1943 reviews from Hollywood Reporter, Time Magazine, New York Times... Read the full story →
Au début, ils étaient 2 : les fabuleux Nicholas Brothers, Harold (mort en 2000) et Fayard (91 ans). Depuis le 24 janvier dernier, il n'y a plus que les images pour se souvenir de ce duo de danseurs étonnants que Cab croisa plusieurs fois dans sa carrière : au Cotton Club et surtout avec le film « Stormy Weather ». Read the full story →
From the Cotton Club to the “Blues Brothers”, from the roaring 20’s until his death in 1994, Cab CALLOWAY has been a larger than life entertainer, first known for his song created in 1931 that drove him to fame: “Minnie The Moocher”. Read the full story →
Il faut chercher un peu, voire beaucoup, pour trouver des anecdotes sur ce film pourtant adulé. Glanées deci-delà voici les quelques informations qui éclaireront votre vision de Stormy Weather sous un nouveau jour... Read the full story →
Voici un des grands standards du jazz co-écrit en 1933 par Ted Koehler (paroles) et Harold Arlen (musique) et qui donna 10 ans plus tard son titre au film éponyme d’Andrew L. Stone. La petite histoire veut qu'Arlen et Joehler pensaient destiner cette chanson à Cab, comptant sur ses ressorts dramatiques pour faire résonner les fameuses premières paroles : "Don’t know why…" Le sort - plus exactement le management du Cotton Club - en décida autrement. Read the full story →
Il faut s'y résoudre : les derniers acteurs et témoins du jazz des années 30 et 40 commencent à être de plus en plus rares... Et depuis dimancher 21 mai 2006, le monde du jazz et de la danse compte une grande vedette de moins en la personne de Katherine DUNHAM. Son talent et son tempérament l'avait fait remarquer par Hollywood qui la fit travailler à de nombreuses reprise, comme Cabin In The Sky et... Stormy Weather. Read the full story →
Vous le savez, le tournages aux USA durant la Seconde Guerre Mondiale subissaient les restrictions comme tous les autres domaines de l'économie. Par exemple, les décors n'avaient qu'un budget de 5000 $, tout comme les éclairages (ce qui vaudra d'ailleurs au chef-opérateur Leon SHAMROY de modifier sensiblement sa méthode de travail sur le plateau de Stormy Weather). Tandis qu'en France, les Zazous résistaient à leur manière en écoutant du jazz et en portant des costumes à larges pans (un véritable gâchis alors que la France entière se privait), la production du film ne trouva rien de mieux que de dessiner une tenue de scène hors du commun pour Cab Calloway. Read the full story →
A cause de la guerre, Stormy Weather n'est sorti en France qu'en juillet 1946, soit 3 ans après les Etats-Unis. Entre les deux, le jazz avait déjà bien changé : Fats était mort et Cab commençait déjà largement à peiner pour faire vivre son big band. Pourtant, une fois n'est pas coutume, la critique française fut élogieuse.Alors, découvrez tout de suite l'intégralité de cette critique parue dans Jazz Hot en spetembre-octobre 1946 ainsi qu'une rarissime photo d'époque présentant l'affiche sur les Champs-Elysées. Read the full story →
Lorsque l’on se penche sur la musique du film Stormy Weather, on est frappé par sa proportion dans le film : près de 90 % ! C’est dire la minceur du scénario et, en contrepartie, l’attention que nous devons porter à la richesse de sa musique. Au-delà des grandes stars du jazz qui sont présentes dans le film, la question des arrangements musicaux a soulevé suffisamment de problèmes pour que The Hi de Ho Blog vous en parle un peu. Il faut dire que l’on est passé d’un compositeur classique à un jazzman, tous deux Afro-Américains, sous la houlette du directeur musical (et blanc) de la 20th-Century-Fox, Alfred Newman. Read the full story →
Le 23 février dernier s'est tenue la vente aux enchères des biens de Lena HORNE, décédée en mai 2010. Plus de 200 pièces, bijoux, livres, meubles, tableaux, photos, robes, etc. ont été mis en vente. Naturellement, sur quelques photos vendues figurait également Cab Calloway (des photos publicitaires pour le film Stormy Weather). Read the full story →
"Thanks, Pal!" était le titre de travail de Stormy Weather. Il faisait référence à tous les mots de remerciements émanant d'autres vedettes et que lit Bill Robinson durant tout le film. Arthur Knight estime dans son passionnant (mais complexe) ouvrage que dire ainsi merci à un Noir américain, à travers Bill Robinson, était une gageure eut égard à l'opinion générale de l'époque. Mais nous aborderons les aspects raciaux du film une prochaine fois. Pour le moment, nous avons encore quelques croustillantes anecdotes à nous mettre sous la dent... Read the full story →
Qu'il est difficile d'adapter en français des textes de standards de jazz. Beaucoup s'y sont frottés et s'y sont piqués ! Mais quand il s'agit d'adapter en français le jive obscur et incohérent de Cab Calloway, cela relève du défi majeur de tout traducteur ! Apparemment, Lucien Lagarde* n'avait pas son Hepsters Dictionary en main lorsqu'il a commis cette adaptation très très libre de "The Jumpin' Jive"... Read the full story →
Loin de moi l'idée de faire une énième biographie de Bill Bojangles ROBINSON (1878-1949), danseur de claquettes hors pair : d'autres l'ont fait avant moi ou le feraient mieux que moi. The Hi de Ho Blog va se contenter de retracer les différents moments où lui et Cab se sont croisés entre 1931 et 1949. Même s'ils ont été très souvent ensemble sur la scène du Cotton Club ou s'ils ont partagé l'affiche de Stormy Weather, ces deux compères-là avaient une relation étonnante : Cab était le jeune chef aux dents longues, et Bill le vieux briscard impitoyable. Read the full story →
PART 3: THE MOVIE CAREER (by Keller WHALEN) The Sepia Mae West, Copper-Colored Mae West, Creole Mae West, Scarlett O’Hara from Lennox Avenue, Gypsy Rose Lee in Bronze, Rainy Day Sadie, the Duchess of Yorkville, the Chick with the Limber Timbre, and Miss Atomic Blues. These are all sobriquets given to Mae Johnson, forgotten star of the Cotton Club. Read the full story →