Voici le film qui a fait découvrir Cab Calloway à toute une génération de spectateurs (moi en l’occurrence) et qui a largement contribué à relancer sa carrière à l’approche de ses 80 ans ! On ne reviendra pas ou prou sur ce film épique tourné par John LANDIS et basé sur les personnages développés par John BELUSHI et Dan AYKROYD pour l’émission TV « Saturday Night Live ». Le rôle de Cab Calloway n’a que quelques répliques mais connaît son apogée au moment du concert final lorsqu’il chante sa chanson-signature « Minnie The Moocher ». Il apparaît alors comme par magie dans sa tenue de scène blanche des années du Cotton Club. Read the full story →
Tout le monde - en tout cas, ceux qui ont vu le film - se souvient de la très jolie scène où Cab Calloway passe en revue le Hepsters' Dictionary dans "Sensations of 1945" d'Andrew Stone. Un gamin en queue de pie blanche accompagne Cab et lui donne la réplique tandis qu'un chat en dessin animé reproduit les mouvements zazous du maestro. Ce petit gamin a toujours beaucoup plu aux amateurs de jazz sans qu'il soit pour autant cité au générique du film. Du coup, on a perdu son identité. Du coup, The Hi de Ho Blog a mené l'enquête et a trouvé la réponse "tant" attendue par les connaisseurs. Read the full story →
En 1934, lors d'une tournée du côté de Pittsburgh, Cab Calloway dut faire face au départ impromptu des Nicholas Brothers, bien décidés à tourner leur premier film à Hollywood. Pour les remplacer, son agent lui envoya sans les avoir vus les jeunes (et blancs !) Fred et Gene KELLY. Voici le récit de cette anecdote peu connue qui permet à des danseurs de claquettes blancs de danser en compagnie d'un orchestre noir, chose plus qu'improbable à cette époque... Read the full story →
Septembre 1929 : Cab Calloway a son premier engagement au Savoy de New York, avec les Alabamians (son premier orchestre au sujet duquel nous ferons prochainement une note). Arrivant de Chicago après une tournée d'échauffement (Kansas City, Toledo, Pittsburgh), c'est dans la maison de Fletcher Henderson que Cab et sa première femme Betty trouvèrent refuge. Et refuge est le mot juste étant donne le flop magistral que subirent Cab Calloway et son orchestre dès leur premier concert newyorkais... Read the full story →
En 1954, Cab Calloway rendit visite à Louis PRIMA au casino Sahara de Las Vegas. Les deux jazzmen avaient fait connaissance quelques années plus tôt à New York. Après le spectacle, Louis retrouva Cab dans le lobby de l’hôtel et l’invita à prendre un verre dans le bar. Mauvaise idée, apparemment... Read the full story →
C’est en 1930 que sa carrière a débuté. A 16 ans, encore au collège à Washington DC, Billy ECKSTINE participe à un concours amateur et remporte le premier prix en imitant… Cab Calloway, of course ! Eckstine se souvient encore qu’à l’époque, « tout le monde imitait Calloway. Alors, moi aussi, je l’ai fait. » Read the full story →
Here's a movie of minor interest, except the stage is shared by two stars of the time, Al Jolson and - of course - Cab Calloway. In The Singing Kid, Jolson plays the role of a star of radio and stage who lives alone in a penthouse in New York. Unable to succeed in love, he is abandoned by his fiancée who leaves with his manager, the latter leaving him owing half a million dollars in taxes. Al drowns in alcohol and can no longer sing. Deciding to leave show business, he goes to rest in the countryside where he falls in love with a young girl. Forgive me if I didn’t inform you of the complexity of the plot... Read the full story →
Quand la télévision américaine célèbre une des plus prestigieuses salles de spectacle de New York, elle n’y va pas de mainmorte ! Pendant 2 heures, cette émission datant de 1980 et écrite par Harry Crane (qui écrivit quelques années plus tôt le film Ziegfeld Follies et quelques shows de Dean Martin) et Marty Farrell (spécialiste des émissions « Tribute ») va faire revivre l’Apollo Theatre. Le show TV de 1980 est mené tambour battant et Cab swinguant puisque le roi du Hi de Ho est le maître de cérémonie. Voici d’ailleurs la séquence générique (seul extrait que je connaisse d’ailleurs de cette émission) qui permet de voir un bon vieux Cab de 73 ans en pleine forme, dansant et chantant comme quarante ans plus tôt ! Read the full story →
