The name “Calloway” was a huge path to success. Before Cab, of course, there was Blanche, the elder sister (born in 1903) who started out with Louis Armstrong before having her own orchestra in 1931. But what few of us know is that Cab had a younger brother who also happened to lead his own orchestra. But to find out more about Elmer Calloway, you have to search and search and search. But don’t try searching at Cab’s house. Read the full story →
La revue Plantation Days est la toute première revue à laquelle Cab ait participé. On est en 1927 (ou 1925 selon les sources), et grâce à l’aide de sa sœur aînée Blanche, Cab va pouvoir participer à une partie de la tournée lors de son passage à Chicago. Un moment décisif qui mit le pied de Cab à l’étrier du show-business. Read the full story →
Fin 1952, l'ami Cab séjourne à Londres depuis l'arrivée de la troupe de Porgy & Bess en octobre. L'opéra fonctionne à merveille et Henry Dawson, producteur vorace, veut profiter du succès de Cab Calloway pour monter une série de galas en Grande-Bretagne, s'appuyant sur le roi du Hi de Ho et sur d'autres vedettes du jazz américain. Parmi elles, Mary Lou Williams dont les souvenirs permettent de raconter plus en détail cette épisode vite oublié par Cab... Read the full story →
Cab Calloway ! Avec un nom pareil qui semble rebondir d'une syllabe à l'autre et une personnalité scénique exubérante aux nombreux succès, on peut être sûr que l'on va attirer les convoitises. Eh bien, cela a commencé très tôt et l'appellation "Cab Calloway" est devenue signe de réussite au point que de nombreux artistes (et surtout producteurs peu scrupuleux) ont tiré la ficelle au maximum pour attirer à eux un public un peu gogo. Alors commençons notre petit jeu "Dans la famille Calloway, je voudrais Blanche, Elmer, Jean, Tiny et les autres"... Read the full story →
PART I: THE EARLY YEARS AND NEW YORK (by Keller WHALEN) The Sepia Mae West, Copper-Colored Mae West, Creole Mae West, Scarlett O’Hara from Lennox Avenue, Gypsy Rose Lee in Bronze, Rainy Day Sadie, the Duchess of Yorkville, the Chick with the Limber Timbre, and Miss Atomic Blues. These are all sobriquets given to Mae Johnson, forgotten star of the Cotton Club. Read the full story →
An overview of the bandleader’s appearances on private and commercial postcards from the collection of Keller Whalen. Read the full story →
PART 2: THE COTTON CLUB REVUES (by Keller Whalen) The Sepia Mae West, Copper-Colored Mae West, Creole Mae West, Scarlett O’Hara from Lennox Avenue, Gypsy Rose Lee in Bronze, Rainy Day Sadie, the Duchess of Yorkville, the Chick with the Limber Timbre, and Miss Atomic Blues. These are all sobriquets given to Mae Johnson, forgotten star of the Cotton Club. Read the full story →