourtant, il ne subsiste que très peu d’enregistrements de l’orchestre à cette époque : la grève du « record ban » débuta au moment où J.C. Heard remplaçait Cozy Cole aux baguettes. Et pour le coup, le siège était plus qu’éjectable…   Read the full story →

Chauncey HAUGHTON: the unknown alto sax (1937-1939)

  Parmi les musiciens qui ont été aux pupitres des anches de l'orchestre de Cab Calloway, il y a beaucoup de vedettes telles que Chu Berry, Ben Webster, Ike Quebec ou encore Illinois Jacquet. Et puis, il y a également les obscures, les nettement moins connus qui ont pourtant contribué aux qualités artistiques du big band. L’un d’entre eux est Chauncey HAUGHTON ; et pourtant, il est un des rares (peut-être le seul - je dois vérifier) à avoir joué de l’alto avec 3 Calloway différents ! Read the full story →

BEN WEBSTER: when the Frog worked for Cab (1/2)

  Ben Webster est l’un des plus grands saxophonistes ténors de l’époque swing. A l’époque, seul Coleman Hawkins était considéré comme son égal… et petit à petit, Leon Chu BERRY entra dans la cour des grands. Ben Webster joua dans l’orchestre de Cab Calloway de septembre 1935 à juillet 1937. Comment ce grand soliste put s’accommoder du répertoire de Cab, comment les autres musiciens s’accommodèrent de son sacré caractère… Dans quelques instants, vous allez tout savoir.   Read the full story →

The nicknames of the guys in Cab Calloway's band

  Donner un surnom ("nickname") à un musicien était chose courante dans le milieu de jazz. Peu y ont échappé. Certains restaient connus uniquement du cercle intime des musiciens, d'autres devinrent des moyens de reconnaissance aisés. Thomas 'Fats' Waller parmi eux était donc surnommé 'Fats' par le public, mais dans l'intimité continuait de se faire appeler Tom ou Thomas. Les surnnoms venaient parfois de l'enfance, souvent d'une particularité physique ou psychologique. Bref, le "blase" comme dirait Simonin, vous suivait partout où vous alliez. Voici les surnoms (et leur explication quand je l'ai trouvée) de quelques-uns des membres de l'orchestre de Cab. Read the full story →

L'équipe de base-ball de Cab Calloway

  Pour profiter des quelques instants de répit que leur réservaient les tournées, et pour aller à la rencontre de leur public, les big bands organisèrent progressivement des équipes de base-ball. Dans son autobiographie, Cab se vante d'avoir été l’un des tout premiers - voire le premier - à en avoir créé une. Harry James, Benny Goodman et Tommy Dorsey avaient eux aussi leur équipe tandis que Louis Armstrong soutenait une équipe semi-pro de New-Orleans. Ce dont Cab ne se vante pas en revanche, c’est de la façon dont il l’a dissoute… Read the full story →

“Jazz From The Beginning” by Garvin BUSHELL (1988) 1/2

  Certains ouvrages méritent d’être classés parmi les références indispensables pour bien comprendre l’évolution du jazz. Jazz From The Beginning appartient à ceux-là car tout y est : les petites histoires, les grands personnages, la réalité du quotidien, les courants musicaux… Et pourtant, son auteur, Garvin BUSHELL (1902-1991) est un musicien connu surtout par les spécialistes. Dans son autobiographie, il raconte en détail son parcours qui a notamment croisé celui de Cab Calloway de mai 1936 à août 1937. Quinze mois qui nous en disent long sur la vie de l’orchestre et sur ses rapports avec Cab qu’il n’aimait pas vraiment… Read the full story →

BENNY PAYNE: the friendly pianist (part 2)

  Dans cette seconde note consacrée à Benny Payne, le pianiste de Cab Calloway de 1931 à 1943, nous allons découvrir comment il a réagi à son retour de l'armée et comment il a poursuivi sa carrière de pianiste. Nous parlerons également de sa femme, Ethel MOSES, qui a connu une splendide carrière de chorus girl au Cotton Club...   Read the full story →

BENNY PAYNE: the friendly pianist (part 1)

  Même si beaucoup de musiciens ont glosé sur la routine de jouer avec Cab et son incapacité à laisser ses solistes suffisamment s’exprimer, on doit tout de même reconnaître que de nombreux pupitres sont restés occupés par les mêmes personnes de nombreuses années. Et en tout premier lieu par Benny PAYNE, le pianiste de Cab de juillet 1931 (première date d’enregistrement) à fin 1943 (son départ à l’armée). Dans cette première partie, nous allons voir la carrière de Benny Payne avant et pendant Cab. Read the full story →

“I Guess I’ll Get The Papers And Go Home” by Doc CHEATHAM (part 3)

Troisième et dernière partie de notre lecture des mémoires de Doc Cheatham, cette note nous permet de voir la tournée européenne du Cotton Club en 1934 avec un regard bien différent de celui de Cab (et sans doute plus juste). nous verrons le départ de Doc en 1939 de l'orchestre et son escapade en France au début de la guerre. La fin de sa carrière mérite tout autant que l'on s'y intéresse tant Doc n'a cessé de jouer jusqu'à la fin de sa vie, lui qui était d'une santé si fragile et qui s'éteignit à 91 ans ! Read the full story →

“I Guess I’ll Get The Papers And Go Home” by Doc CHEATHAM (part 2)

Après une première note consacrée aux premiers pas de Doc Cheatham dans le monde du jazz, voici la partie dédiée à son parcours avec l’orchestre de Cab Calloway entre 1931 et 1939 et à la suite de sa carrière, des orchestres de Perez Prado à ceux de Vic Dickenson et Wilbur De Paris. Le frêle petit Doc a beau être fragile, son existence a connu bien des rebondissements…   Read the full story →

“I Guess I’ll Get The Papers And Go Home” by Doc CHEATHAM (part 1)

  Voici un livre touchant et sincère, à l’image de son auteur, Doc Cheatham (1906-1997), lead trompette dans l’orchestre de Cab de 1931 à 1939. Une fois encore, nous devons à Alyn SHIPTON d’avoir aidé Doc à mettre en ordre ses souvenirs. D’ailleurs, l’un des plaisirs de Doc Cheatham est d’avoir vu ses mémoires éditées de son vivant. Remarquable par bien des détails et le regard humble et honnête qu’il pose sur son existence, I Guess I’ll Get The Papers And Go Home possède un long chapitre passionnant entièrement dévolu à la période avec Cab CALLOWAY que nous aborderons dans la deuxième note consacrée à ce livre. En attendant, voici comment Doc Cheatham fit ses premières armes… Read the full story →

Cab Calloway’s nicknames

Les journalistes, on le sait, utilisent des raccourcis pour parler des personnalités qui font l'actualité. Cab étant sur le devant de la scène pendant de nombreuses années, il n'a pas échappé à des surnoms donnés par la presse, par ses admirateurs, par des publicitaires ou directement par son agent, Irving MILLS, qui avait un redoutable sens des affaires. Voici ceux que nous avons relevés... Read the full story →

How Cozy COLE got his job in Cab’s orchestra

  Leroy MAXEY, batteur qui accompagnait Cab Calloway depuis l'époque des Missourians, fut congédié du jour au lendemain en 1939, après 10 ans de fidélité rythmique. Et c'est bien ça le problème avec Cab: quand tout allait bien, les musiciens menaient la belle vie mais attention aux écarts car la sanction devenait immédiate. Un tentative malheureuse de solo par Leroy Maxey s'acheva par l'embauche quasi-immédiate de Cozy COLE... Read the full story →