Plus long chapitre de son autobiographie, « New York and The Cotton Club » présente les débuts de Cab et sa réussite fulgurante qui fit de lui un des jazzmen les plus écoutés du moment. En toute modestie – une fois de plus – Cab explique que les Alabamians avaient la chance avec eux, tout d’abord parce qu’ils étaient un bon orchestre, mais surtout parce que lui était à sa tête, lui donnant une présence particulière grâce à la manière dont il le conduisait sur scène. Rien que ça ! Pour autant, les Alabamians ressemblaient peu ou prou aux orchestres blancs de Chicago, ceux de Benny Meroff ou de Paul Ash... Read the full story →
Il faut chercher un peu, voire beaucoup, pour trouver des anecdotes sur ce film pourtant adulé. Glanées deci-delà voici les quelques informations qui éclaireront votre vision de Stormy Weather sous un nouveau jour... Read the full story →
Following the success of The Blues Brothers, Cab Calloway is growing interest on the part of producers. Television in particular is interested. Cab has made a few appearances in the series (Madigan, and other particular which we'll write a future series of notes) but it is in LOVE BOAT that Cab will have a major musical role. He's surrounded by Ann Miller, Carol Channing, Ethel Merman and many old fashioned stars. Kind of tacky. Yet, it allow us to watch Cab play comedy and contributes to musical numbers with the one and only crew from The Love Boat! Read the full story →
C'est grâce aux archives dans les journaux américains que j'ai pu trouver cette anecdote étonnante qui voit Cab frapper Claude HOPKINS alors qu'il était sur la scène du Café Zanzibar, un soir d'août 1945... Mais ça n'était pas n'importe quel jour : c'était le 14 août 1945, et quelques minutes avant ou après, la reddition japonaise avait été annoncée à la radio, interrompant le broadcast en cours. Read the full story →
Cette anecdote, racontée dans son autobiographie, Cab la place en tête des exemples terribles de la ségrégation aux Etats-Unis. En décembre 1945, alors que Cab et son orchestre sont en tournée au Kansas, ils croisent Lionel Hampton en concert dans le coin. Read the full story →
C’est dans ce chapitre que tout commence à se mettre vraiment en place dans la tête de Cab : musique + entertainment = succès + argent ! La formule sera celle qui l’animera toute son existence désormais. Read the full story →
Listen to Cab Calloway’s recordings from the early 1930s ... If your ear is dominated by a hopping, acrobatic and remarkably creative clarinet sound, you are enjoying one of the great forgotten musicians in the History of Jazz who spent more than 30 years in an asylum: William Thornton BLUE. It is my good friend the late Christian Bonnet (1945-2017) — whose ear was particularly demanding - that made me discover the talent of this clarinetist and alto saxophonist whose solos give a unique sound to the first Calloway shellacs... The Hi De Ho Blog will tell you the almost unknown story of the man who nicknamed himself “The reputed Blue”. Read the full story →
Eugénie BAIRD et une des chanteuses de jazz qui ont chanté en duo avec Cab Calloway. Parmi elles, on peut compter également June Richmond, Dotty Salters, Aida Ward, Josephine Baker, Ethel Waters et, naturellement ses filles, Lael, Chris et Cabella. Read the full story →
Le jour où l'on célèbrait le 101e anniversaire de Cab Calloway, la chanteuse Eartha KITT est décédée à l'âge de 81 ans. Emportée par un cancer du colon, l'entertaineuse s'était notamment illustrée dans le film Saint Louis Blues (1958) aux côtés de Cab Calloway et de Nat King Cole. Read the full story →
La revue Plantation Days est la toute première revue à laquelle Cab ait participé. On est en 1927 (ou 1925 selon les sources), et grâce à l’aide de sa sœur aînée Blanche, Cab va pouvoir participer à une partie de la tournée lors de son passage à Chicago. Un moment décisif qui mit le pied de Cab à l’étrier du show-business. Read the full story →
Dans cette seconde note consacrée à Benny Payne, le pianiste de Cab Calloway de 1931 à 1943, nous allons découvrir comment il a réagi à son retour de l'armée et comment il a poursuivi sa carrière de pianiste. Nous parlerons également de sa femme, Ethel MOSES, qui a connu une splendide carrière de chorus girl au Cotton Club... Read the full story →
Même si beaucoup de musiciens ont glosé sur la routine de jouer avec Cab et son incapacité à laisser ses solistes suffisamment s’exprimer, on doit tout de même reconnaître que de nombreux pupitres sont restés occupés par les mêmes personnes de nombreuses années. Et en tout premier lieu par Benny PAYNE, le pianiste de Cab de juillet 1931 (première date d’enregistrement) à fin 1943 (son départ à l’armée). Dans cette première partie, nous allons voir la carrière de Benny Payne avant et pendant Cab. Read the full story →
Fin 1952, l'ami Cab séjourne à Londres depuis l'arrivée de la troupe de Porgy & Bess en octobre. L'opéra fonctionne à merveille et Henry Dawson, producteur vorace, veut profiter du succès de Cab Calloway pour monter une série de galas en Grande-Bretagne, s'appuyant sur le roi du Hi de Ho et sur d'autres vedettes du jazz américain. Parmi elles, Mary Lou Williams dont les souvenirs permettent de raconter plus en détail cette épisode vite oublié par Cab... Read the full story →
"Thanks, Pal!" était le titre de travail de Stormy Weather. Il faisait référence à tous les mots de remerciements émanant d'autres vedettes et que lit Bill Robinson durant tout le film. Arthur Knight estime dans son passionnant (mais complexe) ouvrage que dire ainsi merci à un Noir américain, à travers Bill Robinson, était une gageure eut égard à l'opinion générale de l'époque. Mais nous aborderons les aspects raciaux du film une prochaine fois. Pour le moment, nous avons encore quelques croustillantes anecdotes à nous mettre sous la dent... Read the full story →
That's right! For an announcement effect, admit that it is powerful. The Count at the Cab. That was almost done. And from 1929! Count Basie and Cab met at the time when young Calloway was the leader of the Alabamians. A great friendship was born between the two men... The Hi de Ho Blog reveals a little more... Read the full story →
Il n'y a pas que le Hi de Ho dans la vie de Cab Calloway ! En tout cas, si en 1940 il disait déjà vouloir arrêter la recette qui avait fait son succès (voir notre article à ce sujet), Cab avait même des velléités du côté d'une oeuvre symphonique. Etonnant, non ? The Hi de Ho Blog va vous en dire (un petit peu) plus. Read the full story →
Loin de moi l'idée de faire une énième biographie de Bill Bojangles ROBINSON (1878-1949), danseur de claquettes hors pair : d'autres l'ont fait avant moi ou le feraient mieux que moi. The Hi de Ho Blog va se contenter de retracer les différents moments où lui et Cab se sont croisés entre 1931 et 1949. Même s'ils ont été très souvent ensemble sur la scène du Cotton Club ou s'ils ont partagé l'affiche de Stormy Weather, ces deux compères-là avaient une relation étonnante : Cab était le jeune chef aux dents longues, et Bill le vieux briscard impitoyable. Read the full story →
L'incroyable Anthony BARNETT auquel on doit d'encore plus incroyables anthologies et livres autour du violoniste Stuff SMITH vient de sortir un nouveau CD complètement inédit de son idole. Si The Hi de Ho Blog vous en parle aujourd'hui, c'est parce que cet album intitulé STUFF SMITH AND HIS LUCIDIN ORCHESTRA FEATURING ELLA FITZGERALD, nous permet d'entendre plusieurs membres de l'orchestre de Cab Calloway, et non des moindres : Garvin BUSHELL (as, cl), Walter THOMAS (ts), Ben WEBSTER (ts). Il y a même Jonah JONES (tp) et Cozy COLE (dms), mais à cette époque, ils n'ont pas encore intégré les rangs de Calloway. Read the full story →
Cab Calloway spent some quality time at Zanzibar... entire months! Café Zanzibar, "Home of the Stars", was a Broadway theater that opened in 1943 with the aim of succeeding the prestigious Cotton Club which had recently closed. But Zanzibar brought one notable difference: the black audience was accepted there. This policy greatly contributed to its success both with orchestras and the public. The Hi De Ho Blog tells you everything he knows about the Café Zanzibar. Read the full story →